Exercice à réaliser en CAS DE DÉPRIME

Si nous nous sentons déprimés, en restant coincés dans notre attitude négative, faisons quelque chose qui nous procure un réel bien-être et nous remonte le moral.

Par exemple : au début des difficultés de trésorerie de mes entreprises, nous recevons une assignation en redressement judiciaire d’un fournisseur qui n’a pas pu être payé de sa créance en totalité. Dans l’immédiat, je n’entrevois aucune solution pour le régler avant le passage au tribunal. Ma tension est à son comble toute la journée. Le soir, je vais courir au bord de la mer. Mon esprit se calme progressivement et des solutions commencent à émerger : je retrouve mon état d’esprit positif et, finalement, une idée de génie jaillit du néant ! En faisant des arbitrages entre certains créanciers, nous avons réussi à payer la facture.

Pour certaines personnes, le « truc » sera de prendre un bon bain, pour d’autres, de regarder un film drôle. Pour ma part, pour inverser un mal-être et me sentir positif et heureux, j’ai besoin de me rapprocher de la nature.

Et vous, avez-vous un rituel pour inverser un mal-être ?

Bonne journée,
Ludovic

J’ai décidé DE ME CONSACRER à des PROJETS DE SENS

S’engager pour ses valeurs et s’épanouir pleinement

Véronica Agurto Meijia travaillait pour une multinationale dans le pétrole et ne se sentait pas en accord avec ses principes : « Depuis le début de ma carrière d’informaticienne, je trouvais que je n’étais pas à ma place. »

Pour remédier à ça, elle a quitté son CDI et s’est lancée en tant qu’indépendante pour travailler sur des projets ayant du sens pour elle.


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Ce changement de cap lui a permis :

  • De monter un réseau d’associations militant pour le droit des femmes
  • De co-créer un réseau pour celles et ceux qui travaillent autour de la santé des femmes afin de leur donner plus de visibilité

Aujourd’hui Véronica a réussi à donner plus de sens à sa vie : « pour la première fois de ma vie je sens que je suis en accord avec moi-même. »

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Quand accorder sa CONFIANCE librement ?

Dans ma vie professionnelle, j’ai d’abord fait rapidement confiance aux autres et j’ai souvent été trahi.

Par exemple, il m’est arrivé de baser mes prévisions budgétaires sur l’objectif de vente fixé par un responsable commercial. Au moment du bilan, non seulement l’objectif était loin d’être atteint, mais en plus le responsable m’a annoncé son départ parce qu’il avait « trouvé mieux ailleurs »…

J’ai compris que la confiance en l’autre se mérite. Maintenant, j’attends des preuves concrètes avant de l’accorder ! On peut appeler cela de la confiance réfléchie.

J’ai également appris à ne pas faire confiance à ce que je vois ou à ce qu’on me promet, mais à aller chercher la vérité à l’intérieur de moi.

Plutôt que de faire confiance à l’autre aveuglément, je fais confiance à mon ressenti.

Maintenant, quand un responsable commercial ou un porteur de projet me présente son objectif de vente, je prends un temps de recul pour me centrer sur mon ressenti, je suis attentif aux signes que m’envoie mon corps. Par exemple, si je ressens des tensions dans le ventre, je comprends que l’objectif annoncé n’est pas juste !

Et vous, faites-vous d’avantage confiance à votre ressenti plutôt qu’aux promesses des autres ?

Je vous souhaite une bonne journée,
Ludovic

INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Respirer & accueillir les émotions

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Respirer & accueillir les émotions

Les émotions, qu’elles nous soient propres ou celles de notre entourage, sont ressenties au niveau des récepteurs neuronaux de notre ventre: le système nerveux entérique appelé aussi deuxième cerveau.

Elles impactent de manière très forte notre système digestif. Une peur intense peut, dans des cas extrêmes, aboutir à la vidange de tout notre système gastrique et intestinal (nausée ou diarrhée). Des situations de stress peuvent couper l’appétit ou au contraire induire une alimentation compulsive.

Ce sont des réflexes ancestraux , qui permettaient de faire face à un danger vital ou s’adapter à des situations exceptionnelles. Ces scénarios d’un autre temps sont ancrés profondément dans notre inconscient.

Nous continuons, tout au long de notre vie, mais surtout durant notre enfance, à inscrire de nouvelles boucles de régulations émotionnelles impliquant l’axe de communication cerveau – intestin – microbiote.

Ainsi la colère, l’anxiété ou la joie vont moduler les conditions de vie du microbiote au sein de notre système digestif (durée et intensité des contractions intestinales, acidité, abondance des sécrétions gastriques, niveau d’oxygénation, etc.). Certaines familles de notre flore vont être favorisées par ces nouvelles conditions et d’autres vont au contraire diminuer voire disparaitre. Ces modifications vont à la fois déséquilibrer notre microbiote et souvent diminuer notre énergie.

Toutes le techniques de gestion consciente des émotions visant à diminuer le stress vont dans le sens d’une flore intestinale en bonne santé et donc d’un équilibre énergétique préservé.

Mon astuce : en cas de ressenti émotionnel fort au moment du repas (peur, colère ou anxiété), je n’ajoute pas de nourriture au magma émotionnel qui s’agite dans mon intestin. Je porte mon attention sur l’accueil de mes émotions puis l’abaissement de mon niveau de stress par la respiration. Ces quelques minutes de retard à table s’avèrent précieuses pour la suite de la journée.

Pierre Lapoujade

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TRANSFORMONS ENSEMBLE le MONDE pour le rendre PLUS JUSTE

Après avoir intégré les mots de Gandhi : « Nous pouvons chacun incarner le changement que nous souhaitons voir apparaître », nous pouvons nous demander pourquoi le monde est dans un tel état :

– Est-ce parce que nous le voulons nous-mêmes ?
– Ne serions-nous pas capables de changer le monde du jour au lendemain ?
– Ne serions-nous pas capables d’éliminer la douleur, la souffrance ?
– Ne serions-nous pas capables de mettre fin à l’oppression ?
– Ne serions-nous pas capables d’éliminer d’un seul coup la faim dans le monde, la pauvreté ?
– Les humains ne peuvent-ils pas envisager une nouvelle conception de la vie sur la planète ?

En voulant pour l’ensemble de l’humanité ce que nous souhaitons pour nous-mêmes (la paix, la joie, le bonheur, l’amour), nous amplifions l’énergie de l’attraction.

Nous avons tendance à combattre tout ce que nous ne voulons pas pour le monde. Mais lorsque nous sommes en colère contre le terrorisme ou contre la souffrance dans le monde, nous y ajoutons notre énergie. En créant de la résistance, nous amplifions donc tout ce que nous souhaitons éradiquer…

Mère Teresa avait bien compris la loi de l’attraction : « Je ne participerai jamais à un ralliement contre la guerre. Si vous voulez organiser un ralliement pour la paix, invitez-moi. »

En suivant cette voie, concentrons-nous sur le bonheur à l’échelle planétaire, sur l’abondance de nourriture.

Et vous, êtes-vous prêt à vous transformer pour changer le monde ?

Belle journée,
Ludovic

J’ai décidé D’ŒUVRER POUR LA TRANSPARENCE

Bénévole à temps plein auprès d’associations citoyennes

Après 10 ans de carrière d’informaticien dans la haute finance, Laurent a estimé qu’il avait gagné suffisamment d’argent pour arrêter de travailler. Depuis, il consacre tout son temps à l’amélioration de notre société. Un passeur à l’acte « multi-fonction » : administrateur du collectif Regards Citoyens qui favorise la transparence des dépenses publiques, actif défenseur du logiciel libre, créateur d’un fournisseur d’accès Internet citoyen, il est aussi investi dans Enercoop (électricité verte) et la finance éthique via la NEF. Et tout ça sans aucune contrepartie financière…


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L’ESPRIT DE COMPÉTITION

La compétition sportive a été l’occasion de prouver que j’étais capable de réussir et, par la même occasion, de me faire aimer. Je me suis entraîné de manière acharnée au tennis : entre dix et quatorze ans, il m’arrivait de jouer plusieurs heures par jour, de temps en temps seul face à un mur. Quand je perdais un match, j’en étais malade pendant plusieurs jours : la défaite touchait mon estime de moi… J’étais tellement dans la force que j’en arrivais à jouer par obligation, sans plaisir, ce qui fait que, malgré mon bon niveau, je ne joue pas plus d’une ou deux fois par an depuis mes vingt-cinq ans. J’ai été dégoûté !

Le point positif aura été de me permettre, de l’âge de seize ans à celui de vingt-deux ans, d’enseigner le tennis pendant mes études. Cela m’a permis, entre autres, de passer d’excellentes vacances… et de financer mes dépenses de l’année.

La compétition fonctionne par le « ou » : c’est l’un ou l’autre qui gagne, un pays ou l’autre, une personne ou l’autre. On parle de « bataille », de « gagnant » ou de « perdant » et non de partage ou d’équilibre. On parle de division et non d’union. Les compétiteurs se mettent totalement sous stress pour tenter de dépasser les autres.

Comme le rappelle Edel Gött, « le guépard et l’antilope courent à 100 km/h. L’oie à tête barrée survole l’Everest… Chaque espèce a sa grâce naturelle et peut fournir une performance sans effort, tout simplement parce que cela lui est donné. Seul l’Homme court comme un fou en ayant 99 chances sur 100 de perdre, puisqu’il n’y en aura qu’un qui sera le premier… Le monde est rempli de seconds et d’une foule de perdants. »

Lorsque nous avons été conditionnés par et pour la compétition, nous avons ensuite des difficultés à nous ouvrir à notre potentiel de création infini, à nos qualités propres (capacité de création, d’innovation…). L’idée même de fonctionner par complémentarité et entraide est totalement à l’opposé de l’éducation donnée aux compétiteurs.

Et vous, fonctionnez-vous en vous comparant aux autres, en entrant en compétition avec les autres ? Ou au contraire, en étant totalement vous-même et en cherchant à évoluer en complémentarité et en entraide ?

Bonne journée,
Ludovic