Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 1/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Développement

Mon père ne travaillait pas le dimanche. Il passait la nuit précédente à préparer le souper de famille du dimanche. Je me rappelle aussi les bons déjeuners que mes parents préparaient ensemble, les bons œufs cuits dans la graisse de bacon. L’odeur du pain grillé! C’est si réconfortant. Chaque fois que je sens cette odeur, elle me sécurise et me rappelle le bon temps passé en famille. Aujourd’hui, je répète ces mêmes points de repère. Par contre, j’achète le bacon précuit !

Les temps changent, mais les points de repère restent ancrés en nous lorsque nous cherchons le bon et le positif en chacun d’eux. Le plus drôle, c’est qu’après que tous mes frères étaient arrivés à la maison familiale, mon père allait se coucher ! Pour lui, il avait joué son rôle de père, c’est-à-dire de nous avoir tous réunis. C’était le mieux qu’il pouvait faire.

J’en comprends la raison aujourd’hui. Il ne pouvait pas donner quelque chose qu’il n’avait pas reçu. En effet, il allait se coucher après que nous étions tous arrivés à la maison, c’était le mieux qu’il pouvait nous offrir, faute d’avoir lui-même reçu de l’affection parentale. Sa mère est morte en lui donnant naissance, il pesait six kilos, elle n’a pas survécu à l’accouchement.

Le père de mon père a renié son fils à la suite de la mort de sa femme. Mon père a été placé dans des familles d’accueil. Il n’a pas connu l’amour d’une mère ni celui d’un père. Ses besoins affectifs n’ont pas été comblés. Mon père a vite cru que c’était sa faute si sa mère était morte. Il a été profondément blessé d’avoir été rejeté. Il est devenu très dominateur et destructeur envers lui-même. Il s’est créé des personnages puissants pour ne pas ressentir le rejet et l’abandon dont il a été victime dès sa naissance.

La peur d’être rejeté était tellement présente en lui, qu’il nous aimait sans le dire, sans nous le faire sentir parce que sa souffrance d’avoir manqué d’affection dès sa naissance était trop grande. Malgré ses personnages, il avait une sensibilité très présente et c’est ce point de repère qui m’a montré l’homme bon qu’il était.

Lorsque nous étions tous réunis en famille et que nous parlions de nos réussites sportives ou celles de notre travail, il avait les yeux pleins d’eau. Sa sensibilité était plus puissante que ses personnages. J’ai hérité de cette sensibilité et j’en suis très fier aujourd’hui, car c’est une de mes plus grandes forces. Je me laisse plonger dans ma puissance divine quand je touche à ma sensibilité.

J’ai été gâté pourri par ma mère. J’avais juste à prendre ma douche, à me brosser les dents, et ma mère ramassait tout derrière moi : mes vêtements au bout du lit, ma serviette que je laissais par terre dans la salle de bain. J’ai essayé d’agir ainsi avec ma conjointe et je dois vous avouer que ce point de repère a vite été mis de côté !!!

À mardi prochain pour la suite de cet article.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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RÈGLE D’OR #2 pour un article inspirant – Définir une problématique et dégager un plan

Bonjour, je m’appelle Sana, je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Je vous propose 7 règles d’or pour écrire un article inspirant et percutant. Nous avons vu mercredi dernier,  la Règle d’or n°1 : Phosphorer autour du sujet. Voici aujourd’hui la règle d’or n° 2.

Définir une problématique et dégager un plan

Une fois que vous avez répondu à ces premières questions (voir règle #1) autour de la méditation, une problématique va se dessiner : la problématique est la phrase (ou la question) qui va résumer l’ensemble de votre travail de réflexion du point 1.

Ainsi, vous allez pouvoir rédiger une phrase telle que celle-ci :

Comment, dans notre société au rythme effréné, la méditation, est-elle devenue une discipline incontournable qui suscite l’engouement de millions de personnes ?

Ou :

Pourquoi chaque année des millions de personnes, en proie aux multiples effets pervers du stress, pratiquent la méditation ?

Cette problématique va vous aider à dresser un plan pour répondre de façon exhaustive à la question.

Ici, je ne peux que vous conseiller d’adopter un plan pratique. Car la plupart des personnes sont à la recherche de conseils pratiques.

Si vous dissertez sur les pouvoirs de la méditation en dressant exclusivement le portrait des grands maitres buddha, vous allez certes éclairer le lecteur sur ces personnes, mais vous n’atteindrez pas le but recherché.

Le but est de permettre au lecteur de s’identifier, de tirer des enseignements, des conseils pratiques à mettre en œuvre dans leur quotidien.

Aussi, si nous reprenons la problématique :
« Pourquoi chaque année des millions de personnes, en proie aux multiples effets pervers du stress, pratiquent la méditation ? », le plan dégagé (pour y répondre) pourrait être le suivant :

I. Une société contemporaine en proie aux méfaits du stress :
A. Une société basée sur le culte de la performance (et les méfaits du stress)
B. La méditation : une veille discipline qui revêt des caractères différents (la méditation tibétaine, la méditation zen, la méditation vipassana, la méditation taoïste, la méditation yogique).

II. La méditation : une pratique qui offre de nombreux bienfaits
A. Les nombreux bienfaits de cette pratique ancestrale
B. Comment méditer au quotidien ?

Ainsi, vous aurez une trame pour rédiger votre article. Néanmoins, je vous conseille aussi de laisser votre plume s’exprimer, sans forcément l’enfermer dans un cadre formel.

Si vous avez envie d’évoquer le fait que votre grand-mère méditait sous un arbre et que vous aviez pour habitude de l’observer lorsque vous étiez petit, sentez-vous libre et mentionnez-le : cela ajoutera plus de vie à votre récit.

À suivre mercredi prochain :  Règle d’or n° 3 – Sonder au plus profond de soi pour illustrer son propos

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SE FIXER DES OBJECTIFS

Avec les nombreuses sollicitations qui viennent vers nous quotidiennement, il arrive que nous nous contentions de gérer les informations qui viennent à nous ou que nous nous sentions tellement débordés par les urgences à gérer que nous ayons le plus grand mal à prendre de la hauteur et à avancer sur notre projet de vie.

Pour nous motiver, nous pouvons nous fixer des objectifs. Toutefois, ces objectifs doivent être mesurables et suffisamment précis ; par exemple concernant les voyages, quelle destination et quelle durée ? Et bien évidemment, les objectifs doivent nous amener de la joie de vivre et ne pas être du domaine du « il faut, je dois »…

Nous pouvons par exemple nous visualiser à un an, à cinq ans. J’ai fait cet exercice il y a un peu plus d’un an. J’ai imaginé sept étapes à réaliser :

  • Terminer positivement mes procédures collectives.
  • Solder tous les prêts de notre foncière (15 millions d’euros de renégociation bancaire ; la vente de biens immobiliers était pour cela nécessaire).
  • Conceptualiser un projet qui participerait à la création d’un monde meilleur.
  • Démarrer un nouveau projet ambitieux qui aiderait les autres.
  • Faire deux voyages à l’étranger en famille.
  • Écrire un livre qui pourrait aider d’autres personnes (cet objectif était mon plus grand challenge, très éloigné de ma zone de confort).
  • Continuer mon travail sur moi et devenir plus zen.

Après avoir établi ma liste d’objectifs, j’ai mis un ordre de priorité et une date de réalisation en face de chacun d’eux. Ensuite, je me suis régulièrement projeté dans cette liste d’objectifs. En effet, en nous projetant dans l’avenir et en imaginant que nous avons réalisé toutes nos ambitions, nous nous sentons pleinement accomplis. À part quelques décalages dans le temps, mes sept étapes ont été réalisées.

Pour avancer vers notre projet de vie, fixons-nous des objectifs ambitieux, qui nous font vibrer, qui mobilisent totalement notre potentiel et qui nous poussent à l’action. Et surtout, ne nous limitons pas, osons voir grand ! Dépassons le réaliste et le raisonnable !

Et vous, avez-vous fixé vos objectifs ?

Bonne journée,
Ludovic

Changer ses DÉPENDANCES en PRÉFÉRENCES

En refusant d’accepter la vie telle qu’elle se présente, je me rendais malheureux : rien n’était jamais assez bien, assez rapide, assez grand pour moi. Dans ma quête du toujours plus, j’étais incapable de célébrer ce qui était.

En lisant L’abondance véritable ? de Neale Donald Walsch, un déclic s’est produit en moi. L’auteur y explique que nous devons passer de la dépendance à la préférence dans notre manière de vivre.

Il y a certains éléments dont nous croyons avoir besoin. Neale Donald Walsch nous invite à examiner à quel point ils nous manqueraient si nous ne les obtenions pas sur le champ. Souvent, on s’aperçoit finalement que l’on s’en passe assez facilement : les dépendances deviennent des préférences.

Par exemple : lorsque je dirigeais mon groupe, j’avais un train de vie important. Une employée de maison s’occupait à plein temps de l’intendance et j’étais loin des préoccupations de la vie quotidienne : en dix ans, je n’ai pas dû aller faire les courses au supermarché plus d’une fois ou deux. Je ne m’imaginais pas pouvoir changer de style de vie sans éprouver un réel manque. Mais j’ai accepté ma nouvelle condition, en me passant notamment d’une employée de maison. Tout compte fait, j’ai fini par réellement apprécier la simplicité de cette vie nouvelle. J’ai pris conscience que je me passais très bien de ce qui me semblait pourtant indispensable.

Et vous, avez-vous des dépendances et êtes-vous prêts à vous en passer ?

Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic

Apprenez à suivre votre INTUITION

L’intuition peut être un guide de tous les instants. En nous plaçant dans le flot de la vie, elle nous amène à suivre son mouvement naturel : sans forcer les choses, nous nous trouvons au bon endroit au bon moment ; nous sentons les événements avant qu’ils ne se produisent. Car l’intuition se manifeste généralement de manière verbale : des messages nous dictent de faire ceci, de nous rendre à tel endroit, d’appeler telle personne… J’ai remarqué que l’intuition facilite toujours ce que nous entreprenons et nous guide vers le meilleur pour notre vie.

Après avoir introduit ma première société en bourse, j’ai décidé de la céder mais les acquéreurs potentiels pour ce type d’entreprise sont rares. Je ne trouve pas d’issue ! Pourtant, un dimanche matin, en me levant, je suis guidé vers un annuaire bancaire que je me rappelai avoir rangé dans une armoire quelques mois auparavant. Je le retrouve, et j’y découvre une liste de banques que je n’avais pas répertoriées avant… Je leur envoie un courrier et la vente se réalise avec l’un des contacts de l’annuaire un an plus tard pour douze millions d’euros !

Prenez donc un moment pour observer ce qui, dans votre quotidien, vous pousse à agir : est-ce la raison ? L’obligation ? Ou bien l’intuition qui arrive sans qu’on ait pu la prévoir ?

Et vous, vous laissez-vous guider par votre intuition ?

Je vous souhaite une excellente journée,
Ludovic

L’eau selon la naturopathie (partie 1)

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

De façon étonnante, l’être humain, à l’instar de sa planète nourricière, la Terre, est constitué d’environ trois quarts d’eau. Et sa proportion atteint même 85 % dans les tissus cérébraux ! C’est dire si ce précieux liquide est indispensable à toute forme de vie : sans eau, point de vie.

L’importance quantitative de l’eau dans notre corps est proportionnelle aux nombreuses fonctions qu’elle remplit afin que notre biologie fonctionne parfaitement bien. Les bons apports hydriques ainsi que les fonctions de l’eau sont probablement sous-estimés par la médecine conventionnelle.

Les apports hydriques

Pour le naturopathe, il est très important de maintenir au mieux l’intégrité des liquides biologiques nourriciers tels que le sang et la lymphe mais aussi des liquides à l’intérieur et à l’extérieur des cellules.

L’eau ingérée sert à la fois à approvisionner la fonction cellulaire comme à en éliminer ses déchets. Aussi, une diminution de l’apport quotidien en eau affecte l’efficacité du travail des cellules, lieu où se tient notre santé.

D’autre part, il est inutile de vouloir nettoyer ou drainer un organisme si les bons apports hydriques, qui serviront à éliminer les déchets vers l’extérieur, ne sont pas assurés.

L’eau et ses rôles divers

Au niveau des membranes cellulaires, l’eau agit comme une mini-centrale hydroélectrique. La différence de pression entre le milieu extérieur et le milieu intérieur de la cellule génère un mouvement de l’eau (phénomène de l’osmose). Tout mouvement crée de l’énergie. Celle-ci sera utile pour les cellules elles- mêmes.

L’eau peut être utilisée comme adhésif pour l’architecture de la cellule. Elle est également impliquée dans le transport des éléments qui circulent dans le sang (globules, éléments dissous : sodium, calcium, oxygène…) mais aussi des substances fabriquées par les cellules cérébrales et voyageant le long des nerfs.

L’eau intervient aussi dans la régulation de la température du corps par l’intermédiaire de la transpiration.

Enfin, l’activité des protéines et des enzymes est optimale si les besoins en apports hydriques sont respectés. Les dernières découvertes scientifiques dévoilent qu’il existe, au-delà des systèmes de communication que sont les systèmes nerveux, hormonal et endocrinien, un réseau hydrique. En fait, grâce à ses caractéristiques, l’eau permettrait à toutes les cellules de communiquer instantanément entre elles. L’eau serait la « toile » de notre biologie.

L’eau est ainsi impliquée dans un grand nombre de phénomènes de régulation et de communication à l’intérieur de notre corps.

L’eau insalubre tue

Un grand nombre de pays qui ne connaissent pas les moyens technologiques dont dispose l’Occident, comme l’assainissement, sont confrontés au grave problème des eaux insalubres. En effet, l’eau non potable est la première cause de mortalité dans le monde.

A l’occasion de la journée mondiale de l’eau, l’association Solidarités, ONG basée à Clichy, près de Paris, a rendu public un rapport qui montre que les maladies liées à l’eau insalubre et au manque d’hygiène provoquent chaque année la mort de 8 millions de personnes. Elle souligne que « 1,2 milliard d’êtres humains n’ont pas accès à l’eau potable et 2,6 milliards n’ont pas accès aux conditions élémentaires d’hygiène. »

L’eau insalubre véhicule de nombreuses épidémies comme le choléra, la typhoïde, l’hépatite. D’autres personnes meurent de la diarrhée, pourtant facilement traitée chez nous, qui tue à elle seule 1,8 million d’enfants par an, soit 5 000 chaque jour !

Samedi prochain, nous verrons la suite de cet article consacré à l’eau et la santé. Nous parlerons de la déshydratation et ses conséquences.

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