POURQUOI s’en remettre à L’UNIVERS ?

Je suis dans l’avion de retour d’Afrique, et je lis un chapitre du philosophe Alexandre Jollien traitant de l’abandon : « S’abandonner, ce n’est pas se jeter dans le danger ni baisser la garde, c’est plutôt se demander ici et maintenant : que faire ? L’impuissance m’a soudain guéri et le stress a disparu. Et j’ai même commencé à cesser de regarder ma montre et à profiter. »

À la lecture de ces phrases, je médite sur l’abandon. Après tout, dans l’avion, je suis contraint de m’abandonner aux mains des pilotes… et je décide d’arrêter de m’inquiéter et de me mettre sous tension concernant la cession de plusieurs de mes immeubles. Je demande à l’Univers d’être bienveillant et de s’occuper pour moi de ces ventes. Je fixe le cap (la cession de mes immeubles), l’Univers s’occupe de l’intendance et je lâche prise !

Je peux ainsi m’occuper « ici et maintenant » de mes nouveaux projets, dont la mise en place des « inspirations du jour » pour aider les personnes à transformer leur vie un jour après l’autre.

Le summum de l’abandon est atteint par certains êtres qui s’abandonnent totalement au plan supérieur, y compris concernant leur propre mort. Je me souviens par exemple d’un échange avec un maître balinais au sujet de la mort : il n’appréhendait absolument pas sa propre fin et me racontait s’être promené au bord d’un volcan en éruption. Quand je lui ai dit que cela pouvait être dangereux, il m’a simplement répondu : « Quand ce sera mon heure, ce sera mon heure… ».

De vôtre côté, avez-vous vécu des expériences où vous vous êtes totalement abandonné à la vie ?

Je vous souhaite une excellente journée,
Ludovic

ÉCRITURE : comment améliorer son style ?

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Quand on commence à écrire (article sur blog, livre…), il n’est pas rare de s’interroger sur son style. Au fil de la progression, nous avons envie de l’améliorer. Voici deux clés pour l’affiner.

1. Allégez vos phrases

Les envolées lyriques ne sont pas faites pour tout un chacun. Préférez les phrases courtes, les tournures simples, les constructions concises.
Veillez à éviter les propositions subordonnées telles que : « après que », « bien que », car elles alourdissent le propos. L’idée est de développer un style concis, clair, agréable à lire.

Dans son œuvre « La Prose d’aujourd’hui », René Gorgin explique ce qu’est le style : « La langue, ce sont d’une part les matériaux utilisés […] le style, c’est la façon dont on utilise ces matériaux. Il ajoute au vocabulaire et aux usages grammaticaux l’emploi des images […] ce sont les sonorités […] c’est aussi le rythme. »

2. Travailler votre orthographe

Il n’est pas rare de réitérer les mêmes fautes d’orthographe. Pour travailler ce point, plusieurs solutions existent comme celle de faire des exercices interactifs en ligne pour repérer vos fautes et les corriger.

Enfin, ultime conseil : évitons les jargons, les mots techniques, les abréviations.

Et gardons à l’esprit que : « ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement » (Nicolas Boileau).

Si vous souhaitez en savoir davantage sur mes prestations d’écriture (e-book, articles de blog…), remplissez le formulaire ci-dessous et je vous contacterai.

SE SIMPLIFIER LA VIE !

Comme l’a dit un moine zen, « la plupart des gens que je connais essaient de devenir plus intelligents chaque jour, tandis que moi, j’aspire chaque jour à être plus simple et moins compliqué ».

Certaines de mes relations ont multiplié les obligations tous azimuts (associatives, civiques, religieuses, sportives, sorties entre collègues, cocktails divers…), au point d’y laisser tout leur temps et toute leur énergie. Pour ma part, je me suis fait une règle de n’accepter aucun rendez-vous professionnel ou aucune obligation le soir, ce qui m’a permis de maintenir une certaine harmonie familiale.

Comme je le dis en permanence à mes collaborateurs, « faisons simple ». Mon souci de la simplification permanente m’a par exemple poussé à m’éloigner des gens compliqués, de même que je me méfie des consultants qui complexifient en permanence leur discours, ou qui remettent des rapports qui se perdent dans les détails et qui ne vont pas à l’essentiel.

Mais la plupart des gens sont tellement occupés qu’ils ne prennent pas le temps de prendre le recul nécessaire pour essayer de simplifier leur vie. Une manière efficace de prendre de la hauteur consiste à réaliser un bilan, annuel puis hebdomadaire, de ses actions : cela permet de réaliser si nos actes sont en correspondance avec notre vision professionnelle et personnelle, et avec nos objectifs.

Une fois que nous avons identifié l’essentiel, il est nécessaire d’éliminer le non-essentiel. Nous devons également réduire ou supprimer les obligations qui ne sont pas nécessaires à la réalisation de nos objectifs prioritaires.

Et vous, est-ce que vous simplifiez votre vie ?

Je vous souhaite une belle et simple journée !
Ludovic

La LOI DU DON pour obtenir ce que vous voulez

Le chemin le plus simple pour obtenir ce que l’on veut est d’aider les autres à recevoir.

La meilleure manière de mettre en œuvre la loi du don consiste en une décision : choisir, à chaque fois qu’on entre en contact avec quelqu’un, de lui offrir quelque chose. On peut donner un cadeau, un compliment, de l’affection, du respect, de l’amour…

Lorsqu’on rencontre une personne, on peut lui souhaiter intérieurement le meilleur (le bonheur, la joie, le rire…), lui envoyer une pensée positive silencieuse. On peut également imaginer, visualiser une situation où une personne obtient ce dont elle a besoin.

J’ai par exemple pris l’habitude, lors de réunions difficiles, d’envoyer silencieusement une bénédiction à mes interlocuteurs. J’ai remarqué que cette visualisation a un effet apaisant, que l’énergie devient plus positive et que des personnes qui étaient agressives en début de réunion se détendaient progressivement et, systématiquement, étaient positives à l’issue de la rencontre.

Et vous, aidez-vous les autres à recevoir ce qu’ils veulent ?

Bonne journée,
Ludovic

La relation à soi, d’abord (partie 1/3)

Nous sommes des êtres de relation, c’est clair. Nous avons besoin d’être en relation pour notre santé et notre équilibre affectives. Nous naissons en relation, nous nous développons par la relation, nous apprenons en relation, nous nous construisons et nous nous détruisons à travers les relations. La relation est le lieu de nos plus grands plaisirs et de nos plus grandes souffrances.

Ma capacité d’être en relation avec les autres est directement proportionnelle à ma capacité à être en relation avec moi-même.

Ce qui veut dire, par exemple, si je suis en guerre avec moi-même, il se peut fort bien que je me retrouve en guerre avec les autres. Si j’ai tendance à me juger sévèrement, il se peut que je juge facilement et sévèrement les autres. Si je nie mes émotions, que je refoule ce que je ressens, j’aurai surement de la difficulté avec les émotions des autres. Dans ce cas, il me sera difficile de départager ce qui m’appartient de ce qui appartient à l’autre, je serai facilement emporté dans des réactions défensives malsaines qui enveniment, perturbent et brisent rapidement la relation. C’est ce en quoi consiste la guerre dans nos relations.

Par contre, c’est en développant la relation à soi, c’est-à-dire en apprenant à être à l’écoute de ce que je vis, en prenant conscience de mon fonctionnement défensif, et surtout en acceptant ce que je suis dans ma vulnérabilité, que je pourrai commencer à m’ouvrir à l’autre. C’est fragile, j’ai l’impression de marcher sur la pointe des pieds. On dit que c’est le chemin le moins fréquenté. Même si parfois il me semble être un chemin de plus en plus fréquenté, je sais que nous sommes encore une minorité à oser entreprendre le chemin de la connaissance de soi-même.

Être en relation avec soi-même, c’est d’abord être en contact avec ce que je vis. Oser ressentir et reconnaitre ce que je vis. Affronter, arrêter de nier, abaisser les murs, ouvrir les portes pour sortir de la barricade, enlever l’armure… toutes ces phrases qui expriment ce que j’ai construit pour ne pas ressentir ma vérité.

Être en relation avec soi-même, c’est accepter, qui je suis, accepter ce que je ressens, accepter mon histoire, accepter les blessures que je porte. Parce que nous en portons tous. J’ai été blessée et la souffrance ressentie, n’ayant pas été accueillie et exprimée, est restée enfouie au fond de moi. Pour la cacher et la nier, je construis un personnage de survie qui contrôle, domine et manipule mon entourage. Et la personne que je suis reste seule derrière, souffrante, abandonnée et en détresse.

Mardi prochain, nous verrons la suite de cet article : Quand je ne m’occupe pas de mes blessures, elles s’incrustent et me tuent.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

Pour recevoir plus d’informations de la part de Robert Savoie, remplissez le formulaire ci-dessous.

Avantages et inconvénients de la SCPI pour un investisseur immobilier

Les épargnants cherchent aujourd’hui d’autres alternatives à l’assurance vie parce que le taux de rendement est devenu très faible.

La SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) a désormais la côte auprès des français mais elle n’offre pourtant pas que des avantages.

Découvrez dans cette vidéo les avantages et inconvénients de la SCPI.

Je vous souhaite le meilleur
Ludovic

Immobilier (1/21) – Transformez les difficultés en opportunités

Immobilier Ludovic Bréant

La première des clés est celle d’apprendre à résoudre des problèmes. En effet, pour atteindre la liberté financière, il faut accepter le fait d’être en prise aux difficultés.

Qu’il s’agisse de sortir d’une copropriété horizontale, de réaliser un changement de destination du bien, de faire des travaux d’agrandissement ou de division complexes : la plupart de ces situations peuvent paraître insurmontables aux yeux de certains investisseurs.

C’est en les réglant avec intelligence et pragmatisme que vous parviendrez à vous démarquer, et à tirer votre épingle du jeu.

Notre culture entrepreneuriale française punit souvent les erreurs et valorise les comportements « raisonnables » : ceux visant à éviter tout échec.

Or, rien de grand ne peut s’accomplir sans une réelle prise de risque. L’immobilier n’échappe pas à cette loi (risque de non-location, risque d’impayés…).

Et en soi, la difficulté n’est qu’un apprentissage.

Mais pour cela, vous devez passer à l’action et je vous lance un défi sous la forme d’un exercice à réaliser.

Je vous demande d’identifier une épreuve que vous avez vécu dans votre existence et de réfléchir avec du recul pour en tirer des enseignements.

J’appelle ça « le cadeau de la providence », car derrière chaque épreuve se cache un cadeau. A vous de savoir identifier votre « Kairos »

Conseil#1 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr