Écriture (2/5) – SE FIXER UN CALENDRIER pour rester motivé !

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Mercredi dernier, nous avons vu le point 1 : DÉFINIR UN OBJECTIF pour rester motivé ! Voici aujourd’hui le point 2.

Écrire est une aventure passionnante. Mais quand surviendra le doute, rappelez-vous pourquoi vous avez commencé à écrire (la première clé pour rester motivé est de déterminer un objectif) et fixez-vous un calendrier. Car, en vous fixant un calendrier, vous vous efforcerez de maintenir un rythme d’écriture en accord avec ce dernier.

2. Se fixer un calendrier

Pour rester motivé lorsque nous écrivons, mieux vaut tenir un calendrier.
En effet, si nous écrivons avec le cœur, mieux vaut ne pas négliger la raison. Se fixer un calendrier, des deadlines à chacune des étapes du travail d’écriture peut constituer un excellent moyen de maintenir le cap.
Si vous vous lancez dans un récit autobiographique, ou dans un roman : décortiquez votre travail en plusieurs séquences.

Par exemple :
– Le 1 mars : le plan sera construit
– le 1 avril : les fiches personnages seront rédigées
– A la mi-avril : le premier chapitre sera fini

Bien sûr, sachez faire preuve de douceur vis-à-vis de vous-même. Si vous dépassez les délais, rallongez-les en douce. Qui le saura ?

« Comment voulez-vous vivre sans écrire ? C’est tellement difficile de vivre que sans écrire, la vie n’est juste pas possible. » (Amélie Nothomb)

Mercredi prochain, nous aborderons le point 3 : RELIRE pour rester motivé !

Si vous souhaitez en savoir davantage sur mes prestations d’écriture (e-book, articles de blog…), remplissez le formulaire ci-dessous et je vous contacterai.

Aujourd’hui, on s’AUTORISE – Partie 2

S’autoriser À FAIRE ce que l’on juge

Juger l’oisiveté, la poésie et la dispersion m’indique que j’ai besoin de m’accorder des pauses, des vacances et davantage de curiosité pour ce que je ne connais pas.

Hier nous avons vu : s’autoriser À ÊTRE ce que l’on juge.
Deuxième temps, aujourd’hui on s’autorise À FAIRE des choses que l’on juge mal.

Par exemple : l’oisiveté, la poésie, l’art, le cinéma, etc. Il est commun de penser que « le temps c’est de l’argent » et qu’il ne faut pas perdre une minute. Ou encore, d’être tellement impatient d’obtenir des résultats qu’on ne perde plus une seconde. Mais il faut comprendre que notre cerveau est coriace et qu’il a besoin de beaucoup de repos pour fonctionner de manière optimale.

Un temps de pause par semaine, par jour ou par mois, à raison de quelques jours de vacances, ou d’un temps quotidien d’une heure ou deux ne vous retarderont pas et surtout vous permettront d’appuyer sur le bouton « pause » afin que vous recouvriez vos forces physiques et mentales. Vous n’en aurez que les idées plus claires et votre corps vous dira merci.

Si vous souhaitez vous abonner à la newsletter de ON PASSE À L’ACTE, remplissez le formulaire ci-dessous.

Immobilier (10/21) – Privilégiez la rentabilité à la plus-value

Immobilier Ludovic Bréant

Dans le conseil N°9 nous avons vu qu’il était nécessaire d’investir avec prudence : plutôt que d’investir toute sa capacité d’endettement sur une opération, il est préférable d’échelonner les choses car la carrière d’un investisseur immobilier se fait sur la durée.

Aujourd’hui, on va voir qu’il est préférable de privilégier la rentabilité plutôt que la recherche de plus-value.​​​​​​​

Le défi que je vous propose aujourd’hui est d’aller identifier dans mon livre les exemples d’opérations où je parle de cash-flow ou de rentabilité plutôt que de plus-value.

En privilégiant la rentabilité à une potentielle plus-value, nous nous mettons à l’abri des fluctuations du marché.

Si le marché baisse, mes locataires seront toujours présents et mon cash-flow restera positif.

Si le marché progresse, comme ce fut le cas lors de l’une de mes acquisitions, c’est un plus pour moi.

Ne vous focalisez donc pas sur une plus-value pour gagner de l’argent mais allez chercher chaque fois le cash-flow le plus positif possible.

Gardez à l’esprit que la plus-value est comme la cerise sur le gâteau !

Conseil#10 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

>>> Voir le conseil N°9 « Investissez avec prudence »

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr

La perception de soi

Tout être humain qui est aimé inconditionnellement par ses parents ou ses éducateurs pour ce qu’il est et non pour ce qu’il fait, développe une saine estime de lui-même.

Il entretient un sentiment de valeur et d’importance à ses propres yeux. Lors de mes retraites/ateliers PHÉNIX, je demande aux personnes qui assistent de compléter un test sur la dépendance affective et le résultat démontre que l’amour de soi est presque toujours déficitaire. Je reçois des gens très éduqués, des gens moins scolarisés et très peu ont une juste estime d’eux-mêmes. Ils ont une grande difficulté à s’apprécier et à prendre soin d’eux. Ce sont des personnes qui ont fui à travers des activités, leur travail, des achats, des possessions matérielles, des substances ou autres, afin de remplir leur vide intérieur.

Quelle est la cause de toutes ces fuites ? Bien souvent, c’est le manque d’intimité avec elles-mêmes, le manque d’écoute de soi, le non-respect de leur corps et le manque d’amour de soi qui en sont la cause. En ne s’accordant pas de temps de qualité, ces personnes ne peuvent identifier leurs besoins ou malaises dans le but de s’accueillir et ainsi trouver des réponses au vide intérieur qui les habite en permanence.

Tous ces manques entrainent infailliblement la personne à vivre des complexes, à adopter de fausses croyances limitantes et bientôt les personnages font leur apparition.

Un personnage prend toute la place dans l’ego, l’orgueil, les complexes causés par l’abandon, le rejet, la culpabilité, la rivalité, l’infériorité, la supériorité, la trahison, l’injustice, la honte de soi et autres. Lorsqu’on a appris depuis notre enfance à banaliser nos sentiments, à ne pas exprimer nos émotions et nos peurs, le personnage a développé un des plus populaires mécanismes de défense qui soit pour se couper de l’émotion et de sa vitalité: la castration.

La perception de soi fait prendre conscience des divers aspects de sa personnalité : traits physiques et psychologiques, qualités morales, besoins, acquis et ressources, capacités et limites, forces et faiblesses.

Ainsi, si on me demandait de décrire la perception que j’ai de moi-même actuellement, je dirais : « je suis un homme ; j’exerce la fonction conférencier ; j’ai la carrière d’enseignant ; je m’applique à être un bon communicateur ; quelque peu timide, j’aime pourtant les défis, je suis authentique, vulnérable et sensible à moi et à l’autre ».

Et je pourrais poursuivre de la sorte en énumérant les divers aspects de la personne que je suis devenue. Je reconnais comme miennes les qualités que mon entourage me renvoie. Toute fois, je ne suis pas tout à fait dépendant de l’appréciation d’autrui. Plus j’acquiers de la maturité, plus je découvre en moi, par la réflexion et l’expérience, d’autres qualités et aspects intéressants. En résumé, l’estime que j’ai bâtie de moi-même dépend à la fois de l’appréciation des autres et de la mienne.

Lorsqu’on s’aime réellement, qu’on s’approuve et qu’on s’accepte tel que l’on est, tout fonctionne dans la vie. C’est comme de petits miracles surgissant de partout.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

Pour recevoir plus d’informations de la part de Robert Savoie, remplissez le formulaire ci-dessous.

J’ai décidé de QUITTER MON EMPLOI DE CARRIÈRE de chef de projet immobilier pour METTRE MES COMPÉTENCES AU SERVICE d’un projet de sens

Mettre ses compétences au service d’un projet de sens

Après une carrière de chef de projet dans l’immobilier, Constance de Alexandris a décidé de suivre ses convictions et apirations personnelles en mettant ses compétences au service d’un projet de sens : le développement d’éco-systèmes alimentaires durables dans nos villes.

« J’ai quelque chose à dire, à apporter, à travers mon prisme, à travers ce que je sais faire. »

Résultats :
– Une découverte de potentiels et de talents qu’elle ne se connaissait pas encore.
– Une vie très intense, riche de rencontres et de possibles.


Lien vers la vidéo >>    (Note : nous avons rencontré des problèmes techniques lors de l’interview ayant entrainé des dégradations de l’image. Nous nous en excusons, et avons tenu à diffuser tout de même ce témoignage que nous trouvons important.)

Pour Constance, ce changement de vie nourrit son sentiment « d’être à sa place, d’apporter sa pierre à l’édifice : c’est un sentiment qu’on n’a pas en tant que salarié » .

Un conseil ? « Il faut s’écouter, il faut se faire confiance. (…) il faut s’autoriser à diffuser sa propre lumière pour rayonner sur les autres ».

Pour recevoir plus de vidéos inspirantes, inscrivez-vous à la newsletter de ON PASSE À L’ACTE, en remplissant le formulaire ci-dessous.

L’eau selon la naturopathie (partie 2) – La déshydratation et ses conséquences

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

Samedi dernier, nous avons vu en introduction de cet article, les divers rôles que joue l’eau sur notre organisme. Parlons maintenant de la déshydratation.

La déshydratation et ses conséquences

En Occident, c’est par méconnaissance et par pression des lobbies agroalimentaires qui poussent le consommateur à ingurgiter des eaux bicarbonatées, le plus souvent saturées en sucre, que grand nombre de nos contemporains souffrent des conséquences de la déshydratation.

La sensation de « bouche sèche » est le dernier des signes à survenir à la suite d’un manque d’eau. Lorsque ce signal apparaît, de nombreux autres signaux, voire de dommages, peuvent avoir déjà apparu. Par ailleurs, la tendance à la déshydratation augmente avec les années. Pour preuve, parmi les victimes de la canicule de 2003, nombre d’entre elles étaient âgées et déjà fragilisées par un manque d’apport en eau.

On ne parle peu, dans les traités médicaux, de l’histamine, un médiateur chimique du cerveau, qui joue un rôle des plus importants : c’est elle qui coordonne l’absorption de l’eau dans le corps et règle les problèmes de déshydratation.

L’hypersécrétion de ce médiateur est très souvent impliquée dans les douleurs chroniques, comme les douleurs rhumatismales. Ces douleurs seraient un moyen d’expression de l’intelligence de notre corps qui crie son besoin en eau.

Chez d’autres sujets, un taux d’histamine élevé pourra favoriser des terrains allergiques, asthmatiques ou migraineux.

Traiter ces maux avec des analgésiques ou des antihistaminiques, réponse classique en allopathie, alors que la cause est le manque d’eau, est une aberration qui ne fera que masquer la réelle cause de la souffrance. Pire, la prise régulière de ces molécules de synthèse provoque souvent des effets secondaires.

Samedi prochain, nous verrons la suite de cet article consacré à l’eau et la santé et détaillerons les effets secondaires de la déshydratation.

Pour recevoir plus de conseils de la part d’Alain Huot, remplissez le formulaire ci-dessous.

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Privilégier les fibres

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Privilégier les fibres

Les dernières études scientifiques nous apprennent que la principale cause des maladies métaboliques (obésité, maladies cardio-vasculaires, diabète type 2..) sont liées à l’excès de sucres raffinés et la carence en fibres de notre alimentation moderne.

Les fibres alimentaires que l’on trouve en abondance dans les légumes frais ou secs, les fruits et les céréales, sont le fuel de notre flore intestinale. Les études scientifiques ont montré que plus l’apport en fibres est important et plus la diversité et le nombre d’espèces de bactéries sont importants. Le microbiote en est d’autant plus stable et équilibré. Or, notre état de santé dépend de la symbiose que nous entretenons avec notre microbiote.

Autre bénéfice, les fibres ralentissent l’absorption des sucres, ainsi, les aliments riches à la fois en sucres et en fibres comme les fruits auront un index glycémique moyen ou bas. Un faible IG est à privilégier car il induit une libération lente de l’énergie permettant une utilisation longue et régulière par l’organisme, mais également moins de stockage des sucres en graisses et un effet de satiété diminuant la faim et donc la prise alimentaire.

Plus encore : la digestion des fibres par notre microbiote produit des acides gras à courte chaîne (AGCC) qui apportent de l’énergie à nos cellules et ont des effets protecteurs sur notre santé. Au niveau de l’intestin, ces molécules permettent, entre autres, de réguler les processus inflammatoires et sont capables d’inhiber la prolifération des cellules cancéreuses dans le côlon.

Autant de raisons pour privilégier l’apport des fibres !

Mon astuce : j’ai les fibres gourmandes…

J’enrichis en fibres mes plats avec des graines de chanvre bio non décortiquées ou des pistaches grillées. En cas de fringale, je grignote riche en fibres avec des baies de Goji bio ou des amandes bio non pelées . Facile même au bureau ou en déplacement !

Pierre Lapoujade

Pour recevoir plus d’informations sur l’intelligence nutritionnelle, remplissez le formulaire ci-dessous.

Écriture (1/5) – DÉFINIR UN OBJECTIF pour rester motivé !

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

L’écriture requiert souvent motivation et persévérance. Car, après les premières pages, surviennent le doute et la démotivation. Pour traverser ces moments de passage à vide, je vous propose 5 façons de rester motivé. La première d’entre elle est de définir un objectif.

1. Définir un objectif

Pour faire du travail d’écriture, une aventure accomplie, il faut être animé d’un objectif, d’une bonne raison d’écrire. Car, un projet d’écriture réussi implique passion et pugnacité.

Posez-vous les questions suivantes :

– Pourquoi ai-je décidé de prendre la plume ?
– Qu’est-ce qui me motive à écrire ? Par quoi suis-je animé ?
– Comment me sentirai-je lorsque le processus sera abouti ?
– Si je ne mène pas mon projet d’écriture à son terme, en quoi cela m’impactera ?
– Pourquoi est-ce si important pour moi d’accomplir ce projet ?

Vous n’aurez pas la même motivation si vous avez décidé d’écrire les mémoires de votre grand-mère souffrante, que si vous vous êtes mis en tête d’écrire un roman pour faire comme votre meilleure amie qui vient de publier le sien.

Il est donc important de sonder en soi ce qui nous pousse à prendre la plume.

« J’écris seulement si quelque chose me coule du cœur jusqu’aux mains. » (Christian Bobin)

Mercredi prochain, nous aborderons le point 2 : SE FIXER UN CALENDRIER pour rester motivé !

Si vous souhaitez en savoir davantage sur mes prestations d’écriture (e-book, articles de blog…), remplissez le formulaire ci-dessous et je vous contacterai.

Aujourd’hui, on s’AUTORISE – Partie 1

Hier nous avons vu la partie 1 : S’autoriser À FAIRE ce que l’on juge. Voici aujourd’hui la partie 2.

S’autoriser À ÊTRE ce que l’on juge

Juger l’argent et les leaders m’indique que je peux me donner davantage l’autorisation d’avoir de l’argent et d’être leader.

Aujourd’hui, on s’autorise à devenir comme les gens que l’on juge. Oui, vous avez bien lu ! Aujourd’hui, on commande et on devient riche !

Pourquoi ? Parce que c’est deux éléments permettent de porter les projets viables et pérennes. Et que pour la grande majorité des gens, leur acquisition les fera passer du côté obscur de l’échiquier sociétal. Du côté des oppresseurs, du côté richards, du côté des élites qui ont soif de pouvoir. Et vous, vous ne voulez certainement pas ça.

Vous, vous êtes différents, vous êtes quelqu’un de bien. Et c’est vrai. Vous l’êtes, mais pour autant cela ne veut pas dire qu’eux ne le sont pas juste parce qu’ils possèdent des moyens conséquents et qu’ils savent comment diriger un projet, bien au contraire. C’est nécessaire.

À vous de voir maintenant, si vous seriez d’accord pour acquérir les moyens de porter votre projet tout en restant fidèle à vos principes ou si vous vous perdrez pour d’autres chemins en cours de route. Toujours est-il qu’il vous faut nécessairement ces moyens alors on arrête de juger et on se met au boulot !

Demain, nous verrons comment s’autoriser À FAIRE ce que l’on juge.

Si vous souhaitez vous abonner à la newsletter de ON PASSE À L’ACTE, remplissez le formulaire ci-dessous.

Immobilier (9/21) – Investissez avec prudence

Immobilier Ludovic Bréant

Dans le conseil N°8 nous avons vu comment négocier et acheter au bon prix. Ce n’est pas forcément le prix le plus bas qu’il faut viser mais plutôt le prix juste au regard de la destination qu’on souhaite donner au bien.

Aujourd’hui, on va voir que même si on est un investisseur aguerri, c’est bien de ne pas mettre tous les oeufs dans le même panier.

La prudence doit être de mise.

Rappelez-vous aussi qu’il ne faut pas forcer les choses et qu’il est toujours préférable d’avoir un plan B car ça permet de diminuer la pression et de prendre de bonnes décisions.​​​​​​​

La prudence est une vertu essentielle pour éviter de bruler les étapes.

Avant de vous lancer, sachez vous constituer une réserve de trésorerie financière représentant six mois de crédit.

Apprenez également à pas forcer les choses : c’est une des règles de l’immobilier à prendre en compte.

Quand les négociations se font âpres, quand les tensions sur un projet se multiplient, quand les difficultés se multiplient, il faut avoir l’humilité de reconnaitre que ce bien n’est peut-être pas fait pour nous.

Dans ce chapitre de mon livre, j’insiste sur le fait que pour chacune de nos acquisitions, j’imagine un plan B. Vous y trouverez un exemple concret.

Conseil#9 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

>>> Voir le conseil N°8 « Négociez et acheter au bon prix »

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr