Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 2/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Nous avons vu mardi dernier,  les points de repères de mon enfance. Abordons maintenant cela sur le plan de la spiritualité (sans parler de religion).

Spiritualité : MES POINTS DE REPÈRE

Je crois en une Force suprême : un Dieu, ma Source, mon Énergie divine. Appelez-la comme bon vous semble. J’aimerais vous parler de mon oncle Fred. Il m’a montré la voie, sa voie… À l’âge de sept ans, il m’a donné une petite bible rouge. Un cadeau précieux pour moi. À l’âge de seize ans, alors que j’étais ivre, en rêvant que j’étais à la salle de bain, j’ai ouvert le tiroir de mon bureau et uriné sur la bible, sans faire exprès, j’étais inconscient de ce que je faisais… J’ai dû la jeter… j’ai beaucoup regretté mon geste. Ce point repère que mon oncle m’a transmis quand j’avais sept ans me suit encore aujourd’hui.

Comment ai-je pu vivre en endurant toutes ces souffrances?

J’ai construit des personnages pour ne pas me regarder dans le miroir et être ainsi forcé de me responsabiliser. J’ai vécu des abus et de la violence. J’ai consommé des substances. J’ai enduré la maladie et fait quatre tentatives de suicide parce que j’avais trop mal à l’intérieur, Le mal de vivre. Comment pourrait-on m’expliquer que lors de ma quatrième tentative, j’ai pris tellement de coumadin que cette quantité aurait pu tuer un cheval ? Vous allez me dire après cela qu’il n’y a pas quelque chose de plus grand que soi ? La foi, c’est quelque chose de personnel.

ATTENTION : il y a une différence entre la religion et la spiritualité. Aujourd’hui, je vous parle de spiritualité. Nous ne savons plus communiquer et, pourtant, nous sommes à l’ère des communications le monde virtuel, l’électronique, les iPods, les textos, les réseaux sociaux. Tout cela ne nous permet pas d’échanger davantage, de parler pour vrai en nous regardant dans les yeux. Au resto, les familles passent leur temps à faire des texos. Nous ne sommes plus en relation. À l’arrêt d’autobus, on se disait bonjour alors que maintenant, nous ne nous levons même plus la tête pour saluer les gens. Nous accordons plus d’importance aux textos, au virtuel, qu’aux membres de nos familles. Toute une fuite! Pire encore, personne ne veut le voir, c’est devenu la norme.

Les sapins de Noël dans les centres d’achat me rappellent mes points de repère. Regardons-nous dans un miroir : c’est nous qui sommes à blâmer et non ceux qui nous demandent d’enlever tous nos points de repère. Transmettons-nous nos valeurs et nos traditions à nos enfants ? C’est pourtant sécurisant et réconfortant pour eux. Je suis né au Québec, ma langue, c’est le français. J’aime nos traditions, notre culture, elles sont mes points de repère. Si nous n’en avons pas, nous sommes alors assis sur un siège désajusté et nous conduisons mal notre vie.

EN CONCLUSION : encore une fois, nous sommes ce que nous voulons être. Refuser de me regarder dans le miroir, c’est accepter que d’autres établissent mes points de repère et contrôlent ma vie. Cette portion du message que je présente aux gens est puissante. Je vous invite à croire en vous, à faire mourir vos personnages pour créer la vie dont vous rêvez. Je vous invite à retourner à votre source, là où se trouve la plus grande des forces, beaucoup plus grande que soi-même et sur laquelle nous pouvons compter en tout temps et qui peut nous aider à obtenir tout ce que nous désirons.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

>> Relire la première partie de cet article

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

Pour recevoir plus d’informations de la part de Robert Savoie, remplissez le formulaire ci-dessous.

RÈGLE D’OR #3 pour un article inspirant – Sonder au plus profond de soi pour illustrer son propos

Bonjour, je m’appelle Sana, je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Je vous propose 7 règles d’or pour écrire un article inspirant et percutant. Nous avons vu mercredi dernier, la Règle d’or n°2 : Définir une problématique et dégager un plan. Voici aujourd’hui la règle d’or n° 3.

Sonder au plus profond de soi pour illustrer son propos

A présent, vous avez un plan et avant de passer à la rédaction, je vous conseille de prendre du temps pour questionner votre sujet en fonction de vos propres valeurs.

Qu’est-ce que la méditation pour vous ? Quelle est votre histoire personnelle vis-à-vis d’elle ? Aimez-vous vraiment méditer ? Trouvez-vous cette activité lassante, inintéressante ? Si oui, pourquoi ?

Je sais pour ma part que j’ai toujours été une enfant calme, observatrice, curieuse, qui adorait passer du temps à regarder le ciel, les animaux, les arbres.

A l’âge adulte la méditation s’est présentée à moi naturellement, et j’apprécie de passer du temps avec moi-même pour mieux être avec les autres.

J’ai d’ailleurs souvent besoin de ces parenthèses dans mon quotidien. Petite, je voyais ma mère assise en tailleur, en fermant les yeux, et je l’imitais mes yeux à demi fermés comme pour ne pas rater quelque chose.

Ainsi, cette étape de questionnement interne est essentielle car elle va vous permettre d’écrire en fonction de ce qu’il vous semble le plus juste, et non en fonction de l’avis des autres.

Si vous avez toujours été hyperactif et que vous abhorrez l’idée de ne rien faire durant quelques minutes, vous avez entièrement le droit, et vous pouvez l’exprimer dans votre rédaction.

Vos lecteurs ne vous en seront que reconnaissants d’avoir eu la probité, l’honnêteté de l’énoncer.

À suivre mercredi prochain : Règle d’or n° 4 – L’étape de rédaction

Si vous souhaitez en savoir davantage sur mes prestations d’écriture (e-book, articles de blog…), remplissez le formulaire ci-dessous et je vous contacterai.

MANGEONS PLUS SAINEMENT !

Les sociétés agro-alimentaires nous poussent à consommer des aliments industrialisés, destinés non pas à notre bien-être mais à accroitre leurs propres profits ! Ces entreprises recherchent des aliments pouvant être fabriqués le plus économiquement possible et conservé le plus longtemps possible.

J’ai participé à ce système économique pendant longtemps, mais je considère aujourd’hui qu’il faut réagir !

La terre nous est prêtée et nous devons la respecter ! Pourtant, certains agriculteurs l’intoxiquent avec des engrais et pesticides utilisés pour produire de manière intensive. Cela ne durera pas longtemps : l’avenir est au retour des paysans qui fournissent des produits de qualité, de proximité, bio, et qui nous maintiennent en bonne santé.

Pour avoir plus d’énergie, la prise de conscience de nos mauvais comportements alimentaires pourra faire la différence. Avec quelle intention nous nourrissons-nous ? Pour remplir notre estomac, en conformité avec ce que l’industrie alimentaire nous propose, ou pour prendre soin de nous en nous alimentant de produits le plus naturel possible ? Il est peut-être temps de nous réveiller et de manger plus sainement.

Et vous, prenez-vous soin de vous en vous alimentant le plus sainement possible ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

J’ai décidé de QUITTER LA HAUTE TECHNOLOGIE pour cultiver la terre

Changer de métier pour se rapprocher de la vie

Rédouane a changé de vie ! Chef d’entreprise, il a vendu sa boîte pour réinvestir son argent dans la terre…

« Je me rendais compte que quand le soir je rentrais chez moi, je n’avais même pas vu quel temps il avait fait dans la journée ! Je n’avais plus envie de vivre ça… alors j’ai décidé de changer. »

Aujourd’hui, il est paysan, pratique une agriculture respectueuse du vivant et il est bien dans ses bottes !


Lien vers la vidéo >>

Pour recevoir plus de vidéos inspirantes, inscrivez-vous à la newsletter de ON PASSE À L’ACTE, en remplissant le formulaire ci-dessous.

REGARDONS LA DOULEUR en face

Comment faire lorsque la souffrance est trop présente et qu’il n’y a plus de place pour autre chose ?

Le mécanisme est le même pour la douleur physique et pour la douleur morale. En nous centrant sur nos pensées douloureuses, nous leur donnons de l’importance et nous alimentons le mal. En cherchant à le combattre et à le repousser, nous finissons par en faire un monstre.

Lorsque j’étais au fond du trou au moment de mon dépôt de bilan, mon désespoir était total. J’avais la conviction que ma souffrance serait éternelle. Mais rien n’est permanent, ni la douleur ni la joie. Comme le disait ma grand-mère, qui était d’une grande sagesse : « Tout passe ». Et effectivement, quelques années plus tard, la blessure est totalement dépassée !

Même si la souffrance morale nous affecte, la première chose à faire est de l’accepter et de l’observer. Ensuite, nous pouvons pratiquer un exercice pour ne pas nous faire engloutir par les grandes douleurs. Les thérapeutes nous recommandent de placer notre souffle au centre de notre conscience et de faire comme si la respiration traversait la souffrance. Aussi, quand nous rencontrons de petites difficultés quotidiennes, il convient de ne pas bloquer notre souffle mais, au contraire, de prendre conscience de notre respiration, de notre corps, des sons qui nous entourent.

Lorsqu’on a connu une souffrance intense, les douleurs peuvent se calmer d’elles-mêmes. La vie semble alors s’adoucir, mais la cicatrice peut se rouvrir tant que nous n’avons pas réglé notre problème initial.

Êtes-vous prêt à regarder la douleur en face ?

Bonne journée à tous,
Ludovic

Êtes-vous accès sur le MANQUE ou l’ABONDANCE ?

L’une de mes relations avait introduit sa société en bourse en même temps que moi et avait cédé son entreprise quelques années plus tard environ cent millions d’euros. Cet homme n’a pas été plus heureux pour autant. Il était tourmenté par la peur de perdre de l’argent en bourse, ou de se faire escroquer ; il était constamment sur la réserve ; son angoisse et son stress rattachés à l’argent le privaient de tout le contentement qu’aurait dû lui apporter sa situation financière privilégiée !

Dans notre Univers de surabondance matérielle, nos pensées et nos conversations sont étonnamment axées sur le manque. J’ai longtemps constaté que ma première réflexion au réveil était : « Je n’ai pas bien dormi, je ne vais pas avoir assez de temps pour… ». Je passais mon temps à me plaindre, à m’angoisser au sujet du manque…

Et vous, êtes-vous accès sur le manque ou sur l’abondance ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

L’eau selon la naturopathie (partie 2) – La déshydratation et ses conséquences

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

Samedi dernier, nous avons vu en introduction de cet article, les divers rôles que joue l’eau sur notre organisme. Parlons maintenant de la déshydratation.

La déshydratation et ses conséquences

En Occident, c’est par méconnaissance et par pression des lobbies agroalimentaires qui poussent le consommateur à ingurgiter des eaux bicarbonatées, le plus souvent saturées en sucre, que grand nombre de nos contemporains souffrent des conséquences de la déshydratation.

La sensation de « bouche sèche » est le dernier des signes à survenir à la suite d’un manque d’eau. Lorsque ce signal apparaît, de nombreux autres signaux, voire de dommages, peuvent avoir déjà apparu. Par ailleurs, la tendance à la déshydratation augmente avec les années. Pour preuve, parmi les victimes de la canicule de 2003, nombre d’entre elles étaient âgées et déjà fragilisées par un manque d’apport en eau.

On ne parle peu, dans les traités médicaux, de l’histamine, un médiateur chimique du cerveau, qui joue un rôle des plus importants : c’est elle qui coordonne l’absorption de l’eau dans le corps et règle les problèmes de déshydratation.

L’hypersécrétion de ce médiateur est très souvent impliquée dans les douleurs chroniques, comme les douleurs rhumatismales. Ces douleurs seraient un moyen d’expression de l’intelligence de notre corps qui crie son besoin en eau.

Chez d’autres sujets, un taux d’histamine élevé pourra favoriser des terrains allergiques, asthmatiques ou migraineux.

Traiter ces maux avec des analgésiques ou des antihistaminiques, réponse classique en allopathie, alors que la cause est le manque d’eau, est une aberration qui ne fera que masquer la réelle cause de la souffrance. Pire, la prise régulière de ces molécules de synthèse provoque souvent des effets secondaires.

Samedi prochain, nous verrons la suite de cet article consacré à l’eau et la santé et détaillerons les effets secondaires de la déshydratation.

Pour recevoir plus de conseils de la part d’Alain Huot, remplissez le formulaire ci-dessous.