COMMENCER LA MÉDITATION

Mes débuts en méditation ont été très difficiles. J’étais un bien mauvais élève ! Je suis passé par de grands moments de découragement : « je n’y arriverai jamais, je suis lamentable, je n’arrive pas à me discipliner… ». J’avais de grandes difficultés à rester en place sans bouger plus de quelques secondes ou quelques minutes. J’avais toujours de bonnes raisons pour ne pas méditer. Mais, progressivement, je me suis familiarisé avec cette discipline à tel point que la méditation me manque si je ne la pratique pas ne serait-ce qu’une journée.

Aujourd’hui, je médite entre cinq et vingt minutes chaque matin. Certains jours, je ne parviens pas à calmer les remous de mon esprit ; d’autres jours, l’effet est immédiat et je ressens alors une grande paix s’installer en moi.

Et vous, avez-vous commencé à méditer ?

Je vous souhaite une agréable journée,
Ludovic

Profiter PLEINEMENT de ce que nous avons

discernement

Dans nos sociétés matérialistes, la précipitation pour acquérir davantage nous empêche par ailleurs de goûter la valeur plus profonde de ce que nous possédons déjà… Pour ma part, j’ai longtemps fait le jeu du système en étant occupé par une frénésie d’acquisition de biens matériels.

Pourtant, d’autres sociétés nous montrent qu’il est possible de vivre autrement. Les peuplades reculées d’Amazonie, par exemple, jouissent d’une prospérité naturelle, qui n’est pas issue d’une compétition économique. Ces personnes vivent en accord avec les lois immuables de la nature ; elles n’ont pas d’argent, pas de propriété, pas d’accumulation de biens et pourtant, elles n’éprouvent aucun manque. Elles vivent simplement le moment présent et profitent pleinement de ce qui est à leur disposition.

Et vous, profitez-vous pleinement de ce que vous avez déjà ?

Je vous souhaite une agréable journée,
Ludovic

TROUVER LA PLÉNITUDE

La plénitude se vit dans l’attention, dans la présence à la vie. Les réussites, les exploits, procurent un plaisir momentané.

Lorsque j’ai vendu ma première société après l’avoir introduite en bourse, ma joie a été totale. Je considérais cette vente, source d’aisance matérielle, comme un aboutissement. J’ai flotté sur un nuage de bonheur pendant deux mois, mais cet état de grâce a été de courte durée. J’ai vite pris conscience que toutes mes attentes n’étaient pas satisfaites : mon mental avait besoin de nouveaux stimuli ! J’ai donc commencé à imaginer des stratégies pour développer mon patrimoine et j’ai commencé à concevoir de nouvelles entreprises qui pourraient combler mes manques. Je trouvais suspect que tout se déroule facilement, il fallait que je trouve de la difficulté. En fait, c’est l’inverse…

J’ai longtemps pensé que la plénitude résidait dans l’aisance matérielle : je me suis trompé.

La plénitude n’a rien à voir avec le succès, avec l’hyperactivité, avec le besoin de se réaliser. La plénitude, c’est se sentir bien en permanence, profiter de chaque instant.

Et vous, êtes-vous présent à la vie, profitez-vous pleinement de chaque instant ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

PENSEZ POSITIF !

Pour obtenir le meilleur au quotidien, la première étape est de s’entrainer à « penser positif ». En devenant optimistes, nous choisissons un mode de pensée tourné vers du constructif, nous voyons les choses sous leur meilleur jour et nous devenons plus confiants en l’avenir. Aujourd’hui, nous savons que l’optimisme et la pensée positive ont une influence sur notre bien-être physique et psychologique. En ressentant le positif, nous osons aussi aller au-delà de nos limites.

C’est dans les périodes de grande difficulté qu’il faut aller chercher au plus profond de nous-mêmes ce positivisme qui nous permettra de reprendre le contrôle de notre vie et d’exprimer malgré tout le meilleur de nous-mêmes.

Au début de ma vie professionnelle, j’avais l’habitude d’endosser un rôle de victime et de me persuader que c’était comme cela et que je ne pouvais rien y faire. J’avais tendance à penser que le positif n’allait pas durer. Après un profond travail sur moi, j’ai progressivement pensé, parlé et ressenti du positif. L’étape suivante a été pour moi de considérer toute mauvaise nouvelle comme un événement positif. Quand un événement arrive, nous avons effectivement le choix de le considérer comme positif ou comme négatif. Par exemple, pendant que j’écris ces lignes, des collaborateurs m’avertissent qu’un de nos établissements hôteliers a reçu une lettre de l’Inspection du travail, nous reprochant de dépasser l’amplitude horaire entre le service de restauration du soir et celui du midi. En effet, le personnel (dont le chef de cuisine) doit respecter un arrêt minimum de onze heures entre les deux services. Or, régulièrement, il arrête vers minuit et reprend à dix heures le lendemain matin, ce qui est légalement interdit (le fameux Code du travail…). Nos conseils sont inquiets. Et si j’avais une condamnation.. ?, et si… ? Je décide de ne pas entrer dans mes peurs et d’en tirer un enseignement positif pour l’entreprise, en réorganisant l’équipe de direction.

Et vous, adoptez-vous un état d’esprit positif ?

Je vous souhaite une excellente journée,
Ludovic

ARGENT ET ALTRUISME

De plus en plus, les ressources s’orientent vers des idéaux plus nobles. L’argent doit en effet être utilisé au bénéfice de la vie, de notre planète et des générations futures.

L’argent est énergie de vie. Si notre seule intention est de garder le nôtre et de l’accumuler, nous empêchons cette énergie d’arriver dans notre vie. Au contraire, nous devons favoriser sa circulation.

En donnant à notre argent la couleur de notre âme, nous révélons aussi qui nous sommes, notre amour, notre cœur, notre parole et notre humanité.

Et vous, quelle est la place de l’altruisme dans votre vie ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

Notre RÉALITÉ dépend-elle des CIRCONSTANCES EXTÉRIEURES ?

L’un de mes collaborateurs, constamment dans une attitude négative, attirait sans cesse des catastrophes. Il ne se rendait pas compte que c’était lui qui drainait cela. Il parlait fréquemment de maladie, de cancer, et c’est ce qu’il a fini par créer pour lui-même. En sa compagnie, je me sentais vidé de mon énergie et sans joie. Après avoir tenté de changer son état d’esprit sans succès, je lui ai fait comprendre que sa place n’était plus dans notre entreprise.

À l’inverse, une autre collaboratrice était toujours optimiste ; en sa compagnie, je me sentais bien, plein d’énergie : c’est l’effet d’une attitude optimiste.

On nous apprend dès notre plus jeune âge que la cause de ce qui nous arrive se trouve en dehors de nous. Mais notre réalité ne dépend-elle pas plutôt de ce que nous sommes, de ce que nous dégageons ? Dans ce cas, nous avons le pouvoir de transformer notre réalité.

Et vous, créez vous consciemment la vie que vous souhaitez ?

Je vous souhaite une agréable journée,
Ludovic

COMMENT DONNEZ-VOUS ?

changement

En matière de don, nous devons prendre garde à notre manière de faire. Chercher à atteindre le bonheur, la paix, la joie aux dépends des autres – en les ignorant ou en ignorant leurs besoins – n’est pas un signe d’évolution personnelle. Avant de se donner à soi, il convient de se poser la question de ce qu’on peut donner à un autre…

Le plus important est l’intention cachée derrière le don : les personnes qui offrent « à reculons », en ayant l’impression de perdre quelque chose, ne fournissent pas d’énergie à leur don ; à l’inverse, quand le don vient du cœur, et que l’intention est de créer de la joie et du bonheur, le retour reflète cette intention.

Et vous, quelle est votre intention quand vous donnez ?

Bonne journée,
Ludovic

REMERCIER CE QUI NOUS ARRIVE, négatif ou positif

Lorsque l’expérience ne correspond pas à ma demande, je remercie malgré tout. Je me dis que ce résultat me réserve un cadeau qui ne m’est pas encore révélé. Par exemple, lorsqu’une banque a refusé le crédit de restructuration dont j’avais « absolument » besoin, j’ai remercié l’Univers et, quelques semaines plus tard, une solution beaucoup moins onéreuse m’est apparue.

J’ai remarqué que des événements passés qui, sur le moment, me paraissaient négatifs, se sont en fin de compte révélés positifs. Par exemple, ma première affaire, un parc de loisirs-restaurant-discothèque acheté en Normandie, ne m’a pas fait gagner d’argent et a été la source de nombreuses préoccupations. Mais il m’a permis de rencontrer la femme de ma vie et mère de mes cinq enfants.

Pour moi, tout mal entraine un bien. Nous pourrions aller jusqu’à remercier dès maintenant pour les événements négatifs qui nous atteignent, même si nous n’en avons pas encore la pleine compréhension.

Faire pleinement confiance à la vie et la remercier pour tout ce qui nous arrive, de positif ou de négatif, revient à suivre le mouvement de l’existence, sans chercher à lui résister.

Et vous, remerciez-vous les événements négatifs ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

Utilisez-vous le pouvoir des AFFIRMATIONS POSITIVES ?

Les affirmations positives permettent de reprogrammer le subconscient en nourrissant l’esprit.

Au quotidien, en répétant des phrases qui représentent ce que nous voulons vivre dans notre vie, nous changeons les pensées négatives ou limitantes que nous avons sur nous-mêmes. Les mots créent notre réalité : en répétant des affirmations positives, nous focalisons notre attention sur nos forces et sur les possibilités que nous offre la vie. De cette manière, nous transformons nos croyances et notre vision de la vie.

Pour développer la confiance en moi, j’ai ainsi pris l’habitude de lire des affirmations positives à haute voix le matin et le soir. J’ai travaillé ces affirmations avec Martine Brillant, auteur de « Je sais… disait la petite fille ».

Par exemple :
– J’accueille la vie. Elle m’offre ce qu’il y a de plus juste pour moi.
– Je fais ce qui est bon et juste pour moi et la vie me donne exactement ce dont j’ai besoin.

Ce type d’affirmation permet de reprogrammer le subconscient en nourrissant l’esprit d’affirmation positive. Et vous, utilisez-vous le pouvoir des affirmations positives ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

Qu’est-ce qu’un MONDE MEILLEUR ?

Cela consiste-t-il pour vous à posséder une belle maison, plus de biens matériels, plus d’argent ? À avoir une vie affective plus épanouie ? À avoir une vie sociale et amicale plus satisfaisante ? À vivre dans un monde plus juste, plus humain, plus équitable ? À vivre dans un monde où les ressources ne sont pas gaspillées, où la nature est préservée ?

En souhaitant participer à la création d’un monde meilleur, nous sous-entendons que le monde actuel n’est pas bon ! Or, si on voit en permanence les mauvais côtés du monde, les aspects négatifs vont finir par envahir tout notre espace.

Et pourtant, en regardant les choses avec un œil différent, nous pouvons voir un monde merveilleux, peuplé de belles personnes. Selon le prisme par lequel nous regardons, nous pouvons contacter chaque jour ce que le monde a de beau : des gestes de solidarité, de la générosité, de l’entraide, du respect, de l’amour, de la joie. N’oublions pas que le monde dans lequel nous vivons est le reflet de l’image que nous en avons.

Et vous, quelle est votre définition d’un monde meilleur ?

Je vous souhaite une agréable journée,
Ludovic