DONNER pour le PLAISIR

La meilleure façon de donner est de le faire sans rien attendre en échange, en dehors du fait de faire plaisir. En effet, lorsque l’on consacre sa vie à aider les autres, il ne faut pas oublier qu’on le fait d’abord pour son plaisir, et qu’on n’a rien à attendre en plus. Dans le cas contraire, on s’épuise en quête de reconnaissance et on devient frustré et malheureux.

Quand j’ai lancé mon blog, je n’avais aucune autre attente que celle d’apporter mon expérience aux autres et de leur montrer que cette expérience peut profondément transformer leur vie en positif. Ce n’est que plus tard que j’ai appris qu’il existait des moyens de monétiser mon blog.

Et vous, donnez-vous pour le plaisir ?

Bonne journée,
Ludovic

Diminuer l’AGITATION de son mental

Quand je ne parviens pas à apaiser mon mental, je vais marcher ou courir dans la nature, et je prête attention à ce qui m’entoure : la sensation du sol sous mes pieds, le chant des oiseaux, le bruissement du vent dans les arbres, chacun de mes gestes, chacun de mes mouvements. Et cette attention me permet de sentir la vie qui circule en moi.

Mais malgré mes efforts, le petit moi revient constamment à la charge : il veut continuer à exister. Par exemple, pendant une réunion, un participant fait une grande démonstration et je ne peux m’empêcher de penser : « Il m’e****, avec ses airs de monsieur-je-sais-tout » ou encore lorsqu’un membre de la famille émet une réflexion sur notre aisance financière : « Pour qui se prend-il ? Il ne se rend pas compte du travail que j’ai fourni pour en arriver là, moi ! »…

Dans ce genre de cas, je constate dans un premier temps l’agitation mentale : les jugements qui fusent dans tous les sens, les comparaisons, les critiques. Je me contente alors de les regarder, de les observer.

Et vous, arrivez-vous à diminuer l’agitation de votre mental ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

Que puis-je AMÉLIORER dans ma vie pour être PLUS HEUREUX ? (partie 3/3)

argent-et-spiritualite

Qu’avez-vous fait de différent ce matin ? Rien ? Alors, rien ne changera à moins d’agir différemment dès demain matin.

Nous avons vu mardi dernier, comment trouver 5 de vos plus grandes forces. Voici aujourd’hui, la dernière partie de cet article.

Demandez à votre entourage de nommer cinq de vos forces

Grâce à la générosité de ces personnes, vous comprendrez davantage les divers éléments qui vous ont amené à vous dépasser. Si vous voulez avancer, c’est sur vos forces qu’il faut vous concentrer pour ne pas être captif de vos faiblesses.

Dans votre journal, écrivez le nom de chaque personne et leurs propos face à vos forces. Un des éléments importants à la réussite de vos objectifs et de vos projets, c’est la définition de vos valeurs. Pour débuter, réfléchissez à vos valeurs et dans votre journal personnel, nommez vos valeurs fondamentales : les trois valeurs les plus importantes pour vous. Par exemple : liberté, respect, communication, santé, famille, spiritualité, honnêteté, et autres. Vous devez ressentir l’importance des valeurs qui vous habitent. Nos valeurs sont nourries lorsqu’on se sent bien, dans une énergie positive, enrichissante.

Prenez le temps de t’investir cette semaine pour créer une nouvelle directive que vous allez choisir. Donnez-vous cette importance, car tu mérites ce qui a de meilleur sur cette belle planette terre.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

Pour recevoir plus d’informations de la part de Robert Savoie, remplissez le formulaire ci-dessous.

SE FIXER DES OBJECTIFS

Avec les nombreuses sollicitations qui viennent vers nous quotidiennement, il arrive que nous nous contentions de gérer les informations qui viennent à nous ou que nous nous sentions tellement débordés par les urgences à gérer que nous ayons le plus grand mal à prendre de la hauteur et à avancer sur notre projet de vie.

Pour nous motiver, nous pouvons nous fixer des objectifs. Toutefois, ces objectifs doivent être mesurables et suffisamment précis ; par exemple concernant les voyages, quelle destination et quelle durée ? Et bien évidemment, les objectifs doivent nous amener de la joie de vivre et ne pas être du domaine du « il faut, je dois »…

Nous pouvons par exemple nous visualiser à un an, à cinq ans. J’ai fait cet exercice il y a un peu plus d’un an. J’ai imaginé sept étapes à réaliser :

  • Terminer positivement mes procédures collectives.
  • Solder tous les prêts de notre foncière (15 millions d’euros de renégociation bancaire ; la vente de biens immobiliers était pour cela nécessaire).
  • Conceptualiser un projet qui participerait à la création d’un monde meilleur.
  • Démarrer un nouveau projet ambitieux qui aiderait les autres.
  • Faire deux voyages à l’étranger en famille.
  • Écrire un livre qui pourrait aider d’autres personnes (cet objectif était mon plus grand challenge, très éloigné de ma zone de confort).
  • Continuer mon travail sur moi et devenir plus zen.

Après avoir établi ma liste d’objectifs, j’ai mis un ordre de priorité et une date de réalisation en face de chacun d’eux. Ensuite, je me suis régulièrement projeté dans cette liste d’objectifs. En effet, en nous projetant dans l’avenir et en imaginant que nous avons réalisé toutes nos ambitions, nous nous sentons pleinement accomplis. À part quelques décalages dans le temps, mes sept étapes ont été réalisées.

Pour avancer vers notre projet de vie, fixons-nous des objectifs ambitieux, qui nous font vibrer, qui mobilisent totalement notre potentiel et qui nous poussent à l’action. Et surtout, ne nous limitons pas, osons voir grand ! Dépassons le réaliste et le raisonnable !

Et vous, avez-vous fixé vos objectifs ?

Bonne journée,
Ludovic

Changer ses DÉPENDANCES en PRÉFÉRENCES

En refusant d’accepter la vie telle qu’elle se présente, je me rendais malheureux : rien n’était jamais assez bien, assez rapide, assez grand pour moi. Dans ma quête du toujours plus, j’étais incapable de célébrer ce qui était.

En lisant L’abondance véritable ? de Neale Donald Walsch, un déclic s’est produit en moi. L’auteur y explique que nous devons passer de la dépendance à la préférence dans notre manière de vivre.

Il y a certains éléments dont nous croyons avoir besoin. Neale Donald Walsch nous invite à examiner à quel point ils nous manqueraient si nous ne les obtenions pas sur le champ. Souvent, on s’aperçoit finalement que l’on s’en passe assez facilement : les dépendances deviennent des préférences.

Par exemple : lorsque je dirigeais mon groupe, j’avais un train de vie important. Une employée de maison s’occupait à plein temps de l’intendance et j’étais loin des préoccupations de la vie quotidienne : en dix ans, je n’ai pas dû aller faire les courses au supermarché plus d’une fois ou deux. Je ne m’imaginais pas pouvoir changer de style de vie sans éprouver un réel manque. Mais j’ai accepté ma nouvelle condition, en me passant notamment d’une employée de maison. Tout compte fait, j’ai fini par réellement apprécier la simplicité de cette vie nouvelle. J’ai pris conscience que je me passais très bien de ce qui me semblait pourtant indispensable.

Et vous, avez-vous des dépendances et êtes-vous prêts à vous en passer ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic