La relation à soi, d’abord (partie 2/3)

Nous sommes des êtres de relation, c’est clair. Nous avons besoin d’être en relation pour notre santé et notre équilibre affectives. Nous naissons en relation, nous nous développons par la relation, nous apprenons en relation, nous nous construisons et nous nous détruisons à travers les relations. La relation est le lieu de nos plus grands plaisirs et de nos plus grandes souffrances.

Nous avons vu mardi dernier, pourquoi la relation avec les autres est proportionnelle à la relation avec soi. Voici la suite de l’article.

Quand je ne m’occupe pas de mes blessures, elles s’incrustent et me tuent

Par la relation à soi, je peux transformer cette souffrance en la reconnaissant, en l’exprimant, en l’acceptant et en pardonnant.

Connaissez-vous l’histoire de l’huitre et de la perle ? Elle commence par un minuscule grain de sable qui, par inadvertance, entre au cœur de l’huitre. Pour elle, ce grain de sable est une catastrophe qui la blesse et la fait souffrir au coeur même de son être. Elle se met donc à s’en occuper, doucement, elle le couvre de nacre. Elle a la capacité de faire cela, une fine couche à la fois, tranquillement, elle transforme cet irritant qui la blesse en une magnifique perle. Elle transforme sa souffrance en trésor précieux.

Je peux développer la relation avec moi-même, c’est ma façon de tranquillement nacrer mes blessures et d’en faire un trésor au cœur de ma vulnérabilité. Comme l’huitre ne pourra jamais se débarrasser du grain de sable, je ne pourrai jamais me débarrasser de mes blessures du passé. Mais j’ai le pouvoir maintenant, par ma conscience, mon acceptation et mon pardon, d’en faire une richesse intérieure.

La souffrance fait partie de la vie. C’est une réalité que je me dois d’apprivoiser et d’accepter profondément. Il est illusoire de croire que je peux ne plus souffrir. Comme parent, j’ai beaucoup plus intérêt à enseigner à mes enfants de quelle façon composer avec la souffrance que de vouloir leur éviter de souffrir. Et pour faire cela, j’ai moi-même besoin de me réconcilier avec la partie souffrante en moi.

Mardi prochain, nous verrons la dernière partie de cet article : Comment me réconcilier avec la partie souffrante en moi ?

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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POURQUOI est-ce important de LÂCHER PRISE ?

En 2015, je décide de suivre un séminaire de développement personnel axé sur la réalisation de projets entrepreneuriaux.

J’ai beaucoup de mal à organiser mon déplacement : des problèmes de réservation d’avion, d’hôtel… En arrivant enfin à destination, mon dos commence à me faire souffrir.

À la fin du stage, j’exprime mon projet : créer un centre pour entrepreneurs éthiques souhaitant participer à l’émergence d’un monde meilleur, dans lequel coexisteraient une école à la création d’entreprise, un incubateur et un centre de co-working.

Le retour de ce séminaire est particulièrement difficile : je rate mon avion, mon train a trois heures de retard et mon mal de dos devient de plus en plus aigu, au point que je ne parviens pas à quitter ma place dans le train immobilisé, alors qu’il y fait une chaleur accablante.

Devant ces mauvais signes, je prends la décision d’arrêter de résister : je lâche prise.

Je décide d’arrêter ce projet qui, manifestement, n’est pas pour moi. Suite à ce lâcher-prise, j’ai ressenti une grande libération et une grande paix. J’ai décidé d’accepter que le moment n’était pas encore venu de démarrer une nouvelle activité, qui devra m’apporter joie et sérénité et non contrariété et tension.

En lâchant prise, nous permettons à un sentiment de calme, de paix intérieure et de joie de s’installer. Nous atteignons nos buts de vie de manière fluide, avec un minimum de dépense d’énergie.

Et vous, dans quelles situations avez-vous ressenti les bienfaits du lâcher-prise ?

Bonne journée,
Ludovic

ACCEPTER SA DOULEUR

Au cours de notre existence, nous connaissons la maladie, la tristesse, la peur, les blessures… Cela est inéluctable et nous n’avons que très peu de contrôle sur ces douleurs. En revanche, nous pouvons choisir notre manière d’y réagir. Nous pouvons y résister, les refuser ou les accepter. La souffrance est créée par le refus de la douleur.

Au début, lorsque je souffrais d’un lumbago, je refusais la douleur, je luttais contre elle, je me mettais en colère : « Je ne supporte plus cette douleur ». Je me décourageais : « J’en ai assez ! ». Et plus je luttais, plus la douleur augmentait ! Terrible erreur !

Quand j’ai commencé à accepter la douleur, à cesser d’y résister et même à reconnaitre que sa présence visait à me faire comprendre quelque chose qui m’échappait, ma souffrance a diminué. Mon lumbago, par exemple, me signifiait que je n’étais pas sur le bon chemin ou que je devais verbaliser une préoccupation que je n’osais pas exprimer…

Et vous, savez-vous accepter la douleur, les échecs et les épreuves ?

Bonne journée,
Ludovic

Immobilier (2/21) – Sachez bien vous entourer

Immobilier Ludovic Bréant

Je suis ravi de vous accompagner sur le chemin de la liberté financière.

Pour réussir, la véritable intelligence consiste à savoir s’entourer de personnes plus performantes que soi pour leur déléguer les tâches qu’on ne sait pas bien faire ou qui nous créent des résistances.

En libérant ce temps, on se consacre ainsi à nos points forts en favorisant notre zone de génie pour notre plus grand plaisir.​​​​​​​

La véritable intelligence est celle de savoir s’entourer de gens plus performants que soi.

Aussi, accorder sa confiance avec discernement est indispensable car la confiance se mérite.

Dans mon livre, je relate une mésaventure que j’ai vécu à Madagascar, dans laquelle, un chef de chantier peu scrupuleux, a détourné une partie des apports d’associés à des fins personnelles.

Maitriser l’art des relations humaines semble revêtir une importance capitale dans ce domaine, et cet art passe notamment par l’humilité, l’écoute et le respect.

Tenez-vous éloigné du scepticisme de certains car en prêtant une oreille attentive à leurs jugements, le doute s’empare de nous.

Pour ma part, je suis convaincu qu’il n’existe que deux grandes énergies qui dirigent les hommes : l’amour et la peur, comme l’alpha et l’oméga, sont les deux extrémités d’un fil aux diverses nuances.

Si la peur renferme, cache, blesse, rejette, l’amour et la confiance libèrent, acceptent, osent, épanouissent.

Conseil#2 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

>>> Voir le conseil N°1 « Transformez les difficultés en opportunités »

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr

Le POUVOIR de la VISUALISATION

Le physicien russe Vadim Zeland, auteur de Transurfing, parle de « cliché » : nous sommes parfois préoccupés par certains de nos défauts qui génèrent en nous un sentiment d’infériorité (parce qu’il nous semble que les autres nous trouvent aussi ce défaut). Dès que nous sommes en contact avec l’Autre, nous plaçons le « cliché » de ce complexe d’infériorité dans notre « projecteur », et notre vision des choses s’en trouve considérablement déformée. Le cliché négatif s’incarne alors dans la réalité et nos pires attentes se réalisent.

En transformant le cliché négatif en cliché positif, nous pourrons au contraire concrétiser de belles choses. Selon Vadim Zeland, « si vous créez volontairement un cliché positif, il sera capable de transformer la couche de votre monde de manière extraordinaire. »

Nous pouvons aussi placer notre attention sur la personne idéale que nous souhaiterions être. Pour cela, nous pouvons lister les qualités que nous aimerions mettre en avant et qui sont alignées avec qui nous sommes.

Et si vous développiez vous aussi un « cliché » autour de vos qualités pour les rendre de plus en plus présente dans votre vie ?

Bonne journée,
Ludovic

J’ai décidé de CHANGER MA VIE de chef d’entreprise pour m’INVESTIR DANS LE CHANGEMENT de société

Se mettre au service du changement sociétal

Christophe Chenebault est passé d’une vie de chef d’entreprise minutée à une vie plus « slow » et pleine de sens : « Soit je continuais et je finissais sur un lit d’hôpital, soit je changeais radicalement. »

Pour ça, il a tout quitté pour « porter le message du changement positif partout où je peux« .

Et il n’a pas chômé !
– Création et animation de conférences
– Mise en place de rencontres « changer le monde » pour rassembler les acteurs
– Accompagnement des porteurs de projets
– Publication du livre « impliquez-vous », un mode d’emploi pour agir positivement au quotidien
– Création du printemps de l’éducation pour promouvoir des approches éducatives positives
– Publication d’un livre avec les indiens Kogis pour se relier aux peuples premiers
– Engagement auprès d’un projet de logement des SDF


Lien vers la vidéo >>

Résultat : sa vie est portée par le sens : « Maintenant je veux prendre le temps d’aller au fond des choses. Je suis passé d’un mode quantitatif au mode qualitatif. »

Bravo !

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