INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Limiter les aliments à haut index glycémique

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Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Limiter les aliments à haut index glycémique !

L’index glycémique (I.G.) est un classement des aliments selon l’augmentation du taux de sucre sanguin (glycémie) qu’ils produisent. Les sucres raffinés présentent un IG élevé (>70 sur une échelle de 0 à 100) . Ils passent très rapidement dans le sang.

Pour contrer cette montée de glycémie notre corps produit de l’’insuline et ne s’arrêtera que lorsque la glycémie sera inférieure à la normale… cela déclenche alors une sensation « d’hypoglycémie » : pâleur, perte d’énergie et faim seulement quelques dizaines de minutes après avoir consommé du sucre ! Ce « Yo-Yo » est contre-contre-productif à court terme et dangereux à long terme.

Consommer des boissons ou barres énergisantes est une erreur fatale pour votre niveau d’énergie !

Nous savons depuis peu que la consommation excessive d’aliments à fort IG, particulièrement l’association gras et sucré, favorise certaines souches de notre microbiote qui, pour continuer en s’en nourrir, envoient à notre cerveau des hormones comme la dopamine ou la sérotonine qui nous donnent une douce sensation de bien-être mais sont impliquées dans les mécanismes de récompense-dépendance, d’addiction ou de dépression (en l’absence de l’aliment).

Notre comportement alimentaire déséquilibre notre microbiote qui à son tour manipule notre comportement alimentaire, accentuant alors ce déséquilibre.

Cependant nous pouvons inscrire une autre histoire dans la communication cerveau-intestin-microbiote avec le secours des fibres !

Les fibres alimentaires que l’on trouve en abondance dans les légumes frais ou secs, les fruits et les céréales, sont le fuel du microbiote. Les études scientifiques ont montré que plus l’apport en fibres est important et plus la diversité et le nombre d’espèces de bactéries sont importants. Le microbiote en est d’autant plus stable et équilibré.

Mon astuce : des sucres oui… mais avec des fibres !

Les fruits frais représentent idéalement ma principale source d’aliments sucrés. Lorsque je les consomme en jus, j’y associe des légumes (carotte, betterave, concombre) pour enrichir en fibres sans amener trop de sucres.

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Écriture (3/5) – RELIRE pour rester motivé !

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Mercredi dernier, nous avons vu le point 2 : SE FIXER UN CALENDRIER pour rester motivé ! Voici aujourd’hui le point 3.

Il arrive parfois que l’inspiration se fasse rare, et que vous ayez du mal à poursuivre votre lancée. Soyez certain qu’il ne s’agit là que des caprices de votre plume. Relisez ce que vous avez déjà écrit : cela vous donnera envie de poursuivre. Pensez à vos personnages. Vous n’allez tout de même les laisser immobiles. Pensez à votre dernière scène. Elle mérite que vous lui donniez suite.

3. Relisez ce que vous avez déjà écrit

Si vous séchez, pourquoi ne pas prendre un temps pour relire ce que vous avez déjà écrit ? Il n’y a rien de mieux pour se motiver que de relire, à voix haute, votre contenu. Pour peu que vous y mettiez l’intonation, vous aurez, à l’issue de votre lecture, immédiatement envie de poursuivre votre écrit. C’est comme si vous aviez mis pause en regardant un bon film. N’avez-vous pas envie de connaître la suite ?

« La perfection dans l’écriture est d’observer toujours les divers caractères, de varier son style suivant les sujets, de s’élever ou de s’abaisser à propos, et de donner, par ce contraste, des caractères plus marqués et plus agréables. Il faut savoir sonner de la trompette, toucher la lyre, et jouer même de la flûte champêtre ». (Citation de Fénelon ; Achille et Homère, 1712)

Mercredi prochain, nous aborderons le point 4 : RÉFLÉCHIR À LA FORME pour rester motivé !

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AUTORISONS-NOUS à rêver car l’audace a du génie

« Il n’y a point de génie sans un grain de folie », c’est ce que disait Aristote, sous-entendant qu’être intelligent ne pouvait l’être que s’il pouvait faire preuve d’un peu de folie et de légèreté.

Aujourd’hui, on vous rassure : rêver c’est autorisé !

Qu’on soit porteur de projet, jeune ou encore PDG, n’oubliez pas de vous laisser rêver.

L’Homme a besoin d’espoirs et d’avenir pour avancer, ne l’oubliez pas.

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Immobilier (11/21) – Surveillez la trésorerie

Immobilier Ludovic Bréant

Dans le conseil N°10 nous avons vu qu’il fallait privilégier la rentabilité plutôt que la recherche de plus-value.​​​​​​​

Il est préférable d’acheter un bien qui va générer des revenus locatifs (même si ce bien n’est pas très beau) plutôt qu’un actif qui ne va pas générer de cash-flow positif (comme par exemple un bel immeuble en pierres d’un centre ville).

Pour le conseil d’aujourd’hui, je mets l’accent sur la trésorerie : quand on se lance, il est bien d’avoir un matelas de trésorerie pour faire face avec sérénité au moindre décalage.

Le plus important est la situation de trésorerie de la société et plus encore le cash-flow net de chaque bien immobilier.

La stratégie pour obtenir de la trésorerie repose sur deux leviers :

  • céder régulièrement des actifs ayant une plus-value potentielle,
  • et/ou générer des revenus locatifs supérieurs aux charges.

Privilégiez l’épargne aux dépenses de consommation superflues.

Bien que le milieu de l’immobilier soit connu pour ses Ferrari, Aston Martin, Bentley, Maserati, Porsche et autres bolides, il est dommage de s’endetter pour acquérir de telles voitures.

Je vous invite à faire preuve de discernement et à donner la priorité à l’épargne et au remboursement des crédits immobiliers.

D’autant qu’un simple effort de 10% d’épargne, maintenu sur la durée, peut vous nous offrir un avancement serein sur le chemin de la liberté financière.

Conseil#11 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

>>> Voir le conseil N°10 « Privilégiez la rentabilité à la plus-value »

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr

Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 1/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Développement

Mon père ne travaillait pas le dimanche. Il passait la nuit précédente à préparer le souper de famille du dimanche. Je me rappelle aussi les bons déjeuners que mes parents préparaient ensemble, les bons œufs cuits dans la graisse de bacon. L’odeur du pain grillé! C’est si réconfortant. Chaque fois que je sens cette odeur, elle me sécurise et me rappelle le bon temps passé en famille. Aujourd’hui, je répète ces mêmes points de repère. Par contre, j’achète le bacon précuit !

Les temps changent, mais les points de repère restent ancrés en nous lorsque nous cherchons le bon et le positif en chacun d’eux. Le plus drôle, c’est qu’après que tous mes frères étaient arrivés à la maison familiale, mon père allait se coucher ! Pour lui, il avait joué son rôle de père, c’est-à-dire de nous avoir tous réunis. C’était le mieux qu’il pouvait faire.

J’en comprends la raison aujourd’hui. Il ne pouvait pas donner quelque chose qu’il n’avait pas reçu. En effet, il allait se coucher après que nous étions tous arrivés à la maison, c’était le mieux qu’il pouvait nous offrir, faute d’avoir lui-même reçu de l’affection parentale. Sa mère est morte en lui donnant naissance, il pesait six kilos, elle n’a pas survécu à l’accouchement.

Le père de mon père a renié son fils à la suite de la mort de sa femme. Mon père a été placé dans des familles d’accueil. Il n’a pas connu l’amour d’une mère ni celui d’un père. Ses besoins affectifs n’ont pas été comblés. Mon père a vite cru que c’était sa faute si sa mère était morte. Il a été profondément blessé d’avoir été rejeté. Il est devenu très dominateur et destructeur envers lui-même. Il s’est créé des personnages puissants pour ne pas ressentir le rejet et l’abandon dont il a été victime dès sa naissance.

La peur d’être rejeté était tellement présente en lui, qu’il nous aimait sans le dire, sans nous le faire sentir parce que sa souffrance d’avoir manqué d’affection dès sa naissance était trop grande. Malgré ses personnages, il avait une sensibilité très présente et c’est ce point de repère qui m’a montré l’homme bon qu’il était.

Lorsque nous étions tous réunis en famille et que nous parlions de nos réussites sportives ou celles de notre travail, il avait les yeux pleins d’eau. Sa sensibilité était plus puissante que ses personnages. J’ai hérité de cette sensibilité et j’en suis très fier aujourd’hui, car c’est une de mes plus grandes forces. Je me laisse plonger dans ma puissance divine quand je touche à ma sensibilité.

J’ai été gâté pourri par ma mère. J’avais juste à prendre ma douche, à me brosser les dents, et ma mère ramassait tout derrière moi : mes vêtements au bout du lit, ma serviette que je laissais par terre dans la salle de bain. J’ai essayé d’agir ainsi avec ma conjointe et je dois vous avouer que ce point de repère a vite été mis de côté !!!

À mardi prochain pour la suite de cet article.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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J’ai décidé de QUITTER MA CARRIÈRE SÉCURISÉE pour contribuer à l’ÉVOLUTION DU MONDE

Respecter ses idéaux en inventant son métier

65% des métiers de demain sont à inventer*.

Mathieu Baudain l’a fait !

Il a décidé de suivre ses convictions pour vivre la vie à laquelle il aspirait vraiment : « créer un mouvement optimiste pour imaginer demain ».

Pour ça, il a fait fi des nombreuses réticences familiales et sociétales et a quitté sa profession confortable pour créer l’Institut des futurs souhaitables duquel il est devenu directeur.

Résultat : « C’est pas vraiment un boulot…tu marches sur les sentiers de ton idéal et tu vois toutes les personnes magnifiques que tu rencontres. C’est une forme de chef-d’œuvre ! »

* : selon le Département d’Etat américain du travail

Lien vers la vidéo >>

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L’eau selon la naturopathie (partie 3) – Les effets secondaires de la déshydratation

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

Samedi dernier, nous avons vu en seconde partie de cet article, La déshydratation et ses conséquences. Parlons maintenant des les effets secondaires de la déshydratation.

Troubles intestinaux

Dans le registre des conséquences dues au manque d’eau, la constipation vient certainement en tête. Lorsque le contenu intestinal est trop sec pour progresser convenablement, de fâcheuses conséquences sont à déplorer.

A l’instar des eaux qui croupissent dans les marais, un transit ralenti entraîne putréfaction et à terme auto-intoxication, tout en déséquilibrant notre précieuse flore intestinale. Grand nombre de colites au niveau inférieur, comme de fausses douleurs d’appendicite de l’abdomen, peuvent être l’expression d’un signe de manque d’eau.

Douleurs d’estomac

De nombreuses difficultés de digestion et leurs douleurs associées sont, de façon méconnue, dus au manque d’eau. L’eau est l’unique protection naturelle contre l’acide de l’estomac. En effet, la muqueuse gastrique sécrète un mucus composé à 98 % d’eau pour faire un tampon naturel face à l’acide chlorhydrique présent dans l’estomac pendant la digestion des protéines.

Dans le cas d’une mauvaise hydratation, l’eau du mucus ne peut plus remplir sa fonction de barrière et l’acide attaque la muqueuse, créant douleurs et lésions : ce sont les fameuses brûlures d’estomac. Une hydratation correcte assure une barrière plus efficace que n’importe quel médicament, comme les antiacides qui sont des poisons lents ayant pour fonction de bloquer l’histamine. Même dans des cas plus graves tel que l’ulcère de l’estomac, le traitement par l’eau s’est avéré efficace. Ainsi, le docteur Fereydoon Batmanghelidj, d’origine iranienne, a publié un compte rendu mentionnant qu’il a traité, avec succès, plus de 3 000 personnes souffrant d’un tel trouble uniquement avec de l’eau.

Douleurs rhumatismales

Les cartilages, dans leur état normal, sont fortement riches en eau. Cette richesse hydrique participe activement à une friction minimale entre deux articulations, c’est l’effet de lubrification. A contrario, une articulation mal hydratée peut entraîner une abrasion in situ, ainsi que, probablement, une inflammation génératrice de douleur. C’est aux premiers signes qu’il faut réagir par un apport complémentaire en eau, avant que les dégâts ne s’installent souvent de façon irrémédiable.

Dans la colonne vertébrale, l’eau joue un rôle prépondérant au niveau des noyaux des disques situés entre deux vertèbres. En effet, 75 % du poids du tronc sont supportés par l’eau contenue dans le noyau du disque de la cinquième vertèbre lombaire.

L’eau agit comme un lubrifiant et un moyen de supporter la force générée tant par le poids du corps que par la tension des muscles sur l’articulation. Nul besoin d’être devin pour envisager les conséquences d’un manque d’eau au niveau de notre dos !

Hypertension artérielle

Elle est le plus souvent la signature d’une adaptation de notre biologie à un manque d’eau. En effet, le système vasculaire doit s’adapter à la diminution du volume sanguin, constitué en grande partie d’eau. Pour ce faire, il réduit le diamètre des vaisseaux, ce qui augmente la tension de ceux-ci. Les personnes âgées perdant la sensation de soif sont naturellement plus exposées aux problèmes d’hypertension.

Avant de consommer quelque diurétique que ce soit, le bon sens voudrait que nous utilisions le meilleur d’entre eux : l’eau. Chez le sujet hypertendu, la réintroduction correcte des apports hydriques doit se faire d’autant plus progressivement que la personne a perdu l’habitude de boire de l’eau, afin de permettre à la régulation du sodium de se réadapter.

Hypercholestérolémie

Au-delà de l’excès de consommation de graisses animales issues principalement de fromages, charcuteries et viande rouge, l’excès de cholestérol dans le sang peut avoir des origines liées au manque d’eau. En cas de déshydratation sévère, les cellules vont fabriquer du cholestérol pour rendre leurs parois étanches, le cholestérol jouant le rôle de colle, et ainsi empêcher une perte supplémentaire en eau.

En réintroduisant les apports hydriques nécessaires de façon régulière, les cellules s’hydratent correctement et le système de défense par le cholestérol perd sa raison d’être. Ce résultat sera d’autant plus probant qu’une activité physique sera intégrée à l’hygiène de vie des personnes concernées. En effet, après une heure d’effort soutenu telle que la marche, les enzymes chargées de « manger » les mauvaises graisses s’activent et restent opérationnelles les douze heures suivantes.

Excès de poids

S’il apparaît indispensable d’avoir une activité physique, à raison d’une heure trois fois par semaine au minimum pour pouvoir contrôler son poids, l’importance des bons apports hydriques est à souligner. La sensation de soif et de faim sont souvent confondues. Aussi, alors que notre cerveau veut nous signaler son besoin en eau, nous prenons celui-ci pour un signal de faim. C’est alors que nous surconsommons des aliments qui seront stockés sous forme de graisse, surtout si les apports ont été faits en aliments sucrés.

Le premier carburant pour le cerveau est incontestablement le sucre (glucose). Toutefois, et c’est moins connu, l’eau peut générer, à travers son mouvement, de l’énergie : l’augmentation régulière des apports en eau nous permettra ainsi de baisser notre consommation en sucres. Faut-il le rappeler, la consommation excessive de sucre est stockée sous forme de mauvaises graisses, celles-là même que l’on retrouve chez les personnes en surpoids.

Stress et dépression

Le cerveau utilise l’énergie électrique créée par la force de l’eau. Or, dans le cas d’une déshydratation, la production énergétique dans le cerveau baisse, mettant au ralenti un grand nombre de fonctions cérébrales. Cela pourrait être à l’origine de la fatigue chronique, puis à terme de la dépression.

Le phénomène s’auto-entretient car la déshydratation génère un stress permanent qui épuise, affaiblit le système immunitaire et fait ainsi le lit de nombreux problèmes de santé.

Samedi prochain, nous verrons la suite de cet article consacré à l’eau et la santé et expliquerons combien et quand boire ?

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INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Limiter Les boissons et produits riches en sucres raffinés

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

L’afflux massif et rapide de sucre dans le sang crée un pic de glycémie. Afin de réguler ce pic, une grande partie des sucres va être stockée dans les muscles et dans d’autres tissus sous forme de graisse: l’énergie est piégée et n’est plus disponible pour notre corps à court terme d’où la sensation de faim qui apparait rapidement incitant à nouveau à s’alimenter. Mais ce cercle vicieux est encore plus…vicieux… car les familles de bactéries avides de sucre (par exemple candida albicans) vont vouloir continuer à se développer : elles envoient au cerveau des molécules de signalisation qui déclenchent une sensation de satisfaction, de bien être pour nous encourager à consommer ce même type d’aliments lors du prochain repas ! C’est un cercle vicieux et destructeur de notre santé qui s’instaure.

La consommation de sucres raffinés conduit à de nombreux déséquilibres, en particulier , à un processus d’inflammation de la paroi intestinale qui devient trop perméable et déclenche une réaction immunitaire de notre organisme. De nombreuses études scientifiques ont démontré que cette inflammation discrète de notre paroi intestinale est associé à l’apparition du Diabète de type II, d’obésité, ainsi qu’un risque accru de maladies cardio-vasculaires. D’autres études très récentes montrent que les dybioses liées à un régime trop riche en sucres sont associées à l’apparition des maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer.

Mon astuce : je ne veux pas créer une sensation de privation ou de frustration autour du goût sucré, j’ai donc changé la forme en privilégiant par exemple les fruits. J’ai aussi associé la limitation des sucres raffinés avec la joie de découvrir le goût original de produits de qualité: comme un grand cru de café, de thé ou de chocolat. Cette joie est beaucoup plus efficace que la frustration pour crée un nouvel axe de communication cerveau-intestin-microbiote favorable à ma santé.

Je réalise qu’il n’est pas question de régime, de privation, d’effort, mais d’un dialogue intérieur assertif, porteur de résultats visibles, rapides et durables !

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Écriture (2/5) – SE FIXER UN CALENDRIER pour rester motivé !

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Mercredi dernier, nous avons vu le point 1 : DÉFINIR UN OBJECTIF pour rester motivé ! Voici aujourd’hui le point 2.

Écrire est une aventure passionnante. Mais quand surviendra le doute, rappelez-vous pourquoi vous avez commencé à écrire (la première clé pour rester motivé est de déterminer un objectif) et fixez-vous un calendrier. Car, en vous fixant un calendrier, vous vous efforcerez de maintenir un rythme d’écriture en accord avec ce dernier.

2. Se fixer un calendrier

Pour rester motivé lorsque nous écrivons, mieux vaut tenir un calendrier.
En effet, si nous écrivons avec le cœur, mieux vaut ne pas négliger la raison. Se fixer un calendrier, des deadlines à chacune des étapes du travail d’écriture peut constituer un excellent moyen de maintenir le cap.
Si vous vous lancez dans un récit autobiographique, ou dans un roman : décortiquez votre travail en plusieurs séquences.

Par exemple :
– Le 1 mars : le plan sera construit
– le 1 avril : les fiches personnages seront rédigées
– A la mi-avril : le premier chapitre sera fini

Bien sûr, sachez faire preuve de douceur vis-à-vis de vous-même. Si vous dépassez les délais, rallongez-les en douce. Qui le saura ?

« Comment voulez-vous vivre sans écrire ? C’est tellement difficile de vivre que sans écrire, la vie n’est juste pas possible. » (Amélie Nothomb)

Mercredi prochain, nous aborderons le point 3 : RELIRE pour rester motivé !

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Aujourd’hui, on s’AUTORISE – Partie 2

S’autoriser À FAIRE ce que l’on juge

Juger l’oisiveté, la poésie et la dispersion m’indique que j’ai besoin de m’accorder des pauses, des vacances et davantage de curiosité pour ce que je ne connais pas.

Hier nous avons vu : s’autoriser À ÊTRE ce que l’on juge.
Deuxième temps, aujourd’hui on s’autorise À FAIRE des choses que l’on juge mal.

Par exemple : l’oisiveté, la poésie, l’art, le cinéma, etc. Il est commun de penser que « le temps c’est de l’argent » et qu’il ne faut pas perdre une minute. Ou encore, d’être tellement impatient d’obtenir des résultats qu’on ne perde plus une seconde. Mais il faut comprendre que notre cerveau est coriace et qu’il a besoin de beaucoup de repos pour fonctionner de manière optimale.

Un temps de pause par semaine, par jour ou par mois, à raison de quelques jours de vacances, ou d’un temps quotidien d’une heure ou deux ne vous retarderont pas et surtout vous permettront d’appuyer sur le bouton « pause » afin que vous recouvriez vos forces physiques et mentales. Vous n’en aurez que les idées plus claires et votre corps vous dira merci.

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