L’eau selon la naturopathie (partie 5) – Composition de l’eau que nous consommons et ses effets sur l’organisme

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

Samedi dernier, nous avons vu en quatrième partie de cet article, Combien et quand boire. Nous concluons aujourd’hui cette série d’articles consacré à l’au avec un dernier chapitre : La composition de l’eau que nous consommons et ses effets sur l’organisme.

L’eau du robinet

Aux fortes charges de minéraux contenus dans les eaux du réseau des régions calcaires s’ajoutent les polluants et les produits servant à désinfecter l’eau. L’eau est, en effet, stérilisée à grands coups de chlore et d’ozone, produits hautement oxydants et néfastes pour la qualité de notre terrain. L’aluminium, utilisé pour rendre l’eau plus transparente, est largement impliqué dans les maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer. Selon Henri Pezerat, toxicologue et directeur de recherche honoraire au CNRS. « Plusieurs études épidémiologiques ont en effet conclu à une augmentation notable de l’incidence de la maladie d’Alzheimer avec une concentration anormalement élevée de l’aluminium dans l’eau ».

Il subsiste, bien souvent après le traitement des eaux, des pesticides, des nitrates, des métaux lourds comme ceux provenant des vieilles canalisations en plomb et dissout par certaines eaux « agressives », des produits radioactifs, des bactéries, des virus ainsi que des résidus d’antibiotiques, de médicaments et des traces hormonales. Une bonne partie des médicaments et hormones que nous assimilons est éliminée dans les urines, elles-mêmes présentes dans les eaux usées puis retraitées.

Le calcaire de l’eau

S’il est aisé pour la plante d’absorber les minéraux issus du sol, il en est tout autrement pour l’homme. L’être humain doit passer par le monde végétal ou le monde animal pour pouvoir absorber de façon optimale ses minéraux.

Ainsi mieux vaut consommer des amandes, des légumes verts à feuilles voire raisonnablement des produits laitiers pour fournir à notre corps le calcium dont il a besoin plutôt que de l’eau calcaire ! A contrario le calcaire, substance inorganique , qui est un carbonate de calcium ne peut être absorbé par l’homme en l’état. Pire il entrerait en compétition avec le calcium organique issu du monde végétal ou animal, limitant son absorption.

Si le corps n’assimile pas le calcaire, il devra l’éliminer. Tant que les quantités absorbées ne dépassent pas les capacités fonctionnelles du filtre rénal tout va bien. En cas de saturation, le corps devra se contenter de le stocker. Le professeur LC Vincent relate des cas illustrant ceci : au Liban dans une région très calcaire un homme souffrait d’une telle douleur cardiaque qu’il dut se faire opérer pour survivre. A l’opération le chirurgien fut fort surpris de voir que son cœur était en fait enfermé dans une gangue de calcaire. Après retrait de celle-ci le patient put revivre normalement. Par ailleurs, le docteur Pierre Bressy fait le lien entre les excédents de minéraux de l’eau et les dépôts présents dans les vaisseaux sanguins lors de maladies cardio vasculaires.

Quid de l’eau minérale ?

Les eaux minérales font vivre les grands groupes de l’agroalimentaire plus qu’elles nourrissent notre santé ! En effet, en plus de leur prix 200 à 300 fois supérieur à celui de l’eau du robinet, elles possèdent des minéraux qui n’ont une action bénéfique que lorsqu’elles sont prises à la source. C’est l’empreinte énergétique, mémoire des lieux harmonisés qu’elles ont traversés, qui fournit des minéraux « vivants ». Aussi une eau trop minéralisée possède des inconvénients proches de ceux évoqués à propos du calcaire.

Les eaux de source qui possèdent une faible minéralité, inférieure à 150 mg par litre, sont plus satisfaisantes à condition de répondre aux critères suivants. Le professeur Louis-Claude Vincent a longuement étudié l’importance de la qualité de l’eau dans l’évolution des maladies chroniques, dégénératives comme le cancer, ainsi que leur incidence sur la qualité de notre terrain. Il a pu établir qu’une eau bonne pour la santé, c’est-à-dire qui ne fera pas le lit du développement dans notre corps de virus, de bactéries, de champignons ou de maladies, devait être légèrement acide (pH entre 6 et 7), peu minéralisée, autrement dit contenant moins de 120 mg de résidus secs par litre à 180 °C, ayant une résistivité située entre 6 000 et 100 000 ohms et légèrement réductrice (rH2 entre 24 et 28), c’est-à-dire à l’opposé des eaux du robinet oxydées, traitées par le chlore. Ces indications figurent normalement sur les étiquettes des eaux en bouteille. Or, si certaines bonnes eaux de source satisfont à ces points, elles restent néanmoins chères, conditionnées en bouteilles de plastique (pas toujours recyclé) et leur usage est souvent limité à l’eau que nous buvons.

L’eau filtrée par osmose inverse

Filtrer l’eau du robinet par un filtre à osmose inverse possède l’avantage de créer une eau pure, puisque seules les molécules d’eau et quelques minéraux passent la barrière très sélective du filtre et répondent aux critères de la bioélectronique de Vincent. L’eau perd son côté alcalin et oxydé et augmente sa résistivité. Il ne reste plus qu’à la réinformer correctement, en l’exposant par exemple quelques heures à la lumière ou au soleil dans un bocal en verre, pour lui redonner sa bonne structure moléculaire.

Ainsi se termine cette série de 5 articles consacrée à l’eau !
Vous pouvez lire l’intégralité des 5 articles en cliquant sur les liens ci-dessous :
Partie 1 – L’eau selon la naturopathie
Partie 2 – La déshydratation et ses conséquences
Partie 3 – Les effets secondaires de la déshydratation
Partie 4 – Combien et quand boire ?
Partie 5 – Composition de l’eau que nous consommons et ses effets sur l’organisme (article ci-dessus)

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INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Manger moins pour plus d’énergie

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelquesmois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grandbénéfice.

Manger moins pour plus d’énergie !

Pour la plupart des personnes, accroître son niveau d’énergie implique une alimentation riche en calories. Mais qui n’a jamais fait l’expérience d’avoir faim peu de temps après avoir mangé dans un fast-food ? Qui n’a déjà ressenti l’envie de dormir après un déjeuner et alors qu’il est l’heure de reprendre son travail ? Contrairement aux idées reçues le nombre de calories ingérées ne détermine pas notre niveau d’énergie, c’est une question de microbiote !

Manger moins pour plus d’énergie ! Voilà une idée qui peut paraître, de prime abord contre-intuitive… et pourtant: manger « léger » est un excellent moyen de se sentir très rapidement en énergie ! Pourquoi ?

Parce qu’un afflux soudain de nourriture en forte quantité, va mobiliser la plus grande partie des ressources énergétiques de notre organisme pour la digestion. Nos bactéries vont devoir être plus nombreuses mais leur reproduction demande beaucoup d’énergie. L’énergie extraite des aliments sera donc d’abord utilisée par notre microbiote pour se multiplier et seulement ensuite l’excédent sera disponible pour notre organisme.

De plus pour éviter que l’énergie ne soit dépensée ailleurs, les bactéries envoient des neurotransmetteurs à notre cerveau pour activer notre somnolence… Pour une journée active, ne faites pas l’erreur de manger trop riche: alléger les repas est une clé essentielle !

Mon astuce : 5 seconde de pleine conscience pour éviter le coup de barre d’après déjeuner.

Lorsque j’ai très faim, pour ne pas commander toute la carte du restaurant ou vider mon frigo, je bois une gorgée d’eau lentement, en mettant tout mon focus sur la sensation agréable de l’eau qui fait son chemin depuis mon palais jusqu’à mon ventre… ce court moment de pleine conscience calme le mental et diminue la sensation de faim… juste le temps de commander un repas léger et une après midi en pleine énergie !

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Écriture (4/5) – RÉFLÉCHIR À LA FORME pour rester motivé !

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Mercredi dernier, nous avons vu le point 3 : RELIRE pour rester motivé ! Voici aujourd’hui le point 4.

Vous vous êtes donné un objectif, vous vous êtes fixé un calendrier, vous avez relu ce que vous avez déjà écrit mais vous avez du mal à poursuivre votre élan. Il est temps de réfléchir à la forme que prendra votre récit une fois terminé.

4. Réfléchissez à la forme

A force de noircir le papier, vous êtes démotivé. Et si vous preniez un peu de temps pour réfléchir à la forme : à la couverture de votre livre, au titre. Il ne s’agit pas de mettre la charrue avant les bœufs mais de retrouver un second souffle.

Choisissez une photo, testez des polices de caractère, dessinez, flânez dans les rayons des librairies pour voir et toucher des écrits aboutis. Cela vous redonnera envie de poursuivre.

Dites-vous qu’il y a des millions de personnes, qui au même moment que vous, sont en proie aux démons de la démotivation. Dites-vous aussi qu’au moment même où vous vous posez des questions, des centaines, des milliers d’écrivains sont en train de publier leurs écrits, ou de dédicacer leurs livres.

N’oubliez pas que l’écriture est aventure de longue haleine, et qu’il faut en savourer chaque pas.

« Les choses les plus belles sont celles que souffle la folie et qu’écrit la raison. Il faut demeurer entre les deux, tout près de la folie quand on rêve, tout près de la raison quand on écrit. » (André Gide)

Mercredi prochain, nous aborderons le point 5 : CESSEZ DE PENSER AU LECTEUR !

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VIVRE DE SA PASSION c’est possible, on vous explique

Vivre de sa passion n’est pas tout le temps immédiat : vous pouvez de façon transitoire COMBINER une ACTIVITÉ LUCRATIVE avec une ACTIVITÉ EXISTENTIELLE.

Qui n’a jamais rêvé de vivre de sa passion ? N’a-t-on pas tous répondu, étant petits, à la question, qu’est-ce que tu voudrais devenir quand tu seras grand ? Artiste, chanteur, astronaute, explorateur, aventurier… !

Tous, nous avons voulu imaginer une activité qui occuperait notre temps et pour laquelle nous nous dédierions avec plaisir. Mais voilà le principe de réalité qui nous heurte de plein fouet aussitôt devenus de jeunes adultes.

Aujourd’hui, chez On Passe à l’Acte, nous voulons vous dire deux choses que vous savez peut-être ou que vous ne savez pas mais qu’il ne fera pas de mal de rappeler :

1. Vivre de sa passion, c’est possible
mais comme tout business, ce n’est pas immédiat ! Alors, ayant cette information en tête maintenant, ne vous découragez pas, partagez votre temps en combinant une activité lucrative et une activité existentielle. Ce n’est pas grave que ça ne se lance pas tout de suite, inutile de céder à la frustration, soyez patient et comme vous le savez : tout vient à point à qui sait attendre.

2. Ne perdez pas espoir et lancez-vous
Peu importe votre projet, à force de persévérance, il portera ses fruits et vous y arriverez. Aujourd’hui, l’heure n’est plus à l’attente chers entrepreneurs, elle est à l’action.

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Immobilier (12/21) – Conservez la maitrise de vos investissements

Immobilier Ludovic Bréant

Dans le conseil N°11 nous avons vu qu’il était important de surveiller et de générer de la trésorerie.​​​​​​​

Je vous ai montré qu’il y avait 3 moyens de le faire assez rapidement dans vos activités d’investisseur immobilier.

Aujourd’hui, je vous parle de la maitrise de vos investissements.

Investir par exemple dans des SCPI n’est pas ce que je vous recommande car vous rémunérez des intermédiaires et vous ne connaissez pas toujours les décisions qu’ils vont prendre.

Il y a de nombreux avantages à investir en direct.

Je ne suis pas partisan des sociétés civiles de placement immobilier.

Selon moi, lorsqu’on investit dans des actions ou obligations de sociétés cotées, un fond commun de placement, une SICAV, on n’exerce aucun contrôle sur l’investissement.

L’immobilier en direct offre une certaine liberté et maitrise : ce qui est un atout incontestable et là vous allez faire de bonnes affaires en immobilier.

Conseil#12 tiré du livre « 30 conseils pour réaliser de bonnes affaires immobilières » aux éditions Maxima

>>> Voir le conseil N°11 « Surveillez la trésorerie »

Ludovic Bréant
www.ludovic-breant.fr

Pourquoi se fixer des POINTS DE REPÈRES ? (partie 2/2)

Les points de repère que j’ai reçus dans ma vie sont semblables à bien positionner le siège de ma voiture dans le but de mieux conduire ma vie. Selon moi, nous avons tous besoin de points de repère pour avancer. Si nos seuls points de repère étaient des expériences négatives, nous ne pourrions pas avancer pour développer notre plein potentiel.

Nous avons vu mardi dernier,  les points de repères de mon enfance. Abordons maintenant cela sur le plan de la spiritualité (sans parler de religion).

Spiritualité : MES POINTS DE REPÈRE

Je crois en une Force suprême : un Dieu, ma Source, mon Énergie divine. Appelez-la comme bon vous semble. J’aimerais vous parler de mon oncle Fred. Il m’a montré la voie, sa voie… À l’âge de sept ans, il m’a donné une petite bible rouge. Un cadeau précieux pour moi. À l’âge de seize ans, alors que j’étais ivre, en rêvant que j’étais à la salle de bain, j’ai ouvert le tiroir de mon bureau et uriné sur la bible, sans faire exprès, j’étais inconscient de ce que je faisais… J’ai dû la jeter… j’ai beaucoup regretté mon geste. Ce point repère que mon oncle m’a transmis quand j’avais sept ans me suit encore aujourd’hui.

Comment ai-je pu vivre en endurant toutes ces souffrances?

J’ai construit des personnages pour ne pas me regarder dans le miroir et être ainsi forcé de me responsabiliser. J’ai vécu des abus et de la violence. J’ai consommé des substances. J’ai enduré la maladie et fait quatre tentatives de suicide parce que j’avais trop mal à l’intérieur, Le mal de vivre. Comment pourrait-on m’expliquer que lors de ma quatrième tentative, j’ai pris tellement de coumadin que cette quantité aurait pu tuer un cheval ? Vous allez me dire après cela qu’il n’y a pas quelque chose de plus grand que soi ? La foi, c’est quelque chose de personnel.

ATTENTION : il y a une différence entre la religion et la spiritualité. Aujourd’hui, je vous parle de spiritualité. Nous ne savons plus communiquer et, pourtant, nous sommes à l’ère des communications le monde virtuel, l’électronique, les iPods, les textos, les réseaux sociaux. Tout cela ne nous permet pas d’échanger davantage, de parler pour vrai en nous regardant dans les yeux. Au resto, les familles passent leur temps à faire des texos. Nous ne sommes plus en relation. À l’arrêt d’autobus, on se disait bonjour alors que maintenant, nous ne nous levons même plus la tête pour saluer les gens. Nous accordons plus d’importance aux textos, au virtuel, qu’aux membres de nos familles. Toute une fuite! Pire encore, personne ne veut le voir, c’est devenu la norme.

Les sapins de Noël dans les centres d’achat me rappellent mes points de repère. Regardons-nous dans un miroir : c’est nous qui sommes à blâmer et non ceux qui nous demandent d’enlever tous nos points de repère. Transmettons-nous nos valeurs et nos traditions à nos enfants ? C’est pourtant sécurisant et réconfortant pour eux. Je suis né au Québec, ma langue, c’est le français. J’aime nos traditions, notre culture, elles sont mes points de repère. Si nous n’en avons pas, nous sommes alors assis sur un siège désajusté et nous conduisons mal notre vie.

EN CONCLUSION : encore une fois, nous sommes ce que nous voulons être. Refuser de me regarder dans le miroir, c’est accepter que d’autres établissent mes points de repère et contrôlent ma vie. Cette portion du message que je présente aux gens est puissante. Je vous invite à croire en vous, à faire mourir vos personnages pour créer la vie dont vous rêvez. Je vous invite à retourner à votre source, là où se trouve la plus grande des forces, beaucoup plus grande que soi-même et sur laquelle nous pouvons compter en tout temps et qui peut nous aider à obtenir tout ce que nous désirons.

Avec bienveillance,
Robert Savoie, présent et engagé.

>> Relire la première partie de cet article

Robert Savoie, conférencier et auteur des livres :  Se choisir ; AGIS, fais ce que tu disLaisse-moi t’aimer ; À chacun ses défisDeviens-tu c’que t’as voulu? (tomes 1, 2 & 3).
www.CentreDuMieuxEtreRobertSavoie.com

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J’ai décidé de CHANGER DE VIE et j’ai trouvé ma voie en travaillant sur le bonheur

Oser tout quitter pour être heureux

Johanna Quelen ne trouvait plus de sens dans sa vie et se sentait malheureuse. Elle décide de quitter son travail et de changer de vie pour trouver le bonheur.


Lien vers la vidéo >>

Résultat : enfin parfaitement sereine, elle met en place de nouveaux projets professionnels, fait des nouvelles rencontres, de nouveaux horizons s’ouvrent… elle ne se sent plus seule mais pleinement reliée avec le monde qui l’entoure.

« J’ai trouvé ma place » dit-elle simplement.

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L’eau selon la naturopathie (partie 4) – Combien et quand boire ?

raison-d-etre

Les médecines naturelles s’attachent tant à la quantité qu’à la qualité des apports hydriques, afin de prévenir la maladie et de potentialiser la santé.

Samedi dernier, nous avons vu en troisième partie de cet article, Les effets secondaires de la déshydratation. Voyons maintenant combien et quand boire.

Seul l’apport d’eau peut remplir la fonction d’hydratation dont notre corps a besoin. Alcool, café, thé et autres boissons contenant de la caféine contribuent au contraire à la déshydratation. Sodas et autres boissons hypersucrées ne sont guère plus intéressants.L’idéal est de consommer une eau peu minéralisée comme l’eau de source ou l’eau traitée par un filtre à osmose inverse. C’est un minimum absolu de six à huit verres d’eau de 25 cl par jour dont notre corps a besoin. Le meilleur moment pour qu’il puisse en bénéficier est lorsque notre estomac est vide. Aussi, je suggère de boire un grand verre d’eau une demi-heure avant chaque repas et trois heures après, et d’intercaler les deux autres dans la journée ou au moment des repas. Evidemment, il est conseillé de boire à tout moment en cas de soif. Si votre consommation est éloignée de ces apports, augmentez-la progressivement, surtout si vous avez tendance à faire de la rétention d’eau.

L’absorption d’eau une demi-heure avant les repas permettra de répondre aux besoins de la digestion. Estomac, intestin, foie et pancréas ont besoin d’eau pour remplir leur mission. Les apports hydriques en cours de repas n’ont d’intérêt que pour humecter le bol alimentaire lorsque celui-ci est composé d’aliments secs ou ayant une faible teneur en eau, comme les céréales. A contrario, une consommation de plusieurs verres d’eau ou de potage trop liquide au cours du repas dilue les sucs digestifs et favorise les ballonnements.

Il faut environ trois heures à l’estomac pour effectuer son travail digestif. C’est pourquoi il est souhaitable d’attendre ce délai pour s’hydrater de nouveau en buvant un grand verre d’eau.

Dans le cas de douleurs digestives, boire un ou deux grands verres d’eau immédiatement peut venir à bout de ces signaux et devrait être un geste de bon sens. Si la douleur persiste malgré un réajustement de l’apport hydrique pendant quelques jours, il sera prudent de consulter un médecin pour évaluer l’état des troubles. En ce qui concerne la constipation, c’est après la rééducation de plusieurs jours, voire semaines, que les résultats pourront poindre.

Pour les douleurs dorsales, en plus de l’augmentation des apports hydriques, quelques mouvements d’étirement spécifiques qui mobilisent l’eau des articulations et réduisent les spasmes des puissants muscles dorsaux seront nécessaires.

L’eau et les reins

Ayant rempli sa mission de transport des nutriments et des déchets, l’eau doit être filtrée. Ce sont les reins qui remplissent cette fonction d’élimination des déchets solubles et récupère ce qui est utile à l’organisme. C’est ainsi qu’ils filtrent chaque jour de 100 à 150 litres de sang et de lymphe pour éliminer environ 1 à 2 litres d’urine chargée de déchets. Le reste de l’eau est réabsorbé avec les sels minéraux, les acides aminés et le glucose, utiles pour le corps.

Ce merveilleux travail de tri est effectué par des centaines de milliers de micro-usines, appelées néphrons. Si la déshydratation est chronique, les reins se surmènent, les urines sont très concentrées avec un risque de calculs rénaux. De plus, les déchets non traités auront tendance à encrasser l’organisme et, dans le meilleur des cas, seront éliminés par des portes de sortie de substitution, appelées, en médecine de terrain, « émonctoires dérivatifs ». Ainsi, certains déchets non éliminés par les reins peuvent l’être par la peau, occasionnant notamment au passage irritations et mauvaises odeurs.

Potentialiser notre santé

Boire de l’eau en quantité suffisante est une nécessité pour le bon fonctionnement de l’organisme, mais c’est aussi un moyen pour prévenir et traiter de nombreux troubles : manque d’énergie, états dépressifs, allergies, rhumatismes, problèmes de tension sanguine, excès de cholestérol, constipation, obésité, etc.

Bien boire redonne son autonomie au processus de guérison naturelle.

Il est vrai qu’apprendre à boire ne fait rien vendre ! Est-ce pour cela que plus personne n’enseigne aux enfants à boire de l’eau ? Maintenant que vous savez, partagez cette information et potentialisez votre santé en buvant généreusement le liquide le plus précieux que Dame Nature ait mis à notre disposition : l’eau.

Samedi prochain, nous étudierons la composition de l’eau que nous consommons et ses effets sur notre organisme.

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INTELLIGENCE NUTRITIONNELLE – Limiter les aliments à haut index glycémique

ZEN & PERFORMANT – Entraînez votre Intelligence Nutritionnelle
Aujourd’hui toutes les sciences : biologie, médecine, génétique, neurobiologie, psychologie… convergent pour affirmer que notre santé se joue en très grande partie au niveau de notre flore intestinale et parlent même depuis quelques mois de « révolution microbiote ». En intégrant psychologie, comportement et alimentation, l’Intelligence Nutritionnelle re-connecte, en conscience, la communication de l’axe cerveau-intestin-microbiote pour notre plus grand bénéfice.

Limiter les aliments à haut index glycémique !

L’index glycémique (I.G.) est un classement des aliments selon l’augmentation du taux de sucre sanguin (glycémie) qu’ils produisent. Les sucres raffinés présentent un IG élevé (>70 sur une échelle de 0 à 100) . Ils passent très rapidement dans le sang.

Pour contrer cette montée de glycémie notre corps produit de l’’insuline et ne s’arrêtera que lorsque la glycémie sera inférieure à la normale… cela déclenche alors une sensation « d’hypoglycémie » : pâleur, perte d’énergie et faim seulement quelques dizaines de minutes après avoir consommé du sucre ! Ce « Yo-Yo » est contre-contre-productif à court terme et dangereux à long terme.

Consommer des boissons ou barres énergisantes est une erreur fatale pour votre niveau d’énergie !

Nous savons depuis peu que la consommation excessive d’aliments à fort IG, particulièrement l’association gras et sucré, favorise certaines souches de notre microbiote qui, pour continuer en s’en nourrir, envoient à notre cerveau des hormones comme la dopamine ou la sérotonine qui nous donnent une douce sensation de bien-être mais sont impliquées dans les mécanismes de récompense-dépendance, d’addiction ou de dépression (en l’absence de l’aliment).

Notre comportement alimentaire déséquilibre notre microbiote qui à son tour manipule notre comportement alimentaire, accentuant alors ce déséquilibre.

Cependant nous pouvons inscrire une autre histoire dans la communication cerveau-intestin-microbiote avec le secours des fibres !

Les fibres alimentaires que l’on trouve en abondance dans les légumes frais ou secs, les fruits et les céréales, sont le fuel du microbiote. Les études scientifiques ont montré que plus l’apport en fibres est important et plus la diversité et le nombre d’espèces de bactéries sont importants. Le microbiote en est d’autant plus stable et équilibré.

Mon astuce : des sucres oui… mais avec des fibres !

Les fruits frais représentent idéalement ma principale source d’aliments sucrés. Lorsque je les consomme en jus, j’y associe des légumes (carotte, betterave, concombre) pour enrichir en fibres sans amener trop de sucres.

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Écriture (3/5) – RELIRE pour rester motivé !

Bonjour, je m’appelle Sana (www.sanasecretsofshine.wordpress.com), je suis passionnée d’écriture ainsi que de développement personnel, de bien-être, de lecture, et d’art.

Mercredi dernier, nous avons vu le point 2 : SE FIXER UN CALENDRIER pour rester motivé ! Voici aujourd’hui le point 3.

Il arrive parfois que l’inspiration se fasse rare, et que vous ayez du mal à poursuivre votre lancée. Soyez certain qu’il ne s’agit là que des caprices de votre plume. Relisez ce que vous avez déjà écrit : cela vous donnera envie de poursuivre. Pensez à vos personnages. Vous n’allez tout de même les laisser immobiles. Pensez à votre dernière scène. Elle mérite que vous lui donniez suite.

3. Relisez ce que vous avez déjà écrit

Si vous séchez, pourquoi ne pas prendre un temps pour relire ce que vous avez déjà écrit ? Il n’y a rien de mieux pour se motiver que de relire, à voix haute, votre contenu. Pour peu que vous y mettiez l’intonation, vous aurez, à l’issue de votre lecture, immédiatement envie de poursuivre votre écrit. C’est comme si vous aviez mis pause en regardant un bon film. N’avez-vous pas envie de connaître la suite ?

« La perfection dans l’écriture est d’observer toujours les divers caractères, de varier son style suivant les sujets, de s’élever ou de s’abaisser à propos, et de donner, par ce contraste, des caractères plus marqués et plus agréables. Il faut savoir sonner de la trompette, toucher la lyre, et jouer même de la flûte champêtre ». (Citation de Fénelon ; Achille et Homère, 1712)

Mercredi prochain, nous aborderons le point 4 : RÉFLÉCHIR À LA FORME pour rester motivé !

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