Diminuer l’AGITATION de son mental

Quand je ne parviens pas à apaiser mon mental, je vais marcher ou courir dans la nature, et je prête attention à ce qui m’entoure : la sensation du sol sous mes pieds, le chant des oiseaux, le bruissement du vent dans les arbres, chacun de mes gestes, chacun de mes mouvements. Et cette attention me permet de sentir la vie qui circule en moi.

Mais malgré mes efforts, le petit moi revient constamment à la charge : il veut continuer à exister. Par exemple, pendant une réunion, un participant fait une grande démonstration et je ne peux m’empêcher de penser : « Il m’e****, avec ses airs de monsieur-je-sais-tout » ou encore lorsqu’un membre de la famille émet une réflexion sur notre aisance financière : « Pour qui se prend-il ? Il ne se rend pas compte du travail que j’ai fourni pour en arriver là, moi ! »…

Dans ce genre de cas, je constate dans un premier temps l’agitation mentale : les jugements qui fusent dans tous les sens, les comparaisons, les critiques. Je me contente alors de les regarder, de les observer.

Et vous, arrivez-vous à diminuer l’agitation de votre mental ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

Comment participer à la CRÉATION d’un MONDE NOUVEAU ?

Un monde meilleur est à faire naître. Quelle place allons-nous y prendre ? Avons-nous du temps à perdre en futilité ?

La raison de notre présence sur terre est de servir l’humanité pour créer un monde encore meilleur. Cela peut commencer par un regard bienveillant porté à l’autre.

Par exemple : un employé de poste me fait attendre. Je deviens furieux dans un premier temps, je le fusille du regard : « il m’énerve, je n’ai pas que cela à faire, moi ! ». Finalement, je me ressaisis, je lui envoie un grand sourire, avec une intention d’amour, et d’un seul coup, l’énergie se modifie : l’employé de poste devient à son tour souriant et aimable et les formalités sont effectuées de manière rapide, fluide, le tout se terminant par un grand sourire. Cet employé de poste a peut-être continué sa soirée avec sa famille dans cette même énergie positive.

En faisant le choix d’ouvrir mon cœur, j’ai participé à la création d’une énergie positive et je me suis fait un ami plutôt qu’un ennemi.

Chacun d’entre nous a la possibilité de rendre le monde qui nous entoure encore meilleur. Nous possédons le pouvoir de changer le monde dans lequel nous vivons.

Et vous, êtes-vous prêt à participer à la création d’un monde meilleur ?

Belle journée,
Ludovic

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Prendre conscience de sa planète intérieure

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Prendre conscience de sa planète intérieure

Changer d’état d’esprit est la clé de tout développement personnel majeur. Prendre conscience que nous hébergeons 100.000 X plus de bactéries dans notre ventre qu’il n’y a d’êtres humains sur la Terre, que notre microbiome compte 26 X plus de gènes que le génome humain, que 40% des molécules qui circulent dans notre sang sont produites par nos bactéries, que nous avons plus de cellules microbiennes que de cellules humaines . En somme, l’Homme est plus Bactérien qu’Humain !

Notre système immunitaire, notre évolution, notre capacité d’adaptation au froid, au chaud, à notre environnement, notre survie sur Terre sont liés à cette symbiose avec notre microbiote. Il est alors productif pour notre santé et notre état d’être, de bien nourrir notre microbiote, de le le choyer, le protéger, le bichonner pour qu’il soit le plus diversifié possible et qu’il produise les molécules bénéfiques à notre corps et à notre cerveaux.

La diversité des aliments, la consommation de fruits et légumes frais, la gestion des émotions, la respiration consciente, la non-consommation de produits industriels contenant des conservateurs, émulsifiants, additifs, résidus de pesticides sont autant des comportements d’Intelligence Nutritionnelle favorables à notre microbiote et donc à notre santé.

Mon astuce : j’aime considérer que je nourris d’abord mon microbiote et qu’ensuite c’est lui qui nourrit mon corps . En m’affranchissant d’anciens conditionnements alimentaires, en écoutant plus ma nature intérieure, je réalise qu’il n’est pas question de régime, de privation, d’effort, mais d’un dialogue intérieur assertif, porteur de résultats visibles, rapides et durables !

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CÉLÉBRONS nos victoires

Nous faisons des erreurs, mais chacune d’entre elle porte le germe d’une réussite. À partir du moment où nous nous remettons en question, nous transformons l’échec en expérience pour poursuivre notre chemin.

Plusieurs années m’ont été nécessaires pour que je perçoive les bienfaits de mon dépôt de bilan : la succession d’erreurs que j’ai faites m’a permis de progresser et surtout de trouver réellement ma vocation et ma mission de vie. J’ai ainsi pris conscience que toutes les expériences que j’ai vécues depuis ma naissance m’ont permis d’être qui je suis aujourd’hui… et finalement, les choses sont parfaites…

Et lorsqu’un objectif est atteint, prenons le temps de célébrer cet événement comme il se doit…

Quand j’ai commencé à fêter toutes les petites choses que m’apportait la vie, celle-ci est devenue beaucoup plus lumineuse.

Dans mes échanges avec les autres, plutôt que de critiquer, de blâmer ou de me plaindre, j’apportais du positif, de la gratitude. J’ai accordé une place beaucoup plus importante à ce qui se déroulait positivement dans ma vie, à mes réussites plutôt qu’à mes échecs…

J’ai partagé cette pratique avec mes enfants en instaurant un rituel du soir : avant de se coucher, ils devaient me donner trois événements de la journée qui méritaient d’être célébrés. Cela leur permettait de partager des événements agréables de la journée et de s’endormir sur du positif.

Dans le domaine professionnel, j’ai pris l’habitude de commencer les réunions en faisant un tour de table des succès engendrés depuis la réunion précédente avant de passer en revue les problèmes à régler. Le fait de célébrer et de déclarer à haute voix des actions positives passées renforce le pouvoir de création à venir. De la même manière, mes réunions se terminent par des annonces positives concernant l’avenir, le fait d’annoncer des objectifs enthousiasmant permettant d’ouvrir le champ des possibilités.

Et vous, célébrez vous les victoires ?

Belle journée,
Ludovic

Aujourd’hui, on s’AUTORISE – Partie 2

S’autoriser À FAIRE ce que l’on juge

Juger l’oisiveté, la poésie et la dispersion m’indique que j’ai besoin de m’accorder des pauses, des vacances et davantage de curiosité pour ce que je ne connais pas.

Hier nous avons vu : s’autoriser À ÊTRE ce que l’on juge.
Deuxième temps, aujourd’hui on s’autorise À FAIRE des choses que l’on juge mal.

Par exemple : l’oisiveté, la poésie, l’art, le cinéma, etc. Il est commun de penser que « le temps c’est de l’argent » et qu’il ne faut pas perdre une minute. Ou encore, d’être tellement impatient d’obtenir des résultats qu’on ne perde plus une seconde. Mais il faut comprendre que notre cerveau est coriace et qu’il a besoin de beaucoup de repos pour fonctionner de manière optimale.

Un temps de pause par semaine, par jour ou par mois, à raison de quelques jours de vacances, ou d’un temps quotidien d’une heure ou deux ne vous retarderont pas et surtout vous permettront d’appuyer sur le bouton « pause » afin que vous recouvriez vos forces physiques et mentales. Vous n’en aurez que les idées plus claires et votre corps vous dira merci.

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Détachons-nous du RÉSULTAT

Le détachement consiste à se détacher du résultat de nos actions pour nous centrer sur l’action elle-même.

Quand j’ai commencé à travailler cet aspect de la méditation, j’ai cherché à m’échapper de la souffrance, des difficultés. J’avais beaucoup plus de mal à me détacher de mes succès.

Il y a quelques années, seul le but m’intéressait et je ne vivais que pour l’atteinte de mes objectifs. Une fois l’objectif atteint, je passais immédiatement au suivant sans éprouver de plaisir et sans rien célébrer. Aujourd’hui, le chemin m’importe beaucoup plus que la réalisation de mon objectif final et je fais en sorte d’éprouver du plaisir dans mes actions, sans m’accrocher excessivement à la réussite. Je fais de mon mieux dans chacune de mes actions et je suis présent à toutes les expériences qui me construisent.

Et vous, êtes-vous prêt à vous détacher du résultat ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

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