Quand accorder sa CONFIANCE librement ?

Dans ma vie professionnelle, j’ai d’abord fait rapidement confiance aux autres et j’ai souvent été trahi.

Par exemple, il m’est arrivé de baser mes prévisions budgétaires sur l’objectif de vente fixé par un responsable commercial. Au moment du bilan, non seulement l’objectif était loin d’être atteint, mais en plus le responsable m’a annoncé son départ parce qu’il avait « trouvé mieux ailleurs »…

J’ai compris que la confiance en l’autre se mérite. Maintenant, j’attends des preuves concrètes avant de l’accorder ! On peut appeler cela de la confiance réfléchie.

J’ai également appris à ne pas faire confiance à ce que je vois ou à ce qu’on me promet, mais à aller chercher la vérité à l’intérieur de moi.

Plutôt que de faire confiance à l’autre aveuglément, je fais confiance à mon ressenti.

Maintenant, quand un responsable commercial ou un porteur de projet me présente son objectif de vente, je prends un temps de recul pour me centrer sur mon ressenti, je suis attentif aux signes que m’envoie mon corps. Par exemple, si je ressens des tensions dans le ventre, je comprends que l’objectif annoncé n’est pas juste !

Et vous, faites-vous d’avantage confiance à votre ressenti plutôt qu’aux promesses des autres ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

TRANSFORMONS ENSEMBLE le MONDE pour le rendre PLUS JUSTE

Après avoir intégré les mots de Gandhi : « Nous pouvons chacun incarner le changement que nous souhaitons voir apparaître », nous pouvons nous demander pourquoi le monde est dans un tel état :

– Est-ce parce que nous le voulons nous-mêmes ?
– Ne serions-nous pas capables de changer le monde du jour au lendemain ?
– Ne serions-nous pas capables d’éliminer la douleur, la souffrance ?
– Ne serions-nous pas capables de mettre fin à l’oppression ?
– Ne serions-nous pas capables d’éliminer d’un seul coup la faim dans le monde, la pauvreté ?
– Les humains ne peuvent-ils pas envisager une nouvelle conception de la vie sur la planète ?

En voulant pour l’ensemble de l’humanité ce que nous souhaitons pour nous-mêmes (la paix, la joie, le bonheur, l’amour), nous amplifions l’énergie de l’attraction.

Nous avons tendance à combattre tout ce que nous ne voulons pas pour le monde. Mais lorsque nous sommes en colère contre le terrorisme ou contre la souffrance dans le monde, nous y ajoutons notre énergie. En créant de la résistance, nous amplifions donc tout ce que nous souhaitons éradiquer…

Mère Teresa avait bien compris la loi de l’attraction : « Je ne participerai jamais à un ralliement contre la guerre. Si vous voulez organiser un ralliement pour la paix, invitez-moi. »

En suivant cette voie, concentrons-nous sur le bonheur à l’échelle planétaire, sur l’abondance de nourriture.

Et vous, êtes-vous prêt à vous transformer pour changer le monde ?

Belle journée,
Ludovic

L’ESPRIT DE COMPÉTITION

La compétition sportive a été l’occasion de prouver que j’étais capable de réussir et, par la même occasion, de me faire aimer. Je me suis entraîné de manière acharnée au tennis : entre dix et quatorze ans, il m’arrivait de jouer plusieurs heures par jour, de temps en temps seul face à un mur. Quand je perdais un match, j’en étais malade pendant plusieurs jours : la défaite touchait mon estime de moi… J’étais tellement dans la force que j’en arrivais à jouer par obligation, sans plaisir, ce qui fait que, malgré mon bon niveau, je ne joue pas plus d’une ou deux fois par an depuis mes vingt-cinq ans. J’ai été dégoûté !

Le point positif aura été de me permettre, de l’âge de seize ans à celui de vingt-deux ans, d’enseigner le tennis pendant mes études. Cela m’a permis, entre autres, de passer d’excellentes vacances… et de financer mes dépenses de l’année.

La compétition fonctionne par le « ou » : c’est l’un ou l’autre qui gagne, un pays ou l’autre, une personne ou l’autre. On parle de « bataille », de « gagnant » ou de « perdant » et non de partage ou d’équilibre. On parle de division et non d’union. Les compétiteurs se mettent totalement sous stress pour tenter de dépasser les autres.

Comme le rappelle Edel Gött, « le guépard et l’antilope courent à 100 km/h. L’oie à tête barrée survole l’Everest… Chaque espèce a sa grâce naturelle et peut fournir une performance sans effort, tout simplement parce que cela lui est donné. Seul l’Homme court comme un fou en ayant 99 chances sur 100 de perdre, puisqu’il n’y en aura qu’un qui sera le premier… Le monde est rempli de seconds et d’une foule de perdants. »

Lorsque nous avons été conditionnés par et pour la compétition, nous avons ensuite des difficultés à nous ouvrir à notre potentiel de création infini, à nos qualités propres (capacité de création, d’innovation…). L’idée même de fonctionner par complémentarité et entraide est totalement à l’opposé de l’éducation donnée aux compétiteurs.

Et vous, fonctionnez-vous en vous comparant aux autres, en entrant en compétition avec les autres ? Ou au contraire, en étant totalement vous-même et en cherchant à évoluer en complémentarité et en entraide ?

Bonne journée,
Ludovic

Parvenez-vous à MÉDITER avec des BRUITS autour de vous ?

Le pouvoir pacifiant des sons de la nature – la mer, la forêt, la montagne… – a un effet très bénéfique sur moi.

En méditation, nous n’avons pas besoin de silence ou de calme absolu : nous pouvons pratiquer la méditation avec des bruits autour de nous. Lorsque des sons apparaissent, il suffit de les accueillir sans fixer notre attention dessus ni émettre de jugement – par exemple sur le motard qui fait pétarader sa moto – ou d’interprétation sur le côté agréable ou désagréable des bruits que nous entendons.

En méditation de groupe, il m’est arrivé régulièrement d’être dérangé par des bruits extérieurs : une sortie d’école, un portable qui sonne, un klaxon de voiture ou l’éternuement d’un participant… Ce sont de bonnes occasions d’exercice !

Conservons les yeux fermés, accueillons tous les bruits sans jugement… Nous pouvons également nous entraîner à « écouter » le silence et à le savourer, même s’il est très bref.

Et vous, parvenez-vous à méditer avec des bruits autour de vous ?

Je vous souhaite une agréable journée,
Ludovic

J’ai décidé D’UNIR LES MOTS ÉCOLOGIE, ÉCONOMIE ET SENS pour contribuer à BÂTIR UN MONDE MEILLEUR

Mettre ses compétences au service de projets plus humanistes

Après avoir survécu à une tumeur cérébrale qu’il qualifie de « burn out », Guibert del Marmol a changé sa vision du monde et de la vie. Il livre ici son témoignage de sagesse et de philosophie, recuelli par Véronica Rocha, de Véro Tv : http://vero-tv.com/

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