Comment réussir votre vie amoureuse (partie 1/3)

Holà ma belle gang ! Ici Bobby INTER-National !

S’engager dans une relation, c’est définitivement choisir l’aventure parce que nul ne connait d’avance les méandres du chemin à parcourir. Comme toute aventure celle de la relation de couple implique un travail sur soi et exige un dépassement continuel, car le lien affectif qui unit deux amoureux est la meilleure école d’apprentissage de l’amour authentique et de la réussite de leur union. Mes secrets concernant la réussite d’une relation amoureuse reposent donc sur cette forme d’amour global.

À qui ces secrets peuvent-ils être utiles ?

– à ceux qui croient à l’amour et a ceux qui n’y croient plus.
– à ceux qui s’engagent dans une nouvelle relation amoureuse et qui veulent la réussir.
– à ceux qui souhaitent approfondir leur lien.
– à ceux qui doutent de leurs sentiments.
– à ceux qui traversent une crise en ce moment et qui veulent en sortir grandis et non détruits.
– à ceux qui désirent donner une dernière chance à leur relation.
– à ceux qui espèrent que leur vie de couple serve de lieu d’épanouissement personnel et d’amour véritable.
– à ceux qui veulent retrouver l’estime et le respect d’eux-mêmes.

L’amour authentique de l’être aimé dans la liberté d’être soi sert de fondement à toute relation amoureuse réussie.

Mardi prochain, je vous dévoilerai 6 points essentiels pour prendre soin de votre relation amoureuse.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 2/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Nous avons vu mardi dernier,  les points de repères de mon enfance. Abordons maintenant cela sur le plan de la spiritualité (sans parler de religion).

Spiritualité : MES POINTS DE REPÈRE

Je crois en une Force suprême : un Dieu, ma Source, mon Énergie divine. Appelez-la comme bon vous semble. J’aimerais vous parler de mon oncle Fred. Il m’a montré la voie, sa voie… À l’âge de sept ans, il m’a donné une petite bible rouge. Un cadeau précieux pour moi. À l’âge de seize ans, alors que j’étais ivre, en rêvant que j’étais à la salle de bain, j’ai ouvert le tiroir de mon bureau et uriné sur la bible, sans faire exprès, j’étais inconscient de ce que je faisais… J’ai dû la jeter… j’ai beaucoup regretté mon geste. Ce point repère que mon oncle m’a transmis quand j’avais sept ans me suit encore aujourd’hui.

Comment ai-je pu vivre en endurant toutes ces souffrances?

J’ai construit des personnages pour ne pas me regarder dans le miroir et être ainsi forcé de me responsabiliser. J’ai vécu des abus et de la violence. J’ai consommé des substances. J’ai enduré la maladie et fait quatre tentatives de suicide parce que j’avais trop mal à l’intérieur, Le mal de vivre. Comment pourrait-on m’expliquer que lors de ma quatrième tentative, j’ai pris tellement de coumadin que cette quantité aurait pu tuer un cheval ? Vous allez me dire après cela qu’il n’y a pas quelque chose de plus grand que soi ? La foi, c’est quelque chose de personnel.

ATTENTION : il y a une différence entre la religion et la spiritualité. Aujourd’hui, je vous parle de spiritualité. Nous ne savons plus communiquer et, pourtant, nous sommes à l’ère des communications le monde virtuel, l’électronique, les iPods, les textos, les réseaux sociaux. Tout cela ne nous permet pas d’échanger davantage, de parler pour vrai en nous regardant dans les yeux. Au resto, les familles passent leur temps à faire des texos. Nous ne sommes plus en relation. À l’arrêt d’autobus, on se disait bonjour alors que maintenant, nous ne nous levons même plus la tête pour saluer les gens. Nous accordons plus d’importance aux textos, au virtuel, qu’aux membres de nos familles. Toute une fuite! Pire encore, personne ne veut le voir, c’est devenu la norme.

Les sapins de Noël dans les centres d’achat me rappellent mes points de repère. Regardons-nous dans un miroir : c’est nous qui sommes à blâmer et non ceux qui nous demandent d’enlever tous nos points de repère. Transmettons-nous nos valeurs et nos traditions à nos enfants ? C’est pourtant sécurisant et réconfortant pour eux. Je suis né au Québec, ma langue, c’est le français. J’aime nos traditions, notre culture, elles sont mes points de repère. Si nous n’en avons pas, nous sommes alors assis sur un siège désajusté et nous conduisons mal notre vie.

EN CONCLUSION : encore une fois, nous sommes ce que nous voulons être. Refuser de me regarder dans le miroir, c’est accepter que d’autres établissent mes points de repère et contrôlent ma vie. Cette portion du message que je présente aux gens est puissante. Je vous invite à croire en vous, à faire mourir vos personnages pour créer la vie dont vous rêvez. Je vous invite à retourner à votre source, là où se trouve la plus grande des forces, beaucoup plus grande que soi-même et sur laquelle nous pouvons compter en tout temps et qui peut nous aider à obtenir tout ce que nous désirons.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

>> Relire la première partie de cet article

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
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Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 1/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Développement

Mon père ne travaillait pas le dimanche. Il passait la nuit précédente à préparer le souper de famille du dimanche. Je me rappelle aussi les bons déjeuners que mes parents préparaient ensemble, les bons œufs cuits dans la graisse de bacon. L’odeur du pain grillé! C’est si réconfortant. Chaque fois que je sens cette odeur, elle me sécurise et me rappelle le bon temps passé en famille. Aujourd’hui, je répète ces mêmes points de repère. Par contre, j’achète le bacon précuit !

Les temps changent, mais les points de repère restent ancrés en nous lorsque nous cherchons le bon et le positif en chacun d’eux. Le plus drôle, c’est qu’après que tous mes frères étaient arrivés à la maison familiale, mon père allait se coucher ! Pour lui, il avait joué son rôle de père, c’est-à-dire de nous avoir tous réunis. C’était le mieux qu’il pouvait faire.

J’en comprends la raison aujourd’hui. Il ne pouvait pas donner quelque chose qu’il n’avait pas reçu. En effet, il allait se coucher après que nous étions tous arrivés à la maison, c’était le mieux qu’il pouvait nous offrir, faute d’avoir lui-même reçu de l’affection parentale. Sa mère est morte en lui donnant naissance, il pesait six kilos, elle n’a pas survécu à l’accouchement.

Le père de mon père a renié son fils à la suite de la mort de sa femme. Mon père a été placé dans des familles d’accueil. Il n’a pas connu l’amour d’une mère ni celui d’un père. Ses besoins affectifs n’ont pas été comblés. Mon père a vite cru que c’était sa faute si sa mère était morte. Il a été profondément blessé d’avoir été rejeté. Il est devenu très dominateur et destructeur envers lui-même. Il s’est créé des personnages puissants pour ne pas ressentir le rejet et l’abandon dont il a été victime dès sa naissance.

La peur d’être rejeté était tellement présente en lui, qu’il nous aimait sans le dire, sans nous le faire sentir parce que sa souffrance d’avoir manqué d’affection dès sa naissance était trop grande. Malgré ses personnages, il avait une sensibilité très présente et c’est ce point de repère qui m’a montré l’homme bon qu’il était.

Lorsque nous étions tous réunis en famille et que nous parlions de nos réussites sportives ou celles de notre travail, il avait les yeux pleins d’eau. Sa sensibilité était plus puissante que ses personnages. J’ai hérité de cette sensibilité et j’en suis très fier aujourd’hui, car c’est une de mes plus grandes forces. Je me laisse plonger dans ma puissance divine quand je touche à ma sensibilité.

J’ai été gâté pourri par ma mère. J’avais juste à prendre ma douche, à me brosser les dents, et ma mère ramassait tout derrière moi : mes vêtements au bout du lit, ma serviette que je laissais par terre dans la salle de bain. J’ai essayé d’agir ainsi avec ma conjointe et je dois vous avouer que ce point de repère a vite été mis de côté !!!

À mardi prochain pour la suite de cet article.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
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La perception de soi

Tout être humain qui est aimé inconditionnellement par ses parents ou ses éducateurs pour ce qu’il est et non pour ce qu’il fait, développe une saine estime de lui-même.

Il entretient un sentiment de valeur et d’importance à ses propres yeux. Lors de mes retraites/ateliers PHÉNIX, je demande aux personnes qui assistent de compléter un test sur la dépendance affective et le résultat démontre que l’amour de soi est presque toujours déficitaire. Je reçois des gens très éduqués, des gens moins scolarisés et très peu ont une juste estime d’eux-mêmes. Ils ont une grande difficulté à s’apprécier et à prendre soin d’eux. Ce sont des personnes qui ont fui à travers des activités, leur travail, des achats, des possessions matérielles, des substances ou autres, afin de remplir leur vide intérieur.

Quelle est la cause de toutes ces fuites ? Bien souvent, c’est le manque d’intimité avec elles-mêmes, le manque d’écoute de soi, le non-respect de leur corps et le manque d’amour de soi qui en sont la cause. En ne s’accordant pas de temps de qualité, ces personnes ne peuvent identifier leurs besoins ou malaises dans le but de s’accueillir et ainsi trouver des réponses au vide intérieur qui les habite en permanence.

Tous ces manques entrainent infailliblement la personne à vivre des complexes, à adopter de fausses croyances limitantes et bientôt les personnages font leur apparition.

Un personnage prend toute la place dans l’ego, l’orgueil, les complexes causés par l’abandon, le rejet, la culpabilité, la rivalité, l’infériorité, la supériorité, la trahison, l’injustice, la honte de soi et autres. Lorsqu’on a appris depuis notre enfance à banaliser nos sentiments, à ne pas exprimer nos émotions et nos peurs, le personnage a développé un des plus populaires mécanismes de défense qui soit pour se couper de l’émotion et de sa vitalité: la castration.

La perception de soi fait prendre conscience des divers aspects de sa personnalité : traits physiques et psychologiques, qualités morales, besoins, acquis et ressources, capacités et limites, forces et faiblesses.

Ainsi, si on me demandait de décrire la perception que j’ai de moi-même actuellement, je dirais : « je suis un homme ; j’exerce la fonction conférencier ; j’ai la carrière d’enseignant ; je m’applique à être un bon communicateur ; quelque peu timide, j’aime pourtant les défis, je suis authentique, vulnérable et sensible à moi et à l’autre ».

Et je pourrais poursuivre de la sorte en énumérant les divers aspects de la personne que je suis devenue. Je reconnais comme miennes les qualités que mon entourage me renvoie. Toute fois, je ne suis pas tout à fait dépendant de l’appréciation d’autrui. Plus j’acquiers de la maturité, plus je découvre en moi, par la réflexion et l’expérience, d’autres qualités et aspects intéressants. En résumé, l’estime que j’ai bâtie de moi-même dépend à la fois de l’appréciation des autres et de la mienne.

Lorsqu’on s’aime réellement, qu’on s’approuve et qu’on s’accepte tel que l’on est, tout fonctionne dans la vie. C’est comme de petits miracles surgissant de partout.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

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Réentendre les mêmes choses ! (partie 3/3)

Mardi dernier, nous avons vu la seconde partie de cet article. Voici aujourd’hui la dernière partie (vous pouvez re-lire les parties 1 & 2 en cliquant sur l’un des liens suivant : Première partieSeconde partie).

Lors des retraites, je m’investis à 100% avec tout mon cœur et toute mon âme! Mon accessibilité, mon authenticité, ma Sensibilité, ma vulnérabilité et mon honnêteté font partie intégrante de mes retraites. Ce pourcentage ne représente que 5% du résultat final! Le reste, 95%, c’est chaque personne qui fait survenir son miracle!
Donc, nous les thérapeutes, conférenciers, motivateurs, animateurs, aussi excellents puissions-nous être dans nos domaines respectifs, nous ne sommes pas des génies, ni des guérisseurs et, encore moins, des dieux. Nous sommes des guides, des accompagnateurs, des déclencheurs, des outils pour servir et aimer servir par amour de l’être humain. De là, l’importance de la répétition, l’être humain ayant besoin de réentendre un mot, une phrase, un témoignage, une conférence, a différents moments selon son parcours de vie. Ce qu’il entende, lit ou voit, ne résonne pas de la même façon dans son cœur d’une fois à l’autre. On entend souvent dire :

« Ce que je n’ai pas capte hier ou il y a un an, aujourd’hui, je le comprends. J’entends, je ressens et ça résonne en moi, j’avance dans mon jardin, j’ai déracine, je vois les nouvelles pousses, les fleurs apparaissent, je suis en paix avec mes blessures. »

Nous avons besoin de réentendre, de relire pour bien ressentir ou nous en sommes dans notre cheminement. Vous relirez ce texte dans quelques mois ou quelques années et certains passages vous toucheront d’une façon particulière, alors que maintenant, telle ou telle partie ne vous révèle rien de particulier. Les participent revivre régulièrement mes ateliers et, après chaque retraite/atelier PHÉNIX, plusieurs d’entre eux viennent me voir et me disent : « Robert, j’ai entendu plusieurs fois ce que tu viens d’expliquer et ce n’est qu’aujourd’hui que j’ai pu me libérer ».

Je pleure de joie chaque fois que nous partageons un tel moment. Un être humain est enfin libéré de sa souffrance. Quel bonheur !

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

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Réentendre les mêmes choses ! (partie 2/3)

Mardi dernier, nous avons vu la première partie de cet article (vous pouvez la re-lire en cliquant sur ce lien). Voici aujourd’hui la suite.

J’ai compris avec les années et l’expérience que l’être humain peut entendre et lire la même chose pendant des années sans que rien ne vibre en lui. Il entend, mais ne comprend pas. Et puis, un jour, sa compréhension intellectuelle des mots d’un même discours, d’une même conférence, d’une même lecture, prend un tout autre sens et se dirige de l’intellect aux profondeurs de son cœur, dans son jardin secret.

C’est dans cet espace que les gens déracinent la souffrance vécue et arrivent à s’en libérer. Cette libération doit passer par la compréhension du cœur, l’acceptation, pour faire la paix avec ses souffrances. Il arrive qu’un thérapeute ou un animateur passe pour un Héros. La reconnaissance est toujours appréciée et accueillie avec humilité. Mais le plus gratifiant et ce qui donne un sens à notre mission, notre travail, c’est lorsque les gens témoignent de leur libération, de leur bien-être intérieur. Alors, ce sont eux les vrais héros!

Certains participants a mes retraites partagent leur vécu et réussissent à se pardonner et à pardonner aux personnes qui les ont blessés, et cela, après plusieurs thérapies et sessions diverses. Ils se sentent légers, ils s’acceptent enfin tels qu’ils sont. En ce qui me concerne, c’est ma récompense.

Souvent, des gens arrivent au Centre après avoir déjà fait plusieurs démarches lesquelles, selon eux, ne semblent pas avoir fonctionné. Quelle n’est pas leur surprise ! La libération est à la porte de leur cœur, tout le travail amorce les a préparés de façon inconsciente et là, consciemment, le processus s’enclenche, le fruit étant mur! Les blessures deviennent plus conscientes, les libérations se préparent, les portes closes s’entrouvrent enfin pour laisser sortir Toute cette souffrance emprisonnée dans leur jardin secret.

Grace à l’apaisement de leurs douleurs, ces personnes sont animées d’une sérénité enveloppante et d’une lumière brillante au fond de leurs yeux. Elles éprouvent un grand sentiment de paix et de liberté. Leur gratitude est tellement grande qu’elles nous attribuent tout le mérite de leur libération et elles croient sincèrement que nous possédons un pouvoir de guérison. Ce sont elles qui ont ce pouvoir en s’investissant entièrement dans leur relation à soi et en se donnant accès a tout ce dont elles sont conscientes d’être au moment présent dans leur propre vie.

Arrêtons là pour aujourd’hui. Je vous donne rendez-vous mardi prochain pour la dernière partie de cet article.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

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Réentendre les mêmes choses ! (partie 1/3)

Durant mes retraites/ateliers PHÉNIX et lorsque je donne des conférences, je répète souvent que l’acceptation de soi, de son corps, de son passé est le chemin que l’on doit emprunter pour cheminer vers l’amour de soi. Ce n’est pas une route facile à suivre. Il y a des embuches, des cailloux, des débris qu’il faut enlever, c’est parfois très périlleux et, à certains endroits, le sentier est escarpe. Vraiment, ce n’est pas toujours évident.

Régulièrement, les gens viennent me rencontrer et me mentionnent qu’ils ont fait des thérapies une bonne partie de leur vie, ont participé à différents ateliers de cheminement, on essaye du plus profond de leur âme de s’accepter tels qu’ils sont et qu’ils n’y sont pas encore arrivés. Je me permets ici de le répéter encore avec tout mon amour : l’acceptation signifie de se donner le droit de vivre la peine, la colère, le dégout de soi, la tristesse, le mal de vivre, la souffrance, la joie, le bonheur, etc.

Il est souhaitable, mais pourtant rare, que les gens se permettent de rester dans ce qu’ils vivent au moment présent pour accueillir la peur, la souffrance et commencer alors le processus de libération et d’acceptation. J’en parle beaucoup dans mes retraites et je le répète encore ici. Pourquoi ?

Nous en parlons mardi prochain, dans la seconde partie de cet article !

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

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Être plus confiant

Holà ma belle gang !

Voici comment définir votre « POURQUOI », la raison pour laquelle vous voulez être plus confiant :

1. Commencez avec la question : En quoi est-ce si important… pour moi… d’être plus confiant ?

2. Et ensuite, peu importe la réponse… demandez-vous : Il y a plus que cela, n’est-ce pas ? Il y a plus que simplement (la réponse d’en quoi c’est si important d’être plus confiant)… Et c’est quoi, ce plus…   qui est si important… pour moi ? Qui fait que je veux être plus confiant…

 3. Alors, pendant que vous continuez de le ressentir vous envoyez le message à votre subconscient : C’est pour (la réponse de 2) que je veux être plus confiant !!!

 4. À chaque jour, prenez le temps de quelques secondes pour ressentir la raison pour laquelle vous voulez être plus confiant, et à nouveau envoyer le message à votre subconscient.
Faites-le souvent… Le cerveau a besoin de beaucoup de répétition ! Aimeriez-vous conditionner votre subconscient à accélérer le processus d’être plus confiant ? Alors faite l’étape 5 !

5. À chaque fois que vous ressentez de la confiance, prenez le temps de la « célébrer » en ressentant la raison pour laquelle vous voulez être plus confiant.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

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La relation à soi, d’abord (partie 3/3)

Nous sommes des êtres de relation, c’est clair. Nous avons besoin d’être en relation pour notre santé et notre équilibre affectives. Nous naissons en relation, nous nous développons par la relation, nous apprenons en relation, nous nous construisons et nous nous détruisons à travers les relations. La relation est le lieu de nos plus grands plaisirs et de nos plus grandes souffrances.

Nous avons vu mardi dernier, l’importance de s’occuper de ses propres blessures. Voici aujourd’hui la dernière partie de cet article.

Comment me réconcilier avec la partie souffrante en moi ?

Comment faire alors pour me réconcilier avec la partie souffrante en moi puisque j’ai justement tout mis en place pour la fuir et ne pas la ressentir? Comment descendre dans ces profondeurs de mon être qui me font si peur? C’est ce chemin-là que je ne connais pas.

J’observe comment, pour plusieurs personnes, le premier pas vers soi est souvent d’oser exprimer ce qu’elles vivent à l’intérieur. Sortir du silence, ouvrir la porte, oser dire, dépasser le jugement et la honte de soi, et surtout être entendu et accueilli, procure un sentiment de libération. La thérapie, ma retraite/atelier PHÉNIX crée un contexte qui favorise cette ouverture de soi.

Mais je sais aussi profondément que ce qui est aidant pour explorer la partie souffrante de soi et récupérer un pouvoir personnel à partir de sa vulnérabilité, c’est de comprendre de manière rationnelle ce que je vis. J’ai besoin de ma force rationnelle dans cette exploration. J’ai besoin de comprendre pour apaiser mon mental. J’ai besoin d’utiliser la porte du rationnel pour me sécuriser et explorer mon monde irrationnel. J’ai besoin de mettre des mots sur ce que je vis pour me l’approprier.

Comprendre, expliquer, apaise, sécurise et ouvre à l’acceptation de soi. La prise de conscience et l’acceptation servent de nacrer pour transformer l’irritant en trésor. Ma vulnérabilité devient ma force. Mettre des mots sur la souffrance humaine, c’est prendre cette vulnérabilité et la regarder sous différents angles. Je nomme, j’identifie, je décortique pour comprendre rationnellement, pour me l’approprier, pour me guérir et pour apprendre à m’aimer.

Chez l’être humain, tout est inter relié, tout se tient, il n’y a pas de séparation, nous sommes un tout composé de différentes facettes. Je décortique et je sépare pour mieux comprendre avec mon rationnel, mais j’apprends à m’accepter comme un tout.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Relisez les 3 articles sur « La relation à soi, d’abord »
Partie 1 – la relation avec les autres est proportionnelle à la relation avec soi
Partie 2 – l’importance de s’occuper de ses propres blessures
– Partie 3 – Comment me réconcilier avec la partie souffrante en moi ? (article de la présente page, ci-dessus)

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La relation à soi, d’abord (partie 2/3)

Nous sommes des êtres de relation, c’est clair. Nous avons besoin d’être en relation pour notre santé et notre équilibre affectives. Nous naissons en relation, nous nous développons par la relation, nous apprenons en relation, nous nous construisons et nous nous détruisons à travers les relations. La relation est le lieu de nos plus grands plaisirs et de nos plus grandes souffrances.

Nous avons vu mardi dernier, pourquoi la relation avec les autres est proportionnelle à la relation avec soi. Voici la suite de l’article.

Quand je ne m’occupe pas de mes blessures, elles s’incrustent et me tuent

Par la relation à soi, je peux transformer cette souffrance en la reconnaissant, en l’exprimant, en l’acceptant et en pardonnant.

Connaissez-vous l’histoire de l’huitre et de la perle ? Elle commence par un minuscule grain de sable qui, par inadvertance, entre au cœur de l’huitre. Pour elle, ce grain de sable est une catastrophe qui la blesse et la fait souffrir au coeur même de son être. Elle se met donc à s’en occuper, doucement, elle le couvre de nacre. Elle a la capacité de faire cela, une fine couche à la fois, tranquillement, elle transforme cet irritant qui la blesse en une magnifique perle. Elle transforme sa souffrance en trésor précieux.

Je peux développer la relation avec moi-même, c’est ma façon de tranquillement nacrer mes blessures et d’en faire un trésor au cœur de ma vulnérabilité. Comme l’huitre ne pourra jamais se débarrasser du grain de sable, je ne pourrai jamais me débarrasser de mes blessures du passé. Mais j’ai le pouvoir maintenant, par ma conscience, mon acceptation et mon pardon, d’en faire une richesse intérieure.

La souffrance fait partie de la vie. C’est une réalité que je me dois d’apprivoiser et d’accepter profondément. Il est illusoire de croire que je peux ne plus souffrir. Comme parent, j’ai beaucoup plus intérêt à enseigner à mes enfants de quelle façon composer avec la souffrance que de vouloir leur éviter de souffrir. Et pour faire cela, j’ai moi-même besoin de me réconcilier avec la partie souffrante en moi.

Mardi prochain, nous verrons la dernière partie de cet article : Comment me réconcilier avec la partie souffrante en moi ?

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