Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 2/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Nous avons vu mardi dernier,  les points de repères de mon enfance. Abordons maintenant cela sur le plan de la spiritualité (sans parler de religion).

Spiritualité : MES POINTS DE REPÈRE

Je crois en une Force suprême : un Dieu, ma Source, mon Énergie divine. Appelez-la comme bon vous semble. J’aimerais vous parler de mon oncle Fred. Il m’a montré la voie, sa voie… À l’âge de sept ans, il m’a donné une petite bible rouge. Un cadeau précieux pour moi. À l’âge de seize ans, alors que j’étais ivre, en rêvant que j’étais à la salle de bain, j’ai ouvert le tiroir de mon bureau et uriné sur la bible, sans faire exprès, j’étais inconscient de ce que je faisais… J’ai dû la jeter… j’ai beaucoup regretté mon geste. Ce point repère que mon oncle m’a transmis quand j’avais sept ans me suit encore aujourd’hui.

Comment ai-je pu vivre en endurant toutes ces souffrances?

J’ai construit des personnages pour ne pas me regarder dans le miroir et être ainsi forcé de me responsabiliser. J’ai vécu des abus et de la violence. J’ai consommé des substances. J’ai enduré la maladie et fait quatre tentatives de suicide parce que j’avais trop mal à l’intérieur, Le mal de vivre. Comment pourrait-on m’expliquer que lors de ma quatrième tentative, j’ai pris tellement de coumadin que cette quantité aurait pu tuer un cheval ? Vous allez me dire après cela qu’il n’y a pas quelque chose de plus grand que soi ? La foi, c’est quelque chose de personnel.

ATTENTION : il y a une différence entre la religion et la spiritualité. Aujourd’hui, je vous parle de spiritualité. Nous ne savons plus communiquer et, pourtant, nous sommes à l’ère des communications le monde virtuel, l’électronique, les iPods, les textos, les réseaux sociaux. Tout cela ne nous permet pas d’échanger davantage, de parler pour vrai en nous regardant dans les yeux. Au resto, les familles passent leur temps à faire des texos. Nous ne sommes plus en relation. À l’arrêt d’autobus, on se disait bonjour alors que maintenant, nous ne nous levons même plus la tête pour saluer les gens. Nous accordons plus d’importance aux textos, au virtuel, qu’aux membres de nos familles. Toute une fuite! Pire encore, personne ne veut le voir, c’est devenu la norme.

Les sapins de Noël dans les centres d’achat me rappellent mes points de repère. Regardons-nous dans un miroir : c’est nous qui sommes à blâmer et non ceux qui nous demandent d’enlever tous nos points de repère. Transmettons-nous nos valeurs et nos traditions à nos enfants ? C’est pourtant sécurisant et réconfortant pour eux. Je suis né au Québec, ma langue, c’est le français. J’aime nos traditions, notre culture, elles sont mes points de repère. Si nous n’en avons pas, nous sommes alors assis sur un siège désajusté et nous conduisons mal notre vie.

EN CONCLUSION : encore une fois, nous sommes ce que nous voulons être. Refuser de me regarder dans le miroir, c’est accepter que d’autres établissent mes points de repère et contrôlent ma vie. Cette portion du message que je présente aux gens est puissante. Je vous invite à croire en vous, à faire mourir vos personnages pour créer la vie dont vous rêvez. Je vous invite à retourner à votre source, là où se trouve la plus grande des forces, beaucoup plus grande que soi-même et sur laquelle nous pouvons compter en tout temps et qui peut nous aider à obtenir tout ce que nous désirons.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

>> Relire la première partie de cet article

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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J’ai décidé de CHANGER DE VIE et j’ai trouvé ma voie en travaillant sur le bonheur

Oser tout quitter pour être heureux

Johanna Quelen ne trouvait plus de sens dans sa vie et se sentait malheureuse. Elle décide de quitter son travail et de changer de vie pour trouver le bonheur.


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Résultat : enfin parfaitement sereine, elle met en place de nouveaux projets professionnels, fait des nouvelles rencontres, de nouveaux horizons s’ouvrent… elle ne se sent plus seule mais pleinement reliée avec le monde qui l’entoure.

« J’ai trouvé ma place » dit-elle simplement.

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L’eau selon la naturopathie (partie 4) – Combien et quand boire ?

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

Samedi dernier, nous avons vu en troisième partie de cet article, Les effets secondaires de la déshydratation. Voyons maintenant combien et quand boire.

Seul l’apport d’eau peut remplir la fonction d’hydratation dont notre corps a besoin. Alcool, café, thé et autres boissons contenant de la caféine contribuent au contraire à la déshydratation. Sodas et autres boissons hypersucrées ne sont guère plus intéressants.L’idéal est de consommer une eau peu minéralisée comme l’eau de source ou l’eau traitée par un filtre à osmose inverse. C’est un minimum absolu de six à huit verres d’eau de 25 cl par jour dont notre corps a besoin. Le meilleur moment pour qu’il puisse en bénéficier est lorsque notre estomac est vide. Aussi, je suggère de boire un grand verre d’eau une demi-heure avant chaque repas et trois heures après, et d’intercaler les deux autres dans la journée ou au moment des repas. Evidemment, il est conseillé de boire à tout moment en cas de soif. Si votre consommation est éloignée de ces apports, augmentez-la progressivement, surtout si vous avez tendance à faire de la rétention d’eau.

L’absorption d’eau une demi-heure avant les repas permettra de répondre aux besoins de la digestion. Estomac, intestin, foie et pancréas ont besoin d’eau pour remplir leur mission. Les apports hydriques en cours de repas n’ont d’intérêt que pour humecter le bol alimentaire lorsque celui-ci est composé d’aliments secs ou ayant une faible teneur en eau, comme les céréales. A contrario, une consommation de plusieurs verres d’eau ou de potage trop liquide au cours du repas dilue les sucs digestifs et favorise les ballonnements.

Il faut environ trois heures à l’estomac pour effectuer son travail digestif. C’est pourquoi il est souhaitable d’attendre ce délai pour s’hydrater de nouveau en buvant un grand verre d’eau.

Dans le cas de douleurs digestives, boire un ou deux grands verres d’eau immédiatement peut venir à bout de ces signaux et devrait être un geste de bon sens. Si la douleur persiste malgré un réajustement de l’apport hydrique pendant quelques jours, il sera prudent de consulter un médecin pour évaluer l’état des troubles. En ce qui concerne la constipation, c’est après la rééducation de plusieurs jours, voire semaines, que les résultats pourront poindre.

Pour les douleurs dorsales, en plus de l’augmentation des apports hydriques, quelques mouvements d’étirement spécifiques qui mobilisent l’eau des articulations et réduisent les spasmes des puissants muscles dorsaux seront nécessaires.

L’eau et les reins

Ayant rempli sa mission de transport des nutriments et des déchets, l’eau doit être filtrée. Ce sont les reins qui remplissent cette fonction d’élimination des déchets solubles et récupère ce qui est utile à l’organisme. C’est ainsi qu’ils filtrent chaque jour de 100 à 150 litres de sang et de lymphe pour éliminer environ 1 à 2 litres d’urine chargée de déchets. Le reste de l’eau est réabsorbé avec les sels minéraux, les acides aminés et le glucose, utiles pour le corps.

Ce merveilleux travail de tri est effectué par des centaines de milliers de micro-usines, appelées néphrons. Si la déshydratation est chronique, les reins se surmènent, les urines sont très concentrées avec un risque de calculs rénaux. De plus, les déchets non traités auront tendance à encrasser l’organisme et, dans le meilleur des cas, seront éliminés par des portes de sortie de substitution, appelées, en médecine de terrain, « émonctoires dérivatifs ». Ainsi, certains déchets non éliminés par les reins peuvent l’être par la peau, occasionnant notamment au passage irritations et mauvaises odeurs.

Potentialiser notre santé

Boire de l’eau en quantité suffisante est une nécessité pour le bon fonctionnement de l’organisme, mais c’est aussi un moyen pour prévenir et traiter de nombreux troubles : manque d’énergie, états dépressifs, allergies, rhumatismes, problèmes de tension sanguine, excès de cholestérol, constipation, obésité, etc.

Bien boire redonne son autonomie au processus de guérison naturelle.

Il est vrai qu’apprendre à boire ne fait rien vendre ! Est-ce pour cela que plus personne n’enseigne aux enfants à boire de l’eau ? Maintenant que vous savez, partagez cette information et potentialisez votre santé en buvant généreusement le liquide le plus précieux que Dame Nature ait mis à notre disposition : l’eau.

Samedi prochain, nous étudierons la composition de l’eau que nous consommons et ses effets sur notre organisme.

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INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Limiter les aliments à haut index glycémique

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Limiter les aliments à haut index glycémique !

L’index glycémique (I.G.) est un classement des aliments selon l’augmentation du taux de sucre sanguin (glycémie) qu’ils produisent. Les sucres raffinés présentent un IG élevé (>70 sur une échelle de 0 à 100) . Ils passent très rapidement dans le sang.

Pour contrer cette montée de glycémie notre corps produit de l’’insuline et ne s’arrêtera que lorsque la glycémie sera inférieure à la normale… cela déclenche alors une sensation « d’hypoglycémie » : pâleur, perte d’énergie et faim seulement quelques dizaines de minutes après avoir consommé du sucre ! Ce « Yo-Yo » est contre-contre-productif à court terme et dangereux à long terme.

Consommer des boissons ou barres énergisantes est une erreur fatale pour votre niveau d’énergie !

Nous savons depuis peu que la consommation excessive d’aliments à fort IG, particulièrement l’association gras et sucré, favorise certaines souches de notre microbiote qui, pour continuer en s’en nourrir, envoient à notre cerveau des hormones comme la dopamine ou la sérotonine qui nous donnent une douce sensation de bien-être mais sont impliquées dans les mécanismes de récompense-dépendance, d’addiction ou de dépression (en l’absence de l’aliment).

Notre comportement alimentaire déséquilibre notre microbiote qui à son tour manipule notre comportement alimentaire, accentuant alors ce déséquilibre.

Cependant nous pouvons inscrire une autre histoire dans la communication cerveau-intestin-microbiote avec le secours des fibres !

Les fibres alimentaires que l’on trouve en abondance dans les légumes frais ou secs, les fruits et les céréales, sont le fuel du microbiote. Les études scientifiques ont montré que plus l’apport en fibres est important et plus la diversité et le nombre d’espèces de bactéries sont importants. Le microbiote en est d’autant plus stable et équilibré.

Mon astuce : des sucres oui… mais avec des fibres !

Les fruits frais représentent idéalement ma principale source d’aliments sucrés. Lorsque je les consomme en jus, j’y associe des légumes (carotte, betterave, concombre) pour enrichir en fibres sans amener trop de sucres.

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Écriture (3/5) – RELIRE pour rester motivé !

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Mercredi dernier, nous avons vu le point 2 : SE FIXER UN CALENDRIER pour rester motivé ! Voici aujourd’hui le point 3.

Il arrive parfois que l’inspiration se fasse rare, et que vous ayez du mal à poursuivre votre lancée. Soyez certain qu’il ne s’agit là que des caprices de votre plume. Relisez ce que vous avez déjà écrit : cela vous donnera envie de poursuivre. Pensez à vos personnages. Vous n’allez tout de même les laisser immobiles. Pensez à votre dernière scène. Elle mérite que vous lui donniez suite.

3. Relisez ce que vous avez déjà écrit

Si vous séchez, pourquoi ne pas prendre un temps pour relire ce que vous avez déjà écrit ? Il n’y a rien de mieux pour se motiver que de relire, à voix haute, votre contenu. Pour peu que vous y mettiez l’intonation, vous aurez, à l’issue de votre lecture, immédiatement envie de poursuivre votre écrit. C’est comme si vous aviez mis pause en regardant un bon film. N’avez-vous pas envie de connaître la suite ?

« La perfection dans l’écriture est d’observer toujours les divers caractères, de varier son style suivant les sujets, de s’élever ou de s’abaisser à propos, et de donner, par ce contraste, des caractères plus marqués et plus agréables. Il faut savoir sonner de la trompette, toucher la lyre, et jouer même de la flûte champêtre ». (Citation de Fénelon ; Achille et Homère, 1712)

Mercredi prochain, nous aborderons le point 4 : RÉFLÉCHIR À LA FORME pour rester motivé !

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AUTORISONS-NOUS à rêver car l’audace a du génie

« Il n’y a point de génie sans un grain de folie », c’est ce que disait Aristote, sous-entendant qu’être intelligent ne pouvait l’être que s’il pouvait faire preuve d’un peu de folie et de légèreté.

Aujourd’hui, on vous rassure : rêver c’est autorisé !

Qu’on soit porteur de projet, jeune ou encore PDG, n’oubliez pas de vous laisser rêver.

L’Homme a besoin d’espoirs et d’avenir pour avancer, ne l’oubliez pas.

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Immobilier (11/21) – Surveillez la trésorerie

Immobilier Ludovic Bréant

Dans le conseil N°10 nous avons vu qu’il fallait privilégier la rentabilité plutôt que la recherche de plus-value.​​​​​​​

Il est préférable d’acheter un bien qui va générer des revenus locatifs (même si ce bien n’est pas très beau) plutôt qu’un actif qui ne va pas générer de cash-flow positif (comme par exemple un bel immeuble en pierres d’un centre ville).

Pour le conseil d’aujourd’hui, je mets l’accent sur la trésorerie : quand on se lance, il est bien d’avoir un matelas de trésorerie pour faire face avec sérénité au moindre décalage.

Le plus important est la situation de trésorerie de la société et plus encore le cash-flow net de chaque bien immobilier.

La stratégie pour obtenir de la trésorerie repose sur deux leviers :

  • céder régulièrement des actifs ayant une plus-value potentielle,
  • et/ou générer des revenus locatifs supérieurs aux charges.

Privilégiez l’épargne aux dépenses de consommation superflues.

Bien que le milieu de l’immobilier soit connu pour ses Ferrari, Aston Martin, Bentley, Maserati, Porsche et autres bolides, il est dommage de s’endetter pour acquérir de telles voitures.

Je vous invite à faire preuve de discernement et à donner la priorité à l’épargne et au remboursement des crédits immobiliers.

D’autant qu’un simple effort de 10% d’épargne, maintenu sur la durée, peut vous nous offrir un avancement serein sur le chemin de la liberté financière.

Conseil#11 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

>>> Voir le conseil N°10 « Privilégiez la rentabilité à la plus-value »

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr

Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 1/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Développement

Mon père ne travaillait pas le dimanche. Il passait la nuit précédente à préparer le souper de famille du dimanche. Je me rappelle aussi les bons déjeuners que mes parents préparaient ensemble, les bons œufs cuits dans la graisse de bacon. L’odeur du pain grillé! C’est si réconfortant. Chaque fois que je sens cette odeur, elle me sécurise et me rappelle le bon temps passé en famille. Aujourd’hui, je répète ces mêmes points de repère. Par contre, j’achète le bacon précuit !

Les temps changent, mais les points de repère restent ancrés en nous lorsque nous cherchons le bon et le positif en chacun d’eux. Le plus drôle, c’est qu’après que tous mes frères étaient arrivés à la maison familiale, mon père allait se coucher ! Pour lui, il avait joué son rôle de père, c’est-à-dire de nous avoir tous réunis. C’était le mieux qu’il pouvait faire.

J’en comprends la raison aujourd’hui. Il ne pouvait pas donner quelque chose qu’il n’avait pas reçu. En effet, il allait se coucher après que nous étions tous arrivés à la maison, c’était le mieux qu’il pouvait nous offrir, faute d’avoir lui-même reçu de l’affection parentale. Sa mère est morte en lui donnant naissance, il pesait six kilos, elle n’a pas survécu à l’accouchement.

Le père de mon père a renié son fils à la suite de la mort de sa femme. Mon père a été placé dans des familles d’accueil. Il n’a pas connu l’amour d’une mère ni celui d’un père. Ses besoins affectifs n’ont pas été comblés. Mon père a vite cru que c’était sa faute si sa mère était morte. Il a été profondément blessé d’avoir été rejeté. Il est devenu très dominateur et destructeur envers lui-même. Il s’est créé des personnages puissants pour ne pas ressentir le rejet et l’abandon dont il a été victime dès sa naissance.

La peur d’être rejeté était tellement présente en lui, qu’il nous aimait sans le dire, sans nous le faire sentir parce que sa souffrance d’avoir manqué d’affection dès sa naissance était trop grande. Malgré ses personnages, il avait une sensibilité très présente et c’est ce point de repère qui m’a montré l’homme bon qu’il était.

Lorsque nous étions tous réunis en famille et que nous parlions de nos réussites sportives ou celles de notre travail, il avait les yeux pleins d’eau. Sa sensibilité était plus puissante que ses personnages. J’ai hérité de cette sensibilité et j’en suis très fier aujourd’hui, car c’est une de mes plus grandes forces. Je me laisse plonger dans ma puissance divine quand je touche à ma sensibilité.

J’ai été gâté pourri par ma mère. J’avais juste à prendre ma douche, à me brosser les dents, et ma mère ramassait tout derrière moi : mes vêtements au bout du lit, ma serviette que je laissais par terre dans la salle de bain. J’ai essayé d’agir ainsi avec ma conjointe et je dois vous avouer que ce point de repère a vite été mis de côté !!!

À mardi prochain pour la suite de cet article.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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J’ai décidé de QUITTER MA CARRIÈRE SÉCURISÉE pour contribuer à l’ÉVOLUTION DU MONDE

Respecter ses idéaux en inventant son métier

65% des métiers de demain sont à inventer*.

Mathieu Baudain l’a fait !

Il a décidé de suivre ses convictions pour vivre la vie à laquelle il aspirait vraiment : « créer un mouvement optimiste pour imaginer demain ».

Pour ça, il a fait fi des nombreuses réticences familiales et sociétales et a quitté sa profession confortable pour créer l’Institut des futurs souhaitables duquel il est devenu directeur.

Résultat : « C’est pas vraiment un boulot…tu marches sur les sentiers de ton idéal et tu vois toutes les personnes magnifiques que tu rencontres. C’est une forme de chef-d’œuvre ! »

* : selon le Département d’Etat américain du travail

Lien vers la vidéo >>

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L’eau selon la naturopathie (partie 3) – Les effets secondaires de la déshydratation

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

Samedi dernier, nous avons vu en seconde partie de cet article, La déshydratation et ses conséquences. Parlons maintenant des les effets secondaires de la déshydratation.

Troubles intestinaux

Dans le registre des conséquences dues au manque d’eau, la constipation vient certainement en tête. Lorsque le contenu intestinal est trop sec pour progresser convenablement, de fâcheuses conséquences sont à déplorer.

A l’instar des eaux qui croupissent dans les marais, un transit ralenti entraîne putréfaction et à terme auto-intoxication, tout en déséquilibrant notre précieuse flore intestinale. Grand nombre de colites au niveau inférieur, comme de fausses douleurs d’appendicite de l’abdomen, peuvent être l’expression d’un signe de manque d’eau.

Douleurs d’estomac

De nombreuses difficultés de digestion et leurs douleurs associées sont, de façon méconnue, dus au manque d’eau. L’eau est l’unique protection naturelle contre l’acide de l’estomac. En effet, la muqueuse gastrique sécrète un mucus composé à 98 % d’eau pour faire un tampon naturel face à l’acide chlorhydrique présent dans l’estomac pendant la digestion des protéines.

Dans le cas d’une mauvaise hydratation, l’eau du mucus ne peut plus remplir sa fonction de barrière et l’acide attaque la muqueuse, créant douleurs et lésions : ce sont les fameuses brûlures d’estomac. Une hydratation correcte assure une barrière plus efficace que n’importe quel médicament, comme les antiacides qui sont des poisons lents ayant pour fonction de bloquer l’histamine. Même dans des cas plus graves tel que l’ulcère de l’estomac, le traitement par l’eau s’est avéré efficace. Ainsi, le docteur Fereydoon Batmanghelidj, d’origine iranienne, a publié un compte rendu mentionnant qu’il a traité, avec succès, plus de 3 000 personnes souffrant d’un tel trouble uniquement avec de l’eau.

Douleurs rhumatismales

Les cartilages, dans leur état normal, sont fortement riches en eau. Cette richesse hydrique participe activement à une friction minimale entre deux articulations, c’est l’effet de lubrification. A contrario, une articulation mal hydratée peut entraîner une abrasion in situ, ainsi que, probablement, une inflammation génératrice de douleur. C’est aux premiers signes qu’il faut réagir par un apport complémentaire en eau, avant que les dégâts ne s’installent souvent de façon irrémédiable.

Dans la colonne vertébrale, l’eau joue un rôle prépondérant au niveau des noyaux des disques situés entre deux vertèbres. En effet, 75 % du poids du tronc sont supportés par l’eau contenue dans le noyau du disque de la cinquième vertèbre lombaire.

L’eau agit comme un lubrifiant et un moyen de supporter la force générée tant par le poids du corps que par la tension des muscles sur l’articulation. Nul besoin d’être devin pour envisager les conséquences d’un manque d’eau au niveau de notre dos !

Hypertension artérielle

Elle est le plus souvent la signature d’une adaptation de notre biologie à un manque d’eau. En effet, le système vasculaire doit s’adapter à la diminution du volume sanguin, constitué en grande partie d’eau. Pour ce faire, il réduit le diamètre des vaisseaux, ce qui augmente la tension de ceux-ci. Les personnes âgées perdant la sensation de soif sont naturellement plus exposées aux problèmes d’hypertension.

Avant de consommer quelque diurétique que ce soit, le bon sens voudrait que nous utilisions le meilleur d’entre eux : l’eau. Chez le sujet hypertendu, la réintroduction correcte des apports hydriques doit se faire d’autant plus progressivement que la personne a perdu l’habitude de boire de l’eau, afin de permettre à la régulation du sodium de se réadapter.

Hypercholestérolémie

Au-delà de l’excès de consommation de graisses animales issues principalement de fromages, charcuteries et viande rouge, l’excès de cholestérol dans le sang peut avoir des origines liées au manque d’eau. En cas de déshydratation sévère, les cellules vont fabriquer du cholestérol pour rendre leurs parois étanches, le cholestérol jouant le rôle de colle, et ainsi empêcher une perte supplémentaire en eau.

En réintroduisant les apports hydriques nécessaires de façon régulière, les cellules s’hydratent correctement et le système de défense par le cholestérol perd sa raison d’être. Ce résultat sera d’autant plus probant qu’une activité physique sera intégrée à l’hygiène de vie des personnes concernées. En effet, après une heure d’effort soutenu telle que la marche, les enzymes chargées de « manger » les mauvaises graisses s’activent et restent opérationnelles les douze heures suivantes.

Excès de poids

S’il apparaît indispensable d’avoir une activité physique, à raison d’une heure trois fois par semaine au minimum pour pouvoir contrôler son poids, l’importance des bons apports hydriques est à souligner. La sensation de soif et de faim sont souvent confondues. Aussi, alors que notre cerveau veut nous signaler son besoin en eau, nous prenons celui-ci pour un signal de faim. C’est alors que nous surconsommons des aliments qui seront stockés sous forme de graisse, surtout si les apports ont été faits en aliments sucrés.

Le premier carburant pour le cerveau est incontestablement le sucre (glucose). Toutefois, et c’est moins connu, l’eau peut générer, à travers son mouvement, de l’énergie : l’augmentation régulière des apports en eau nous permettra ainsi de baisser notre consommation en sucres. Faut-il le rappeler, la consommation excessive de sucre est stockée sous forme de mauvaises graisses, celles-là même que l’on retrouve chez les personnes en surpoids.

Stress et dépression

Le cerveau utilise l’énergie électrique créée par la force de l’eau. Or, dans le cas d’une déshydratation, la production énergétique dans le cerveau baisse, mettant au ralenti un grand nombre de fonctions cérébrales. Cela pourrait être à l’origine de la fatigue chronique, puis à terme de la dépression.

Le phénomène s’auto-entretient car la déshydratation génère un stress permanent qui épuise, affaiblit le système immunitaire et fait ainsi le lit de nombreux problèmes de santé.

Samedi prochain, nous verrons la suite de cet article consacré à l’eau et la santé et expliquerons combien et quand boire ?

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