Prenons le TEMPS DE VIVRE pleinement

À la tête de mon groupe, je faisais tout (très) rapidement : les rendez-vous s’enchaînaient les uns après les autres, je profitais des repas du midi pour continuer à travailler dans notre restaurant avec un collaborateur, des partenaires, mes conseils… Ensuite, je saturais mes week-ends de tout ce que je n’avais pas eu le temps de faire pendant la semaine : des achats personnels, une sortie en famille ou entre amis, la lecture (rapide) de magazines…

Je me sentais comme happé par le système et je vivais mécaniquement, sans vraiment être conscient d’exister. Au fond de moi, je voulais aider les autres et réaliser de grandes actions humanitaires. Faute de temps, je remettais cela à plus tard.

Mais la vie fait bien les choses : elle a décidé de me stopper net en me faisant déposer le bilan. J’aurais préféré plus de douceur, mais quand on ne comprend pas les messages que la vie nous envoie…

Et-vous, prenez-vous le temps de vivre pleinement ?

Je vous souhaite une bonne journée.
Ludovic

Ne soyons pas MODESTES

Mon père me répétait souvent : « pour qui te prends-tu ? », « tu peux faire mieux », « tu n’es pas le centre du monde »… Il pensait bien faire en me faisant comprendre que je ne devais pas écraser les autres, que je devais savoir rester discret et modeste en toute circonstance !

Au fond de moi-même, j’avais envie de briller, de sortir de la norme, mais mon éducation me bridait ! De peur de déplaire à l’autre, je n’osais pas montrer mes forces…

Lors de rencontres avec de nouvelles personnes, j’étais toujours honteux de me mettre en avant, honteux de bien gagner ma vie, honteux d’avoir introduit ma société en bourse, honteux de voir grand… J’avais tendance à m’aligner sur la faiblesse et la morosité ambiantes pour ne pas montrer ma différence ! J’avais peur de ce que pouvaient penser les autres de ma réussite.

Et vous, aimez-vous briller et exprimer vos plus belles réalisations ?

Bonne journée,
Ludovic

Retrouvons L’INNOCENCE de l’enfant

L’enfant est totalement présent dans ce qui est. Quand il se heurte à un problème, il ne se noie pas dans la rumination. Cette joie de vivre de l’enfant est riche d’enseignement pour moi.

En vacances à Bali durant l’hiver 2015, Valérie et moi étions accompagnés par un guide prénommé Putu, qui nous a permis de découvrir le vrai Bali, loin des cohortes de touristes du sud de l’île.

Nous avons découvert des temples difficilement accessibles, une nature riche et généreuse, et surtout le peuple balinais, sa joie de vivre, sa légèreté, sa spiritualité, son abandon à plus grand que nous… Les habitants semblaient s’abandonner totalement à la vie et à leurs dieux, sans aucune anxiété pour l’avenir ou regret pour le passé. Ils vivaient comme de grands enfants, dans la joie du moment présent. Pendant les trois jours passés avec Putu, nous avons ri de bêtises de la vie quotidienne.

Retrouver ma joie de petit enfant a été pour moi un vrai bonheur.

Et vous, quelles expériences vous ont permis de revivre la joie du petit enfant ?

Bonne journée,
Ludovic

Quand tout va mal… les SOLUTIONS possibles !

se faire aider

Vous vivez peut-être en ce moment une situation difficile et vous n’arrivez pas à vous en sortir… Vous avez l’impression de toucher le fond et de ne pas trouver de solutions ?

Si c’est le cas, je vais vous partager 4 étapes qui vont vous aider à aller mieux.

Je vous souhaite le meilleur
Ludovic

Pourquoi bien CHOISIR SES MOTS ?

En prenant l’habitude d’observer notre vocabulaire, nous nous rendons compte que certains mots dépriment, découragent, dévalorisent (« problème », « manque », « souffrance », « impossible »…) tandis que d’autres encouragent, valorisent, enthousiasment (« amour », « joie », « réussite », « confiance », « succès »…).

Les mots émettent en effet une fréquence vibratoire qui résonne en nous et génère des émotions correspondantes. Celles-ci sont ensuite projetées vers l’extérieur et se matérialisent par des événements, des rencontres… Un bon nombre de situations que nous vivons dans la journée sont le prolongement de notre état intérieur.

Dans un premier temps, nous pouvons être attentifs à nos pensées et à nos mots. Pour ma part, j’ai pris la décision de mettre ma parole au service de ce qui est positif, constructif, lumineux, et de ne pas médire. Quand nous médisons, nous faisons en effet du tort aux autres mais également à nous-mêmes, car nous allons craindre ce qui va se dire dans notre dos. Je refuse donc de prendre part aux critiques systématiques portées sur les autres et, quand je suis pris dans une situation négative, je préfère rester silencieux…

Et vous, choisissez-vous les mots que vous utilisez ?

Bonne journée,
Ludovic

POURQUOI demander de l’AIDE à l’EXTÉRIEUR ?

Dans mes difficultés, j’ai reçu l’aide de plusieurs thérapeutes qui ont largement contribué à faire émerger l’homme que je suis aujourd’hui. Ils m’ont notamment fait prendre conscience de la carapace que je m’étais forgé depuis mon enfance et qui s’était renforcée avec les épreuves.

En me protégeant des attaques extérieures, cette armure m’empêchait aussi de m’ouvrir à ma grande sensibilité et d’exprimer pleinement mon potentiel.

J’ai rencontré des philosophes, des sophrologues, des psycho-énergéticiens, des psychologues, des chamans, des sages, des maîtres spirituels. J’ai participé à des stages de développement personnel : psychologie d’évolution, travail sur l’enfant intérieur, sophrologie, stage psycho-énergétique, EFT, méditation, intuition, chamanisme…

Les échanges sincères et profonds avec les groupes ont toujours été d’une grande richesse. Ils m’ont permis de mieux me connaître et de mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons. Je suis très reconnaissant envers toutes ces personnes qui m’ont aidé à me libérer, à retrouver à la fois la joie et une raison de vivre.

Et vous, en cas de difficultés, acceptez-vous de l’aide provenant de l’extérieur ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

Exprimez-vous votre RESSENTI ET VOS ÉMOTIONS ?

En exprimant sans ressentiment ses émotions, ses difficultés ou ses joies, la vie devient tout à coup beaucoup plus facile.

Je m’étais construit une image de personnage insensible, distant, froid. Je déployais une grande énergie pour conserver mon masque, et je jouais constamment un rôle. En exprimant mes ressentis au moment où l’action se passe, comme le ferait un enfant, je suis redevenu moi-même et j’ai pu laisser tomber mes masques.

J’avais aussi appris à ne pas révéler mes pensées, par crainte de blesser les autres ou de ce qu’ils allaient penser de moi si je me dévoilais. De ce point de vue, mon blog a été un excellent exercice pour moi. Il m’a permis d’exprimer vraiment qui je suis en toute transparence, humilité et vulnérabilité. Au départ, l’exercice a été difficile, mais révéler sans fard mes faiblesses, mes défauts aussi bien que mes qualités, est devenu une expérience libératrice.

Aujourd’hui, j’exprime clairement mon ressenti, voire mon mécontentement. Ce faisant, j’envoie à mon interlocuteur le message que, moi aussi, j’ai droit au respect et que je ne suis pas là pour encaisser sa mauvaise humeur… En répondant simplement et en pardonnant rapidement comme un enfant l’aurait fait, mon esprit s’est libéré de ces encombrements et je peux dorénavant passer à autre chose.

Et vous, exprimez-vous facilement votre ressenti et vos émotions ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

Et si les ÉPREUVES étaient un CADEAU ?

Stephen Hawking est paraplégique, il a subi une trachéotomie ; cela ne l’a pas empêché d’être l’auteur de nombreux best-sellers.

Philippe Croizon, électrocuté par une décharge de vingt mille volts, a été amputé des quatre membres ; cela ne l’a pas empêché de traverser la Manche à la nage et de préparer un projet pour parcourir le Dakar.

Nos imperfections ou nos accidents seraient-ils finalement des bénédictions ?

Et vous, quels cadeaux vous ont finalement apporté vos épreuves ?

Je vous souhaite une agréable journée,
Ludovic

S’AMUSER et faire ce qui nous plait

Après mes difficultés professionnelles, j’ai réellement compris que le but de la vie n’était pas de réaliser des objectifs matériels, mais de ressentir et de vivre la joie au quotidien. J’ai donc commencé à faire de plus en plus de choses qui m’apportent de la joie, en pensant à un adage confié par un maitre : « si ce n’est pas amusant, je ne le fais pas ».

Pour ma part, lorsque je marche dans la nature, je connais la joie. Lorsque je suis en famille, décontracté, je connais la joie. Lorsque je conceptualise un projet porteur de sens, je connais la joie. Quand j’aide les autres à se réaliser, je connais la joie.

Et vous, qu’est-ce qui vous apporte de la joie ?

Belle journée,
Ludovic

POURQUOI S’INSPIRER de la NATURE ?

En observant la nature au travail, nous pouvons remarquer qu’elle suit le chemin de non-résistance : l’arbre ne lutte pas pour pousser, il pousse ; les poissons ne résistent pas au courant, ils nagent et suivent le courant. La nature fonctionne sans effort, sans difficulté, spontanément. Quand on recherche le pouvoir et le contrôle sur les autres ou sur ses propres actions, on force les choses et on finit par s’épuiser.

Deepak Chopra, classé parmi les 100 personnalités marquantes du siècle par « Time magazine » parle du principe de « faire moins et accepter plus ». Il préconise de mettre en œuvre le précepte suivant : « Aujourd’hui, j’accepterai les personnes, les situations et les circonstances telles qu’elles se présenteront ».

Par exemple : mon vol Biarritz-Paris a deux heures de retard. Dans un premier temps, je m’énerve, je pense à tous les rendez-vous que je vais devoir décaler… Et finalement, je décide d’accepter la situation, de me détendre. Je m’installe alors confortablement au bar de l’aéroport, et je réussis à décaler facilement mes rendez-vous. Tout se déroule parfaitement bien. La situation aurait certainement été bien différente si j’étais resté tendu et nerveux.

En acceptant les choses comme elles sont, et non pas comme on voudrait qu’elles soient, l’effort n’est plus à faire : les évènements glissent naturellement.

Et vous, acceptez-vous les choses comme elles se présentent ?

Bonne journée,
Ludovic