Emmanuel Delannoy souhaitait rassembler sa passion, ses idéaux de naturaliste et d’écologue avec ses compétences d’économe.
Pour cela, il a changé de vie, démissionné de son travail et créé L’Institut Inspire, centre de ressources et d’actions pour réconcilier vivant et développement économique.
Pour Emmanuel, nous ne devons pas rester dans des choix cloisonnés « par défaut » et la satisfaction d’avoir sauté le pas est énorme !
Afin d’être libre de son temps, de son travail et de son engagement dans la société, Daniel Mathieu a décidé de changer de vie : changement de métier, passage à temps partiel, déménagement …
Résultat : ce nouvel aménagement de sa vie lui a permis de fonder Tela Botanica, un réseau qui recense et met en relation les acteurs de la botanique tout en diffusant des ressources en licence libre. Il est également engagé dans une association d’éducation à l’environnement.
Outre la satisfaction d’avoir acquis de nouvelles compétences,et d’avoir fait quelque chose qui « lui appartient » , Daniel se dit aussi qu’enfin il a la possibilité de faire ce qui lui plait et non ce qu’on lui dicte. Mais le plus important : il se sent utile. « On se dit, tiens, j’ai contribué à quelque chose qui servira et dont il restera des traces ».
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Isabelle Besnard ne se retrouvait plus dans son emploi « alimentaire » et souhaitait utiliser son temps de travail à quelque chose d’utile qui ait du sens pour elle.
Elle a donc décidé de démissionner et peu après elle co-créé sa propre activité avec Eiseinia, une Scop ayant pour objectif de faciliter le compostage des déchets en ville.
Journaliste pendant 14 ans sur une radio nationale, Olivier a décidé de quitter son travail. « Ce n’était pas la pire métier du monde, mais ça n’était simplement pas le mien« .
Son projet : revenir à ce qui l’animait depuis toujours, raconter des histoires. Et après avoir écrit des textes de slam en amateur pendant quelques années, il a choisi de se lancer le défi d’en faire son métier !
Résultats :
– Après de longs mois de formation intense et courageuse, Olivier se lance et sort ses premières vidéos de slam
– Le succès arrive vite, les dates de concert s’enchainent et Olivier crée sa propre entreprise
– Il se sent complètement heureux et épanoui
– Il sort son premier album « Le Meilleur pour la fin », un clin d’oeil à la façon dont sont réalisés ses clips et ses textes, pensés comme des petits films avec un retournement de situation à la fin (twist).
« Sur le plan financier, je vis aujourd’hui à 100% de ma musique. Principalement grâce aux concerts, mais aussi aux ateliers d’écriture slam que j’anime dans des collèges, des lycées, des hôpitaux ou des prisons. Les ventes d’albums, quant à elles, sont plutôt un instrument de mesure de satisfaction du public, qu’une réelle source de rémunération. »
Afin d’illustrer un des changements de vie l’ayant fortement inspiré, il a réalisé un clip qui montre qu’il est possible de changer de vie pour trouver sa voie, avec l’exemple de François-Xavier Demaison, un ex-trader devenu comédien.