Méthode d’organisation – Clé #5 : Pourquoi l’ÉMOTIONNEL est-il l’ENNEMI de l’organisation ?

« On passe à l’acte » vous propose 7 clés fondamentales d’organisation pour la construction de votre projet. Vendredi dernier, nous avons vu la clé n° 4 : Comment aider votre CERVEAU à mieux S’ORGANISER ? Voici aujourd’hui la clé n°5.

Pourquoi l’ÉMOTIONNEL est-il l’ENNEMI de l’organisation ?

Dans un projet, chaque tâche, chaque action est importante. Même les moins plaisantes.

Détachez-vous de vos émotions et adoptez la rigueur qui s’impose en traitant toutes les tâches nécessaires à l’aboutissement de votre projet.

Priorisez par ordre d’importance et non par affinité avec la tâche à réaliser.

À suivre vendredi prochain – Clé n°6 : Se donner un CAP et les MOYENS d’y parvenir

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La GRATITUDE au quotidien

J’ai partagé cette pratique avec mes enfants en instaurant un rituel du soir : avant de se coucher, ils devaient me donner trois événements de la journée qui méritaient d’être célébrés. Cela leur permettait de partager des événements agréables de la journée et de s’endormir sur du positif.

Dans le domaine professionnel, j’ai pris l’habitude de commencer les réunions en faisant un tour de table des succès engendrés depuis la réunion précédente avant de passer en revue les problèmes à régler.

Le fait de célébrer et de déclarer à haute voix des actions positives passées renforce le pouvoir de création à venir. De la même manière, mes réunions se terminent par des annonces positives concernant l’avenir, le fait d’annoncer des objectifs enthousiasmant permettant d’ouvrir le champ des possibilités.

Pratiquez-vous la gratitude au quotidien ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 2/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Nous avons vu mardi dernier,  les points de repères de mon enfance. Abordons maintenant cela sur le plan de la spiritualité (sans parler de religion).

Spiritualité : MES POINTS DE REPÈRE

Je crois en une Force suprême : un Dieu, ma Source, mon Énergie divine. Appelez-la comme bon vous semble. J’aimerais vous parler de mon oncle Fred. Il m’a montré la voie, sa voie… À l’âge de sept ans, il m’a donné une petite bible rouge. Un cadeau précieux pour moi. À l’âge de seize ans, alors que j’étais ivre, en rêvant que j’étais à la salle de bain, j’ai ouvert le tiroir de mon bureau et uriné sur la bible, sans faire exprès, j’étais inconscient de ce que je faisais… J’ai dû la jeter… j’ai beaucoup regretté mon geste. Ce point repère que mon oncle m’a transmis quand j’avais sept ans me suit encore aujourd’hui.

Comment ai-je pu vivre en endurant toutes ces souffrances?

J’ai construit des personnages pour ne pas me regarder dans le miroir et être ainsi forcé de me responsabiliser. J’ai vécu des abus et de la violence. J’ai consommé des substances. J’ai enduré la maladie et fait quatre tentatives de suicide parce que j’avais trop mal à l’intérieur, Le mal de vivre. Comment pourrait-on m’expliquer que lors de ma quatrième tentative, j’ai pris tellement de coumadin que cette quantité aurait pu tuer un cheval ? Vous allez me dire après cela qu’il n’y a pas quelque chose de plus grand que soi ? La foi, c’est quelque chose de personnel.

ATTENTION : il y a une différence entre la religion et la spiritualité. Aujourd’hui, je vous parle de spiritualité. Nous ne savons plus communiquer et, pourtant, nous sommes à l’ère des communications le monde virtuel, l’électronique, les iPods, les textos, les réseaux sociaux. Tout cela ne nous permet pas d’échanger davantage, de parler pour vrai en nous regardant dans les yeux. Au resto, les familles passent leur temps à faire des texos. Nous ne sommes plus en relation. À l’arrêt d’autobus, on se disait bonjour alors que maintenant, nous ne nous levons même plus la tête pour saluer les gens. Nous accordons plus d’importance aux textos, au virtuel, qu’aux membres de nos familles. Toute une fuite! Pire encore, personne ne veut le voir, c’est devenu la norme.

Les sapins de Noël dans les centres d’achat me rappellent mes points de repère. Regardons-nous dans un miroir : c’est nous qui sommes à blâmer et non ceux qui nous demandent d’enlever tous nos points de repère. Transmettons-nous nos valeurs et nos traditions à nos enfants ? C’est pourtant sécurisant et réconfortant pour eux. Je suis né au Québec, ma langue, c’est le français. J’aime nos traditions, notre culture, elles sont mes points de repère. Si nous n’en avons pas, nous sommes alors assis sur un siège désajusté et nous conduisons mal notre vie.

EN CONCLUSION : encore une fois, nous sommes ce que nous voulons être. Refuser de me regarder dans le miroir, c’est accepter que d’autres établissent mes points de repère et contrôlent ma vie. Cette portion du message que je présente aux gens est puissante. Je vous invite à croire en vous, à faire mourir vos personnages pour créer la vie dont vous rêvez. Je vous invite à retourner à votre source, là où se trouve la plus grande des forces, beaucoup plus grande que soi-même et sur laquelle nous pouvons compter en tout temps et qui peut nous aider à obtenir tout ce que nous désirons.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

>> Relire la première partie de cet article

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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S’ÉMERVEILLER COMME LE PETIT ENFANT

En retrouvant les capacités d’émerveillement d’un enfant, la perception de notre environnement change et nous redécouvrons la beauté de ce qui nous entoure.

Récemment, après avoir pratiqué un exercice de pleine conscience, j’ai découvert de nouvelles facettes des paysages que je vois pourtant chaque jour ! J’ai découvert de nouveaux sons, de nouvelles odeurs, et j’ai perçu la vie sous un nouveau jour…

En refusant la joie de vivre, nous devenons négatifs, pessimistes, nous nous décourageons facilement. En retrouvant la joie de vivre, nous rions de plus en plus chaque jour.

En prenant l’habitude de nous arrêter sur les petits plaisirs de la vie, de nous en émerveiller, nous retrouvons la simplicité du petit enfant.

Et vous, arrivez-vous à vous émerveiller comme quand vous étiez enfant ?

Bonne journée,
Ludovic

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Écoutez vos tripes

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Le système nerveux entérique (deuxième cerveau) et le microbiote réagissent à ce que nous mangeons, ce que nous buvons, aux organismes infectieux, aux polluants, aux émotions, à nos interactions avec l’environnement, nos relations avec les autres personnes ainsi que beaucoup d’autres stimuli. Ces milliards d’informations journalières sont encodées sous forme biochimique et envoyées au cerveaux à travers le nerf vague et dans le sang.

Plus de 40% des milliers de métabolites qui circulent dans le sang proviennent de notre flore intestinale. Nous n’avons conscience que d’une infime partie de ces informations, sous la forme d’impressions viscérales. Pourtant notre ventre parle, que ce soit en réaction à des émotions ou bien sous l’effet de déséquilibres (dysbioses) qui sont en train de s’opérer. En devenant plus conscient de nos sensations viscérales et de l’état de notre appareil digestif, nous pouvons réguler plus facilement nos émotions et initier des changements structurels dans plusieurs zones cérébrales permettant d’encoder de nouveaux « scénarios » dans le dialogue cerveau-intestin-microbiote.

Écouter ses sensations viscérales c’est suivre ses intuitions… et c’est à la portée de tous. Il suffit de commencer ! La clé est de centrer son attention focalisée sur notre ventre, dans l’instant présent, sans aucune autre attente que d’écouter et percevoir les sensations qui opèrent. La respiration abdominale et la méditation en pleine conscience sont des techniques qui aident à entrer en contact avec ses sensations viscérales.

Êtes -vous du genre à écouter plutôt votre « mental » ou plutôt votre corps ?

Mon astuce : je pose mes mains sur mon ventre de part et d’autre du nombril, assis confortablement, je ferme les yeux et respire profondément et lentement. Je porte mon attention sur l’oscillation du ventre dû à ma respiration puis progressivement, je laisse remonter les sensations, sans chercher à les interpréter. Quelques minutes suffisent pour percevoir si la digestion de mon repas précédent est fluide ou difficile , si des émotions me créent un poids ou inconfort… ces indications sont précieuses pour agir en conséquence et quand tout est calme et en paix, c’est une sacrée motivation pour continuer à bichonner son microbiote.

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L’eau selon la naturopathie (partie 1)

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

De façon étonnante, l’être humain, à l’instar de sa planète nourricière, la Terre, est constitué d’environ trois quarts d’eau. Et sa proportion atteint même 85 % dans les tissus cérébraux ! C’est dire si ce précieux liquide est indispensable à toute forme de vie : sans eau, point de vie.

L’importance quantitative de l’eau dans notre corps est proportionnelle aux nombreuses fonctions qu’elle remplit afin que notre biologie fonctionne parfaitement bien. Les bons apports hydriques ainsi que les fonctions de l’eau sont probablement sous-estimés par la médecine conventionnelle.

Les apports hydriques

Pour le naturopathe, il est très important de maintenir au mieux l’intégrité des liquides biologiques nourriciers tels que le sang et la lymphe mais aussi des liquides à l’intérieur et à l’extérieur des cellules.

L’eau ingérée sert à la fois à approvisionner la fonction cellulaire comme à en éliminer ses déchets. Aussi, une diminution de l’apport quotidien en eau affecte l’efficacité du travail des cellules, lieu où se tient notre santé.

D’autre part, il est inutile de vouloir nettoyer ou drainer un organisme si les bons apports hydriques, qui serviront à éliminer les déchets vers l’extérieur, ne sont pas assurés.

L’eau et ses rôles divers

Au niveau des membranes cellulaires, l’eau agit comme une mini-centrale hydroélectrique. La différence de pression entre le milieu extérieur et le milieu intérieur de la cellule génère un mouvement de l’eau (phénomène de l’osmose). Tout mouvement crée de l’énergie. Celle-ci sera utile pour les cellules elles- mêmes.

L’eau peut être utilisée comme adhésif pour l’architecture de la cellule. Elle est également impliquée dans le transport des éléments qui circulent dans le sang (globules, éléments dissous : sodium, calcium, oxygène…) mais aussi des substances fabriquées par les cellules cérébrales et voyageant le long des nerfs.

L’eau intervient aussi dans la régulation de la température du corps par l’intermédiaire de la transpiration.

Enfin, l’activité des protéines et des enzymes est optimale si les besoins en apports hydriques sont respectés. Les dernières découvertes scientifiques dévoilent qu’il existe, au-delà des systèmes de communication que sont les systèmes nerveux, hormonal et endocrinien, un réseau hydrique. En fait, grâce à ses caractéristiques, l’eau permettrait à toutes les cellules de communiquer instantanément entre elles. L’eau serait la « toile » de notre biologie.

L’eau est ainsi impliquée dans un grand nombre de phénomènes de régulation et de communication à l’intérieur de notre corps.

L’eau insalubre tue

Un grand nombre de pays qui ne connaissent pas les moyens technologiques dont dispose l’Occident, comme l’assainissement, sont confrontés au grave problème des eaux insalubres. En effet, l’eau non potable est la première cause de mortalité dans le monde.

A l’occasion de la journée mondiale de l’eau, l’association Solidarités, ONG basée à Clichy, près de Paris, a rendu public un rapport qui montre que les maladies liées à l’eau insalubre et au manque d’hygiène provoquent chaque année la mort de 8 millions de personnes. Elle souligne que « 1,2 milliard d’êtres humains n’ont pas accès à l’eau potable et 2,6 milliards n’ont pas accès aux conditions élémentaires d’hygiène. »

L’eau insalubre véhicule de nombreuses épidémies comme le choléra, la typhoïde, l’hépatite. D’autres personnes meurent de la diarrhée, pourtant facilement traitée chez nous, qui tue à elle seule 1,8 million d’enfants par an, soit 5 000 chaque jour !

Samedi prochain, nous verrons la suite de cet article consacré à l’eau et la santé. Nous parlerons de la déshydratation et ses conséquences.

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