S’accorder le TEMPS d’être HEUREUX

J’ai cru pendant longtemps que, pour réussir sa vie, il fallait fournir beaucoup d’efforts. J’avais la conviction que, pour accéder au bonheur, je devais travailler de manière acharnée et faire preuve d’une grande volonté pour que mon environnement et le monde s’y plient. Je pensais devoir constamment lutter pour atteindre mes objectifs, pour obtenir et posséder… Tout cela pour atteindre un but qui m’apporterait finalement le bonheur.

Avec un tel état d’esprit, ma vie de chef d’entreprise était tellement remplie qu’elle ne laissait pas de place à l’imprévu, ni au plaisir de profiter du moment présent. A tel point que lorsque j’étais en déplacement et qu’un rendez-vous était annulé, je culpabilisais de profiter de ce moment de liberté : je ne m’accordais même pas le droit de boire simplement un café sur une terrasse ou de me promener au bord de la mer.

Après une longue réflexion personnelle, j’ai pris la décision de travailler à partir de chez moi. Aujourd’hui, nos deux bureaux se trouvent être respectivement éloignés de 400 kilomètres et de 100 kilomètres de mon domicile, ce qui m’empêche volontairement de me rendre quotidiennement au bureau.

Ce luxe de pouvoir travailler sans pression, sans obligation, m’a amené un bien-être qui n’a pas de prix. Cela m’a donné la liberté d’aller courir le matin au bord de la mer, de me promener au pied des montagnes sous le soleil du Pays-Basque, ou encore d’emmener mes enfants surfer le mercredi après-midi.

Récemment, j’ai fait une expérience qui m’aurait été impensable quelques années auparavant : je me suis assis au bord d’une rivière, et je me suis senti aussi calme que le cours d’eau.

Progressivement, j’ai pris conscience de la simplicité et de la tranquillité de toute chose. Et j’ai identifié cet état interne comme étant le bonheur !

Et vous, prenez-vous le temps d’être heureux ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

Immobilier (5/21) – Sélectionnez le bon emplacement

Immobilier Ludovic Bréant

Nous avons vu dans précédent N°4 comment ne pas être trop naïf afin de faire les bons choix en évitant de prendre pour argent comptant tout ce qu’on nous raconte.

Aujourd’hui, nous allons voir comment sélectionner un bon emplacement. C’est l’un des critères les plus importants pour un investisseur immobilier.

Mais attention ! Tout évolue dans le temps : il faut donc savoir suivre les tendances pour évaluer les potentiels de plus-value.​​​​​​​

L’une des règles de l’immobilier réside dans l’emplacement.

Il est préférable de miser sur des secteurs qui présentent un potentiel de hausse comme l’était Bordeaux, et particulièrement le secteur des Quais, il y a une quinzaine d’années.

Les quartiers dans lesquels les collectivités investissent dans les infrastructures sont également à privilégier.

Aussi, je vous invite à ne pas hésiter à investir à contre-courant.

Si quand les prix baissent, la plupart des gens se détournent de l’immobilier, c’est pourtant ces périodes qui offrent les meilleures opportunités d’achat.

Car, les prix bas incitent à l’achat et augmentent la rentabilité présente et future des biens.

En revanche, quand les prix sont élevés, je vous conseille de vendre des biens afin de diminuer l’endettement et réaliser une confortable plus-value, tout en évitant de se surendetter quand les marchés sont hauts.

Conseil#5 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

>>> Voir le conseil N°4 « Ne soyez pas trop naïf »

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr

APPRIVOISEZ VOS PEURS

Est-ce que vous avez de la difficulté à gérer vos peurs au quotidien ? Une petite vite en pleine conscience avec François Lemay qui va faire du parapente en Savoie !

Lien vers la vidéo >>

Pour en savoir plus sur les différents services offert par François :
Académie de pleine conscience Kaizen : http://academiekaizen.com/

Pour rester informé des programmes de pleine conscience de François Lemay, remplissez le formulaire ci-dessous.

Cultivez-vous la JOIE ?

Bien souvent, nous résistons à l’appel de la joie dans la vie. Une part de nous a envie de s’accorder du plaisir et une autre nous dit : « ce n’est pas bien, il ne faut pas ! ». Dans ces cas-là, nous sommes forts pour nous justifier : « je dois travailler », « je n’ai pas le temps »… Certaines personnes affirment que la vie est une épreuve, une école, et qu’elle est censée être malheureuse. À l’inverse, Neil Donald Walsch explique dans L’Abondance véritable que « le bonheur est votre état d’être naturel et vous pouvez occuper cet espace tout le temps. Vous n’aurez plus jamais à être malheureux. »

La vie est donc faite pour être heureuse, à une condition : que nous en soyons persuadés ! « Si vous croyez que la vie est faite pour être heureuse, elle le sera. » Dans le cas contraire, la vie se déroulera selon notre non-croyance. Comme le répète Alexandre Jollien, il faut jouir sous le soleil, profiter de la joie simple d’exister, de pouvoir embrasser sa femme, ses enfants, apprécier de boire et de manger. Le plaisir se trouve en effet dans l’instant présent, dans des petites choses du quotidien : lire un livre, faire une promenade dans la nature, faire du sport, admirer un paysage… Chacun peut trouver ce qui lui fait profondément plaisir.

Cela parait facile et pourtant, de nombreux obstacles sont à surmonter : nos peurs, nos doutes, notre mental qui analyse et complique les choses, notre histoire qui nous coupe de notre vraie nature… Pour ma part, suis-je heureux tout le temps ? Non. Je mentirais si je l’affirmais. Suis-je plus heureux qu’avant ? Oui, de plus en plus… Car plutôt que de chercher un bonheur absolu, je profite des instants de joie qui me sont offerts régulièrement.

En Afrique, la joie est partout. Malgré le grand dénuement qui y règne, les réunions de travail de l’association avec laquelle nous travaillions au Burkina-Faso se déroulaient dans une atmosphère détendue, dans la bonne humeur, dans des élans de spontanéité ponctués de grands éclats de rire ! Cette expérience m’a amené à prendre une décision : choisir systématiquement de créer de la joie, de la facilité, de la légèreté dans tout ce que j’entreprends. Si un projet ne répond pas à ces critères, je l’abandonne.

Et vous, cultivez-vous la joie ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

J’ai décidé de CHANGER MON RYTHME DE VIE pour pouvoir me consacrer à un projet de sens pour la collectivité

Oser changer de vie pour se réaliser pleinement

Suite à un burn out, Veronica Rocha s’est interrogée sur le sens de sa vie et sur son rythme de travail : « j’ai décidé de changer de vie parce que mon corps a marqué ses limites ».

L’idée : prendre davantage soin d’elle et de son entourage et mettre du sens dans son activité.

Pour ça, elle a quitté son emploi et a créé son propre média web, dans lequel elle recueille des témoignages inspirants de changements de vie, d’initiatives positives et de résiliences.


Lien vers la vidéo >>

Résultats : « Ce n’est que du bonheur ! On voit des choses qu’on ne voyait pas avant. Et je me suis rendue compte que je pouvais faire très bien, autrement, en ne répondant pas aux diktats de la société actuelle. »

Pour recevoir plus de vidéos inspirantes, inscrivez-vous à la newsletter de ON PASSE À L’ACTE, en remplissant le formulaire ci-dessous.

ÊTES-VOUS PRÉSENT À LA VIE ?

J’ai suivi des stages de développement personnel où nous prenions les repas en pleine conscience (dans le silence, sans lecture, sans se regarder) et nous pratiquions la marche de pleine conscience : marcher lentement, en sentant nos pieds sur le sol, sans réfléchir, sans anticiper.

Même si j’ai eu beaucoup de difficultés au début, j’ai fini par découvrir que, en étant présent à ce que l’on mange, le repas semble plus savoureux. De même, écouter totalement quelqu’un qui nous parle nous permet de vraiment l’entendre, sans être dans le jugement…

Se réapproprier l’ordinaire est un autre moyen pour nous de rester présents. Nous oublions souvent les objets qui nous entourent, à force de les voir dans notre quotidien : les tableaux, notre mobilier, nos objets décoratifs… En les regardant en conscience, nous sommes à nouveau touchés par leur beauté, nous nous souvenons de l’histoire de tel ou tel objet… Il m’arrive également, en montant dans ma voiture, de ne pas brancher l’autoradio mais de prendre conscience de ce que je ressens : le contact de mes mains sur le volant, de mes pieds sur les pédales…

Et vous, êtes-vous présent à la vie ?

Belle journée,
Ludovic