INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Écoutez vos tripes

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Le système nerveux entérique (deuxième cerveau) et le microbiote réagissent à ce que nous mangeons, ce que nous buvons, aux organismes infectieux, aux polluants, aux émotions, à nos interactions avec l’environnement, nos relations avec les autres personnes ainsi que beaucoup d’autres stimuli. Ces milliards d’informations journalières sont encodées sous forme biochimique et envoyées au cerveaux à travers le nerf vague et dans le sang.

Plus de 40% des milliers de métabolites qui circulent dans le sang proviennent de notre flore intestinale. Nous n’avons conscience que d’une infime partie de ces informations, sous la forme d’impressions viscérales. Pourtant notre ventre parle, que ce soit en réaction à des émotions ou bien sous l’effet de déséquilibres (dysbioses) qui sont en train de s’opérer. En devenant plus conscient de nos sensations viscérales et de l’état de notre appareil digestif, nous pouvons réguler plus facilement nos émotions et initier des changements structurels dans plusieurs zones cérébrales permettant d’encoder de nouveaux « scénarios » dans le dialogue cerveau-intestin-microbiote.

Écouter ses sensations viscérales c’est suivre ses intuitions… et c’est à la portée de tous. Il suffit de commencer ! La clé est de centrer son attention focalisée sur notre ventre, dans l’instant présent, sans aucune autre attente que d’écouter et percevoir les sensations qui opèrent. La respiration abdominale et la méditation en pleine conscience sont des techniques qui aident à entrer en contact avec ses sensations viscérales.

Êtes -vous du genre à écouter plutôt votre « mental » ou plutôt votre corps ?

Mon astuce : je pose mes mains sur mon ventre de part et d’autre du nombril, assis confortablement, je ferme les yeux et respire profondément et lentement. Je porte mon attention sur l’oscillation du ventre dû à ma respiration puis progressivement, je laisse remonter les sensations, sans chercher à les interpréter. Quelques minutes suffisent pour percevoir si la digestion de mon repas précédent est fluide ou difficile , si des émotions me créent un poids ou inconfort… ces indications sont précieuses pour agir en conséquence et quand tout est calme et en paix, c’est une sacrée motivation pour continuer à bichonner son microbiote.

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Manger moins pour plus d’énergie

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelquesmois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grandbénéfice.

Manger moins pour plus d’énergie !

Pour la plupart des personnes, accroître son niveau d’énergie implique une alimentation riche en calories. Mais qui n’a jamais fait l’expérience d’avoir faim peu de temps après avoir mangé dans un fast-food ? Qui n’a déjà ressenti l’envie de dormir après un déjeuner et alors qu’il est l’heure de reprendre son travail ? Contrairement aux idées reçues le nombre de calories ingérées ne détermine pas notre niveau d’énergie, c’est une question de microbiote !

Manger moins pour plus d’énergie ! Voilà une idée qui peut paraître, de prime abord contre-intuitive… et pourtant: manger « léger » est un excellent moyen de se sentir très rapidement en énergie ! Pourquoi ?

Parce qu’un afflux soudain de nourriture en forte quantité, va mobiliser la plus grande partie des ressources énergétiques de notre organisme pour la digestion. Nos bactéries vont devoir être plus nombreuses mais leur reproduction demande beaucoup d’énergie. L’énergie extraite des aliments sera donc d’abord utilisée par notre microbiote pour se multiplier et seulement ensuite l’excédent sera disponible pour notre organisme.

De plus pour éviter que l’énergie ne soit dépensée ailleurs, les bactéries envoient des neurotransmetteurs à notre cerveau pour activer notre somnolence… Pour une journée active, ne faites pas l’erreur de manger trop riche: alléger les repas est une clé essentielle !

Mon astuce : 5 seconde de pleine conscience pour éviter le coup de barre d’après déjeuner.

Lorsque j’ai très faim, pour ne pas commander toute la carte du restaurant ou vider mon frigo, je bois une gorgée d’eau lentement, en mettant tout mon focus sur la sensation agréable de l’eau qui fait son chemin depuis mon palais jusqu’à mon ventre… ce court moment de pleine conscience calme le mental et diminue la sensation de faim… juste le temps de commander un repas léger et une après midi en pleine énergie !

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Limiter les aliments à haut index glycémique

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Limiter les aliments à haut index glycémique !

L’index glycémique (I.G.) est un classement des aliments selon l’augmentation du taux de sucre sanguin (glycémie) qu’ils produisent. Les sucres raffinés présentent un IG élevé (>70 sur une échelle de 0 à 100) . Ils passent très rapidement dans le sang.

Pour contrer cette montée de glycémie notre corps produit de l’’insuline et ne s’arrêtera que lorsque la glycémie sera inférieure à la normale… cela déclenche alors une sensation « d’hypoglycémie » : pâleur, perte d’énergie et faim seulement quelques dizaines de minutes après avoir consommé du sucre ! Ce « Yo-Yo » est contre-contre-productif à court terme et dangereux à long terme.

Consommer des boissons ou barres énergisantes est une erreur fatale pour votre niveau d’énergie !

Nous savons depuis peu que la consommation excessive d’aliments à fort IG, particulièrement l’association gras et sucré, favorise certaines souches de notre microbiote qui, pour continuer en s’en nourrir, envoient à notre cerveau des hormones comme la dopamine ou la sérotonine qui nous donnent une douce sensation de bien-être mais sont impliquées dans les mécanismes de récompense-dépendance, d’addiction ou de dépression (en l’absence de l’aliment).

Notre comportement alimentaire déséquilibre notre microbiote qui à son tour manipule notre comportement alimentaire, accentuant alors ce déséquilibre.

Cependant nous pouvons inscrire une autre histoire dans la communication cerveau-intestin-microbiote avec le secours des fibres !

Les fibres alimentaires que l’on trouve en abondance dans les légumes frais ou secs, les fruits et les céréales, sont le fuel du microbiote. Les études scientifiques ont montré que plus l’apport en fibres est important et plus la diversité et le nombre d’espèces de bactéries sont importants. Le microbiote en est d’autant plus stable et équilibré.

Mon astuce : des sucres oui… mais avec des fibres !

Les fruits frais représentent idéalement ma principale source d’aliments sucrés. Lorsque je les consomme en jus, j’y associe des légumes (carotte, betterave, concombre) pour enrichir en fibres sans amener trop de sucres.

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Limiter Les boissons et produits riches en sucres raffinés

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

L’afflux massif et rapide de sucre dans le sang crée un pic de glycémie. Afin de réguler ce pic, une grande partie des sucres va être stockée dans les muscles et dans d’autres tissus sous forme de graisse: l’énergie est piégée et n’est plus disponible pour notre corps à court terme d’où la sensation de faim qui apparait rapidement incitant à nouveau à s’alimenter. Mais ce cercle vicieux est encore plus…vicieux… car les familles de bactéries avides de sucre (par exemple candida albicans) vont vouloir continuer à se développer : elles envoient au cerveau des molécules de signalisation qui déclenchent une sensation de satisfaction, de bien être pour nous encourager à consommer ce même type d’aliments lors du prochain repas ! C’est un cercle vicieux et destructeur de notre santé qui s’instaure.

La consommation de sucres raffinés conduit à de nombreux déséquilibres, en particulier , à un processus d’inflammation de la paroi intestinale qui devient trop perméable et déclenche une réaction immunitaire de notre organisme. De nombreuses études scientifiques ont démontré que cette inflammation discrète de notre paroi intestinale est associé à l’apparition du Diabète de type II, d’obésité, ainsi qu’un risque accru de maladies cardio-vasculaires. D’autres études très récentes montrent que les dybioses liées à un régime trop riche en sucres sont associées à l’apparition des maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer.

Mon astuce : je ne veux pas créer une sensation de privation ou de frustration autour du goût sucré, j’ai donc changé la forme en privilégiant par exemple les fruits. J’ai aussi associé la limitation des sucres raffinés avec la joie de découvrir le goût original de produits de qualité: comme un grand cru de café, de thé ou de chocolat. Cette joie est beaucoup plus efficace que la frustration pour crée un nouvel axe de communication cerveau-intestin-microbiote favorable à ma santé.

Je réalise qu’il n’est pas question de régime, de privation, d’effort, mais d’un dialogue intérieur assertif, porteur de résultats visibles, rapides et durables !

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Privilégier les fibres

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Privilégier les fibres

Les dernières études scientifiques nous apprennent que la principale cause des maladies métaboliques (obésité, maladies cardio-vasculaires, diabète type 2..) sont liées à l’excès de sucres raffinés et la carence en fibres de notre alimentation moderne.

Les fibres alimentaires que l’on trouve en abondance dans les légumes frais ou secs, les fruits et les céréales, sont le fuel de notre flore intestinale. Les études scientifiques ont montré que plus l’apport en fibres est important et plus la diversité et le nombre d’espèces de bactéries sont importants. Le microbiote en est d’autant plus stable et équilibré. Or, notre état de santé dépend de la symbiose que nous entretenons avec notre microbiote.

Autre bénéfice, les fibres ralentissent l’absorption des sucres, ainsi, les aliments riches à la fois en sucres et en fibres comme les fruits auront un index glycémique moyen ou bas. Un faible IG est à privilégier car il induit une libération lente de l’énergie permettant une utilisation longue et régulière par l’organisme, mais également moins de stockage des sucres en graisses et un effet de satiété diminuant la faim et donc la prise alimentaire.

Plus encore : la digestion des fibres par notre microbiote produit des acides gras à courte chaîne (AGCC) qui apportent de l’énergie à nos cellules et ont des effets protecteurs sur notre santé. Au niveau de l’intestin, ces molécules permettent, entre autres, de réguler les processus inflammatoires et sont capables d’inhiber la prolifération des cellules cancéreuses dans le côlon.

Autant de raisons pour privilégier l’apport des fibres !

Mon astuce : j’ai les fibres gourmandes…

J’enrichis en fibres mes plats avec des graines de chanvre bio non décortiquées ou des pistaches grillées. En cas de fringale, je grignote riche en fibres avec des baies de Goji bio ou des amandes bio non pelées . Facile même au bureau ou en déplacement !

Pierre Lapoujade

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Créez de la joie, partagez vos repas

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Un des plus grands spécialistes mondiaux du lien Cerveau-Intestin, le Dr Emeran Mayer a écrit « de la même façon que les émotions négatives nuisent à l’axe intestin-microbiote-cerveau, le bonheur, la joie et le partage lui sont bénéfiques . Si vous mangez en étant heureux, votre cerveau envoie des signaux à votre intestin qui sont favorables à votre digestion et à vos microbes intestinaux ».

Et il a raison ! Partager un repas, avec soi même ou avec d’autres personnes, créer de la convivialité, de la joie, se nourrir des relations sociales, est très productif.

Un environnement favorable à notre épanouissement personnel se traduit par des conditions biologiques préservant à la bonne santé de notre flore intestinale. Au final, les aliments ne représentent qu’une faible partie de tout ce qui nous nourrit .

Mon astuce : je ne sacrifie jamais le plaisir gustatif, l’esthétique et la joie que me procure un plat sous prétexte qu’il serait bon pour ma santé ! J’aime préparer et partager un beau plat, c’est, dans mon référentiel, un acte d’amour qui participe aussi à me nourrir .

Pierre Lapoujade

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Respirer & accueillir les émotions

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Respirer & accueillir les émotions

Les émotions, qu’elles nous soient propres ou celles de notre entourage, sont ressenties au niveau des récepteurs neuronaux de notre ventre: le système nerveux entérique appelé aussi deuxième cerveau.

Elles impactent de manière très forte notre système digestif. Une peur intense peut, dans des cas extrêmes, aboutir à la vidange de tout notre système gastrique et intestinal (nausée ou diarrhée). Des situations de stress peuvent couper l’appétit ou au contraire induire une alimentation compulsive.

Ce sont des réflexes ancestraux , qui permettaient de faire face à un danger vital ou s’adapter à des situations exceptionnelles. Ces scénarios d’un autre temps sont ancrés profondément dans notre inconscient.

Nous continuons, tout au long de notre vie, mais surtout durant notre enfance, à inscrire de nouvelles boucles de régulations émotionnelles impliquant l’axe de communication cerveau – intestin – microbiote.

Ainsi la colère, l’anxiété ou la joie vont moduler les conditions de vie du microbiote au sein de notre système digestif (durée et intensité des contractions intestinales, acidité, abondance des sécrétions gastriques, niveau d’oxygénation, etc.). Certaines familles de notre flore vont être favorisées par ces nouvelles conditions et d’autres vont au contraire diminuer voire disparaitre. Ces modifications vont à la fois déséquilibrer notre microbiote et souvent diminuer notre énergie.

Toutes le techniques de gestion consciente des émotions visant à diminuer le stress vont dans le sens d’une flore intestinale en bonne santé et donc d’un équilibre énergétique préservé.

Mon astuce : en cas de ressenti émotionnel fort au moment du repas (peur, colère ou anxiété), je n’ajoute pas de nourriture au magma émotionnel qui s’agite dans mon intestin. Je porte mon attention sur l’accueil de mes émotions puis l’abaissement de mon niveau de stress par la respiration. Ces quelques minutes de retard à table s’avèrent précieuses pour la suite de la journée.

Pierre Lapoujade

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

ZEN & PERFORMANT – 3 clés faciles pour PLUS D’ÉNERGIE

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelquesmois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grandbénéfice.

#1 – Manger moins pour plus d’énergie !

Voilà une idée qui peut paraître, de prime abord contre-intuitive… et pourtant : manger « léger » est un excellent moyen de se sentir très rapidement en énergie ! Pourquoi ?

Parce qu’un afflux soudain de nourriture en forte quantité, va mobiliser la plus grande partie des ressources énergétiques de notre organisme pour la digestion. Nos bactéries vont devoir être plus nombreuses mais leur reproduction demande beaucoup d’énergie. L’énergie extraite des aliments sera donc d’abord utilisée par notre microbiote pour se multiplier et seulement ensuite l’excédent sera disponible pour notre organisme.

De plus, pour éviter que l’énergie ne soit dépensée ailleurs, les bacteries envoient des neurotransmetteurs à notre cerveau pour activer notre somnolence… Pour une journée active, ne faites pas l’erreur de manger trop riche : alléger les repas est une clé essentielle !

#2 – Bougez (même peu) mais bougez !

Le corps humain est fait pour être en mouvement.  Face à une baisse d’énergie, l’erreur classique est de ne pas assez bouger ! L’exercice physique, même modérée, induit la production d’hormones et de neurotransmetteurs qui augmentent notre vigilance (dopamine), créent une sensation de plaisir et de douce d’euphorie (endorphine, dopamine), diminuent la sensation de fatigue (adrénaline) et déstockent les graisses (noradrénaline) pour rendre l’énergie disponible au niveau cellulaire.

Une activité physique régulière est également associée avec une augmentation de la production de butyrate par notre microbiote. Cet acide gras à courte chaine est impliqué dans la résolutions de l’inflammation et dans les mécanismes de régulation énergétique.

#3 – Pas de sucres raffinés ou d’aliments à haut index glycémique !

Les sucres passent très rapidement dans le sang, sans êtres métabolisés par notre microbiote. Pour contrer cette montée de glycémie, notre corps produit de l’insuline et ne s’arrêtera que lorsque la glycémie sera inférieure à la normale… cela déclenche alors une sensation « d’hypoglycémie » : faim, perte d’énergie, pâleur seulement quelques dizaines de minutes après avoir consommé du sucre. Ce « Yo-Yo » est contre-contre-productif à court terme et dangereux à long terme.

Consommer des boissons ou barres énergisantes est une erreur fatale pour votre niveau d’énergie !

Mon astuce : 5 seconde de pleine conscience pour éviter le coup de barre d’après déjeuner.

Lorsque j’ai très faim, pour ne pas commander toute la carte du restaurant ou vider mon frigo, je bois une gorgée d’eau lentement, en mettant tout mon focus sur la sensation agréable de l’eau qui fait son chemin depuis mon palais jusqu’à mon ventre… ce court moment de pleine conscience calme le mental et diminue la sensation de faim… juste le temps de commander un repas léger et une après midi en pleine énergie !

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – BOUGEZ (même peu) mais bougez !

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelquesmois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grandbénéfice.

BOUGEZ (même peu) mais bougez !

Le corps humain est fait pour être en mouvement. Face à une baisse d’énergie, l’erreur classique est de ne pas assez bouger !

L’exercice physique régulier est un pilier de notre équilibre de santé. Il permet d’optimiser la circulation d’énergie, la tonicité musculaire, la stimulation du système immunitaire, l’oxygénation et la régénération cellulaire.

L’activité physique induit également la production d’hormones et de neurotransmetteurs qui augmentent notre vigilance (dopamine), créent une sensation de plaisir et de douce d’euphorie (endorphine, dopamine), diminuent la sensation de fatigue (adrénaline) et déstockent les graisses (noradrénaline) pour rendre l’énergie disponible au niveau cellulaire.

Tous ces facteurs tendent à diminuer les stress, la tension artérielle et à augmenter les niveaux d’oxygénation de notre organisme, ce qui crée des conditions idéales pour l’équilibre de notre microbiote.

Une activité physique régulière est également associée avec une augmentation de la production de butyrate par notre flore intestinale qui est un AGCC (acide gras à courte chaine) impliqué dans la résolutions de l’inflammation et dans les mécanismes de régulation énergétique.

Les dernières études sur des sportifs de haut niveau montrent l’abondance d’une bactérie, Methanobrevibacter smithii, dont la présence au sein du microbiote rend ce dernier plus efficace en termes de métabolisme énergétique et pourrait aussi réduire le temps de récupération.

Mon astuce : je pratique le sport le matin avant le petit déjeuner.

Sous l’effet de la noradrénaline, l’énergie accumulée sous forme de graisse dans mon corps est déstockée et devient disponible pour mon organisme: c’est comme si je prenais une partie de mon petit déjeuner en faisant mon sport. Résultat, ma collation du matin est allégée et je commence ma journée en pleine énergie !

Pierre Lapoujade

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Changer l’ordre des aliments… commencez par les fruits !

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Changer l’ordre des aliments… commencez par les fruits !

Ce conseil peut paraître anodin, pourtant il va changer radicalement et durablement votre alimentation, en corrigeant la première erreur fatale à votre énergie !

En mangeant les fruits en début de repas, leurs sucres seront rapidement absorbés et vont alimenter en énergie notre corps en quelques minutes seulement. La sensation de faim va alors s’estomper plus rapidement et par conséquent limiter notre prise alimentaire.

Autre bénéfice énergétique : à jeun, les fibres des fruits vont atteindre plus rapidement l’intestin grêle et le colon en étant peu dégradées durant leur parcours . Elles pourront alors stimuler une très grande diversité de micro-organismes au sein de notre microbiote qui produiront des AGCC (acides gras à courte chaine) constituant une source importante d’énergie pour notre corps.

De plus, certains AGCC comme le propionate et le butyrate vont atteindre et cibler certains récepteurs de notre cerveau impliqués dans le contrôle de l’équilibre énergétique du corps. Il se recrée ainsi, une communication positive au sein de l’axe cerveau-intestin-microbiote favorisant notre équilibre énergétique.

Dans le cas inverse, si les aliments gras et ceux riches en protéines qui demandent un temps très long de digestion (4h à 6h) sont consommés en premier, ils vont alors créer un « énorme embouteillage » qui va non seulement retarder la libération d’énergie pour notre corps, mais également retarder la sensation de satiété et enfin dégrader les nutriments d’intérêt contenus dans les fruits (fibres, anti-oxydants etc…).

Mon astuce : je choisis l’ordre de mes aliments en visualisant des véhicules sur une route: pour éviter les « bouchons » il est préférable de faire partir les voitures en premier, ensuite les camions et les tracteurs en dernier… Au quotidien : j’aime commencer mes repas par des fruits ou légumes sucrés tels que du melon, de la pastèque, des tomates, de la mangue, du pamplemousse, des bâtonnets de carottes, des fraises, des cubes de betterave rouge…

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.